Résultats de recherche pour Jean-Claude Larchet

Grégoire de Nysse, “Discours catéchétique”. Texte grec de E. Mühlenberg. Introduction, traduction et notes de R. Winling, Paris, Éditions du Cerf, 2000, 352 pages (« Sources chrétiennes » n° 453). Le Discours catéchétique se distingue des Catéchèses composées par d’autres Pères : alors que celles-ci étaient destinées à des catéchumènes, celui-là a été écrit à l’intention de ceux qui était chargés de leur formation. Il s’agit donc en quelque sorte

Parmi les splendeurs des saints, Éditions Ormylia, 2004, 198 p. On peut se procurer le livre dans les librairies des monastères Saint-Antoine le Grand (Font de Laval, 26190 St Laurent-en-Royans) et de la Protection de la Mère de Dieu (Mas de Solan, 30330 La Bastide d’Engras).Derrière ce titre étrange et une couverture assez kitsch, se cache une très belle Vie du père Jacques Tsalikis (1920-1991), l’un des plus remarquables spirituels

Théodore Stoudite, Les Grandes catéchèses (Livre I). Les Épigrammes (I-XXIX). Présentation, traduction et notes par Florence de Montleau, Bégrolles-en-Mauge, Éditions de l’Abbaye de Bellefontaine, 2002, 636 p. (« Spiritualité orientale » n° 79). 29¤. Recueil classique de conseils spirituels destinés en priorité à des moines, les Grandes catéchèses de saint Théodore Stoudite sont aussi un document fondamental sur la réforme du monachisme byzantin au VIIIe et IXe siècles. On peut

Moine Grégoire, disciple de saint Basile le Jeune, Le Péage après la mort. Traduit du grec par Sœur Svetlana Marchal, introduction du P. Placide Deseille. Düsseldorf, éditions Verein Heiliger Serafim von Sarov, 2001, 44 pages. Disponible auprès de Mme Zlatya Milanovic, 6 rue de l’Ourcq, 75019 Paris. Ces deux courts textes évoquent les « télonies », c’est-à-dire les « péages » par lesquels, selon la tradition orthodoxe l’âme passe après

Athanase d’Alexandrie, Les trois discours contre les ariens, Traduction et notes par Adelin Rousseau, Avant-propos et guide de lecture par René Lafontaine, Éditions Lessius (diffusion Cerf), Bruxelles, 2004, 516 p. Cet ouvrage nous offre la première traduction française réalisée à partir du texte original grec, d’une œuvre fondamentale de saint Athanase d’Alexandrie, qui fut l’un des principaux défenseurs de la foi orthodoxe face à l’hérésie arienne qui niait la divinité