11 mars

Abstinence de viande – semaine des laitages

Saint Sophrone, patriarche de Jérusalem (638 ou 639) ; saint Pionius, prêtre, et quinze compagnons, martyrs à Smyrne (250) ; saints Trophime et Thaïe, martyrs à Laodicée (vers 300) ; saint Vigile, évêque d’Auxerre, martyr (689) ; saint Vindicien, évêque de Cambrai (712) ; saint Sophrone, reclus des Grottes de Kiev (XIIIème s.) ; saint Euthyme, archevêque de Novgorod (1458) ; saint Sophrone, évêque de Vratchane (Bulgarie, 1813) ; saints néomartyrs de Russie :saint Patrick (Petrov), moine et confesseur (1933) ; saint Basile (Malakhov), confesseur, prêtre (1937).

SAINT SOPHRONE DE JÉRUSALEM

11 mars

Notre saint Père Sophrone naquit à Damas, la patrie des mélodes, vers 550. Doué de rares aptitudes intellectuelles et d’un grand talent poétique, il y fit ses études et obtint le titre de « sophiste ». Demeurant insatisfait par les sciences et désirant une plus haute perfection, il entreprit un pèlerinage en Palestine, en vue de vénérer les Lieux saints et de s’entretenir avec les ascètes vivant dans les monastères et dans les déserts. Il parvint au monastère fondé par saint Théodose [11 janv.] et y trouva là l’homme selon son cœur, Jean Moschos. Compatriote de Sophrone et de peu plus âgé que lui, celui-ci y était devenu moine et, par sa grande austérité de vie, il avait acquis, en plus de la connaissance de la philosophie et des sciences « du dehors », une admirable sagesse spirituelle. Il devint pour Sophrone, qui était resté dans l’état de laïc, non seulement le frère et le compagnon mais encore le maître et le père spirituel. Unis par cette sainte amitié, les deux serviteurs de Dieu décidèrent de se rendre à Alexandrie (578), afin d’y acquérir une formation philosophique plus complète auprès des savants qui s’y trouvaient, mais surtout pour y rencontrer des saints ascètes, « philosophes du Saint-Esprit ». Rendant visite un jour à l’un d’eux, le vénérable vieillard leur dit : « Fuyez, mes enfants, parce que le temps approche ! Habitez dans une cellule, où vous voudrez. Vivez dans la sobriété et dans la quiétude (hésychia), en priant sans cesse ; et j’ai l’espoir que Dieu vous enverra sa connaissance pour illuminer vos esprits… » . Ces paroles furent décisives pour inciter Sophrone à abandonner définitivement la vaine recherche de la sagesse humaine, et les deux amis entreprirent dès lors de vivre en étrangers et pèlerins à la recherche de la Jérusalem d’En-Haut, en recueillant partout où ils passeraient les enseignements et les traditions des saints Pères.

De retour en Palestine, Sophrone fit sa profession monastique au monastère de Saint-Théodose, et ils repartirent bientôt pour le Mont Sinaï, qui était alors illustré par de grands luminaires de la science ascétique comme saint Jean Climaque [30 mars]. Au bout de dix ans, ils reprirent leur vie errante à travers les déserts d’Égypte et de Palestine, pour y cueillir les fleurs de leur Pré Spirituel. Sous la menace de l’invasion perse (vers 603), ils passèrent en Phénicie, visitèrent Antioche et les déserts monastiques de Syrie, Tarse (Cilicie) et Séleucie, puis ils revinrent en Égypte et restèrent plusieurs années à Alexandrie pour venir en aide, par leur éloquence et leur science théologique, au patriarche saint Euloge [13 fév.] et à son successeur saint Jean le Miséricordieux [12 nov.] dans la lutte contre les monophysites. Ils réussirent à décupler le nombre des églises appartenant aux orthodoxes à Alexandrie et ramenèrent également beaucoup de villages et de monastères dans le sein de l’Église. Pendant ces tournées missionnaires, ils ne manquaient pas de rassembler d’autres récits édifiants qui nous donnent une vivante image de la vie religieuse de cette époque. Atteint d’une maladie des yeux, saint Sophrone en fut miraculeusement guéri par l’intervention des saints Anargyres Cyr et Jean [31 janv.]. En signe de reconnaissance, il rédigea un grand recueil de leurs miracles, dans lequel il montre que c’est seulement dans la communion de l’Église que l’on peut trouver la grâce. Au cours de l’une de leurs visites, ils rencontrèrent un Ancien qui leur dit : « Rien d’autre dans l’Église n’a causé les schismes et les hérésies, sinon le fait que nous n’aimons pas pleinement Dieu et notre prochain ».

En 614, la nouvelle leur parvint que Jérusalem était tombée entre les mains des Perses, au prix de sanglants massacres et de pillages sans limites, et que le patriarche Zacharie [21 fév.] avait été emmené en exil avec la précieuse Croix. Les derniers temps semblaient arrivés et la recommandation de fuir ce monde, qu’ils avaient reçue au début de leur vie monastique, se faisait d’autant plus pressante que l’invasion perse menaçait maintenant l’Égypte. Saint Jean le Miséricordieux alla se réfugier à Chypre, sa patrie, où il mourut en 620, et les deux moines philosophes se rendirent à Rome, en s’arrêtant en route à Samos et à Chypre pour y rencontrer des hommes de Dieu. Pendant ce séjour à Rome, Jean, sentant sa fin prochaine, se mit à rédiger avec l’aide de Sophrone le compte-rendu des entretiens spirituels qu’ils avaient rassemblés depuis des années. Puis il quitta le tumulte de cette vie pour passer à la quiétude éternelle (619), en recommandant à son frère et fils spirituel d’aller déposer son corps au monastère du Sinaï. Imitant Joseph qui emporta le corps du patriarche Jacob d’Égypte dans la terre de leurs pères (Gn 50), Sophrone s’embarqua avec douze condisciples. Mais, ayant appris qu’il était impossible d’accéder au Sinaï à cause des incursions arabes, ils allèrent inhumer le corps au monastère de Saint-Théodose, où Sophrone s’installa pour y achever la rédaction du Pré Spirituel et d’autres œuvres, comme les Vies de saint Jean le Miséricordieux et de sainte Marie l’Égyptienne [1er avr.].

Vers 627, Sophrone dut fuir de nouveau, cette fois-ci sous la menace de la conquête arabe, et il alla se réfugier avec d’autres moines en Afrique du Nord. C’est là que saint Maxime le Confesseur [21 janv.], fuyant pour sa part son monastère de Chrysopolis devant l’invasion perse qui approchait de Constantinople, se joignit à eux, dans le monastère de fortune qu’ils avaient fondé, et se lia d’une profonde amitié spirituelle avec Sophrone qu’il appelle : « Mon seigneur béni, mon père et maître… » . C’est à son école que saint Maxime, le grand docteur de la Personne du Christ, qui jusque-là avait exercé surtout la profondeur de son esprit pour réfuter les doctrines origénistes, comprit que tout le mystère de la divinisation de l’homme et la réalité de notre salut résident dans la relation des deux natures, divine et humaine, en l’unique Personne du Verbe incarné, et qu’il forgea les armes nécessaires pour engager la lutte contre une nouvelle forme de l’hérésie monophysite : le monothélisme , imaginée par l’empereur Héraclius et le patriarche de Constantinople Serge dans l’espoir de rallier l’Égypte dissidente.

En 633, Sophrone retourna en Égypte, malgré son âge avancé, afin de lutter sur place pour la vraie foi. Refusant tout compromis sous prétexte d’obtenir une unité politique de l’Empire menacé de toutes parts par les Perses et les Arabes, il enseignait qu’il faut confesser deux opérations naturelles du Christ, et non pas une, puisqu’Il est à la fois Dieu et homme. Comme le patriarche Cyrus demeurait obstinément dans son hérésie, Sophrone se rendit alors à Constantinople pour se jeter aux pieds du patriarche Serge, en le suppliant de revenir au dogme confessé par le saint Concile de Chalcédoine, car la formule dogmatique de compromis qu’il avait proposée, sans réaliser l’union espérée, faisait dire aux hérétiques : « Ce n’est pas nous qui communions avec Chalcédoine, mais plutôt Chalcédoine avec nous ! » Serge feignit de résoudre l’affaire, en interdisant de parler ni d’une, ni de deux opérations dans le Christ ; mais celle-ci devait rebondir quelques années plus tard, au temps de la confession de saint Maxime.

Lorsqu’à l’issue de cette mission, Sophrone revint à Jérusalem qui, restaurée grâce aux efforts de saint Modeste [16 déc.], était en deuil de son patriarche, les habitants, les clercs et les moines unanimes le contraignirent à accepter cette charge, « à cause de l’intégrité de sa foi ». Soumis à la volonté de Dieu, le vieillard entreprit de soutenir la foi de son peuple, menacée par les hérésies, et de raviver son espérance ébranlée par les invasions, dans des sermons et des hymnes liturgiques  où la beauté poétique se met au service de la profondeur des dogmes. Dès son élection, il rédigea, selon l’usage, une Lettre synodique qu’il envoya aux patriarches de Rome et de Constantinople, pour leur proposer la communion de leurs Églises respectives dans la même foi. Cet admirable document  est un exposé complet de la doctrine de l’Église sur la Personne du Christ. Le saint patriarche y confesse un seul et même Christ, Fils unique de Dieu, qui opère les œuvres de chaque nature, divine et humaine, conformément aux propriétés respectives de celles-ci. C’est le même Christ qui, sans confusion ou mélange (comme le supposent les monophysites) et sans séparation (comme l’impliquent les nestoriens), opère en tant que Dieu les miracles, et qui souffre en tant qu’homme, nous ouvrant ainsi, à nous autres hommes, la possibilité d’être unis en Lui à Dieu par la grâce du Saint-Esprit.

Saint Sophrone, dont toute la vie avait été placée sous le signe de la proximité des derniers temps, accédait au siège de Jérusalem au moment de la levée inattendue de l’Islam qui, unifiant les tribus arabes, s’abattait sur l’Empire chrétien en saccageant villes et campagnes. Damas fut prise peu de temps après son élection (637), et quelques mois plus tard, au début de 638, c’est la Ville Sainte elle-même qui tombait aux mains des envahisseurs. Le saint patriarche, presque nonagénaire, obtint du calife Omar qu’il y entrât en pèlerin et non en conquérant, et qu’il garantît la sauvegarde des sanctuaires chrétiens. Accablé par les fatigues de la confession de foi et par l’affliction de voir la cité sainte aux mains des infidèles, saint Sophrone se retira une dernière fois, pour rejoindre la Jérusalem d’En-Haut, la Ville de la Paix, qui ne connaît ni trouble ni variation, le 11 mars 638 (ou 639).

(Tiré du Synaxaire du hiéromoine Macaire de Simonos Petras)

TROPAIRES ET KONDAKIA DU JOUR

Tropaire de saint Sophrone, ton 4

La justice de tes œuvres a fait de toi / pour ton troupeau une règle de foi, / un modèle de douceur, / un maître de tempérance; / c’est pourquoi tu as obtenu par ton humilité l’exaltation / et par ta pauvreté la richesse. / Sophrone, pontife sacré, / prie le Christ notre Dieu / de sauver nos âmes.

Tropaire de saint Sophrone, ton 8

Toi qui as lutté avec un zèle divin / et dont la bouche a répandu les véritables enseignements, / toi qui as affermi l’Église par l’excellence de ton gouvernement / et l’as confiée à la communauté monastique des lieux saints, / vénérable Sophrone, patriarche de Jérusalem, / tu as publié de sages discours pour notre instruction, / et c’est à leur clarté que nous te chantons: / Réjouis-toi, brillante gloire de la vraie foi.

ÉPITRE DU JOUR

III Jn I, 1-15

Moi, l’ancien, à Gaïus, le bien aimé, que j’aime dans la vérité. Bien-aimé, je souhaite que tu prospères à tous égards et sois en bonne santé, comme prospère l’état de ton âme. J’ai été fort réjoui, lorsque des frères sont arrivés et ont rendu témoignage de la vérité qui est en toi, de la manière dont tu marches dans la vérité. Je n’ai pas de plus grande joie que d’apprendre que mes enfants marchent dans la vérité. Bien-aimé, tu agis fidèlement dans ce que tu fais pour les frères, et même pour des frères étrangers, lesquels ont rendu témoignage de ta charité, en présence de l’Église. Tu feras bien de pourvoir à leur voyage d’une manière digne de Dieu. Car c’est pour le nom de Jésus Christ qu’ils sont partis, sans rien recevoir des païens. Nous devons donc accueillir de tels hommes, afin d’être ouvriers avec eux pour la vérité. J’ai écrit quelques mots à l’Église ; mais Diotrèphe, qui aime à être le premier parmi eux, ne nous reçoit point. C’est pourquoi, si je vais vous voir, je rappellerai les actes qu’il commet, en tenant contre nous de méchants propos ; non content de cela, il ne reçoit pas les frères, et ceux qui voudraient le faire, il les en empêche et les chasse de l’Église. Bien-aimé, n’imite pas le mal, mais le bien. Celui qui fait le bien est de Dieu ; celui qui fait le mal n’a point vu Dieu. Tous, et la vérité elle-même, rendent un bon témoignage à Démétrius ; nous aussi, nous lui rendons témoignage, et tu sais que notre témoignage est vrai. J’aurais beaucoup de choses à t’écrire, mais je ne veux pas le faire avec l’encre et la plume. J’espère te voir bientôt, et nous parlerons de vive voix. Que la paix soit avec toi ! Les amis te saluent. Salue les amis, chacun en particulier.

ÉVANGILE DU JOUR

Lc XIX, 29-40, XXII, 7-39

Lorsqu’il approcha de Bethphagé et de Béthanie, vers la montagne appelée montagne des Oliviers, Jésus envoya deux de ses disciples, en disant: Allez au village qui est en face; quand vous y serez entrés, vous trouverez un ânon attaché, sur lequel aucun homme ne s’est jamais assis; détachez-le, et amenez-le. Si quelqu’un vous demande: Pourquoi le détachez-vous? Vous lui répondrez: Le Seigneur en a besoin. Ceux qui étaient envoyés allèrent, et trouvèrent les choses comme Jésus leur avait dit. Comme ils détachaient l’ânon, ses maîtres leur dirent: Pourquoi détachez-vous l’ânon? Ils répondirent: Le Seigneur en a besoin. Et ils amenèrent à Jésus l’ânon, sur lequel ils jetèrent leurs vêtements, et firent monter Jésus. Quand il fut en marche, les gens étendirent leurs vêtements sur le chemin. Et lorsque déjà il approchait de Jérusalem, vers la descente de la montagne des Oliviers, toute la multitude des disciples, saisie de joie, se mit à louer Dieu à haute voix pour tous les miracles qu’ils avaient vus. Ils disaient: Béni soit le roi qui vient au nom du Seigneur! Paix dans le ciel, et gloire dans les lieux très hauts! Quelques pharisiens, du milieu de la foule, dirent à Jésus: Maître, reprends tes disciples. Et il répondit: Je vous le dis, s’ils se taisent, les pierres crieront! Le jour des pains sans levain, où l’on devait immoler la Pâque, arriva, et Jésus envoya Pierre et Jean, en disant: Allez nous préparer la Pâque, afin que nous la mangions. Ils lui dirent: Où veux-tu que nous la préparions? Il leur répondit: Voici, quand vous serez entrés dans la ville, vous rencontrerez un homme portant une cruche d’eau; suivez-le dans la maison où il entrera, et vous direz au maître de la maison: Le maître te dit: Où est le lieu où je mangerai la Pâque avec mes disciples? Et il vous montrera une grande chambre haute, meublée: c’est là que vous préparerez la Pâque. Ils partirent, et trouvèrent les choses comme il le leur avait dit; et ils préparèrent la Pâque. L’heure étant venue, il se mit à table, et les apôtres avec lui. Il leur dit: J’ai désiré vivement manger cette Pâque avec vous, avant de souffrir; car, je vous le dis, je ne la mangerai plus, jusqu’à ce qu’elle soit accomplie dans le royaume de Dieu. Et, ayant pris une coupe et rendu grâces, il dit: Prenez cette coupe, et distribuez-la entre vous; car, je vous le dis, je ne boirai plus désormais du fruit de la vigne, jusqu’à ce que le royaume de Dieu soit venu. Ensuite il prit du pain; et, après avoir rendu grâces, il le rompit, et le leur donna, en disant: Ceci est mon corps, qui est donné pour vous; faites ceci en mémoire de moi. Il prit de même la coupe, après le souper, et la leur donna, en disant: Cette coupe est la nouvelle alliance en mon sang, qui est répandu pour vous. Cependant voici, la main de celui qui me livre est avec moi à cette table. Le Fils de l’homme s’en va selon ce qui est déterminé. Mais malheur à l’homme par qui il est livré! Et ils commencèrent à se demander les uns aux autres qui était celui d’entre eux qui ferait cela. Il s’éleva aussi parmi les apôtres une contestation: lequel d’entre eux devait être estimé le plus grand? Jésus leur dit: Les rois des nations les maîtrisent, et ceux qui les dominent sont appelés bienfaiteurs. Qu’il n’en soit pas de même pour vous. Mais que le plus grand parmi vous soit comme le plus petit, et celui qui gouverne comme celui qui sert. Car quel est le plus grand, celui qui est à table, ou celui qui sert? N’est-ce pas celui qui est à table? Et moi, cependant, je suis au milieu de vous comme celui qui sert. Vous, vous êtes ceux qui avez persévéré avec moi dans mes épreuves; c’est pourquoi je dispose du royaume en votre faveur, comme mon Père en a disposé en ma faveur, afin que vous mangiez et buviez à ma table dans mon royaume, et que vous soyez assis sur des trônes, pour juger les douze tribus d’Israël. Le Seigneur dit: Simon, Simon, Satan vous a réclamés, pour vous cribler comme le froment. Mais j’ai prié pour toi, afin que ta foi ne défaille point; et toi, quand tu seras converti, affermis tes frères. Seigneur, lui dit Pierre, je suis prêt à aller avec toi et en prison et à la mort. Et Jésus dit: Pierre, je te le dis, le coq ne chantera pas aujourd’hui que tu n’aies nié trois fois de me connaître. Il leur dit encore: Quand je vous ai envoyés sans bourse, sans sac, et sans souliers, avez-vous manqué de quelque chose? Ils répondirent: De rien. Et il leur dit: Maintenant, au contraire, que celui qui a une bourse la prenne et que celui qui a un sac le prenne également, que celui qui n’a point d’épée vende son vêtement et achète une épée. Car, je vous le dis, il faut que cette parole qui est écrite s’accomplisse en moi: Il a été mis au nombre des malfaiteurs. Et ce qui me concerne est sur le point d’arriver. Ils dirent: Seigneur, voici deux épées. Et il leur dit: Cela suffit. Après être sorti, il alla, selon sa coutume, à la montagne des Oliviers. Ses disciples le suivirent.

À propos de l'auteur

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Jivko Panev

Jivko Panev, cofondateur et journaliste sur Orthodoxie.com. Producteur de l'émission 'Orthodoxie' sur France 2 et journaliste.
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