Jivko Panev

Le premier ministre turc Erdoğan, selon le journal turc Radikal, envisage une prière islamique en la basilique Sainte-Sophie de Constantinople. La prière, à laquelle devrait participer le premier ministre turc et des leaders du monde musulman, aurait lieu dans le cadre des fêtes annuelles commémorant la conquête de la ville par les Ottomans en 1453 et ne serait pas étrangère aux élections présidentielles au mois d’août. Malgré cela, en prévision

« J’ai été étonné par ce qui est arrivé. Notre église existe dans cette ville depuis 130 ans, et il ne s’est jamais rien passé de semblable. Je suis peiné pour notre église qui a fait l’objet de cette attaque, et je suis également peiné pour l’homme qui a fait cela. Je ne sais qui il est et pour quelle raison il a agi, et je prierai pour que le Seigneur

Conformément à la demande du gouverneur civil du Mont Athos, Aristos Kasmiroglou, qui est fonctionnaire du ministère grec des Affaires étrangères, la Sainte-Communauté du Mont Athos, lors de sa session du 10 avril, a émis des critiques au sujet de l’initiative de l’Église orthodoxe russe, du président et du gouvernement russes concernant la commémoration en 2016 du millénaire du monachisme russe sur l’Athos. Entre autres, le gouverneur civil du Mont

Le patriarche de Géorgie Élie II s’est adressé au parlement géorgien pour lui demander de suspendre l’adoption de la loi « sur l’éradication de toutes les formes de discrimination ». Il s’est également adressé au gouvernement du pays dans le même sens. Selon la déclaration du patriarche, l’Église orthodoxe de Géorgie considère que la violence et la discrimination sont inacceptables. Toutefois, les croyants sont préoccupés par la présence dans le texte de

La chancellerie du diocèse de Ras et Prizren de l’Église orthodoxe serbe a publié le communiqué suivant : « Sur le portail du monastère de Dečani sont apparus le 24 avril des graffitis ‘UCK’ (la soi-disant armée de libération du Kosovo). C’est là la dernière en date d’une série de provocations semblables des extrémistes albanais qui ont inscrits des slogans haineux sur le mur de l’église de Đakovica, et ensuite sur les maisons