12 février

Carême des saints Apôtres Dispense de poisson Nativité du vénérable et glorieux prophète, précurseur et baptiste Jean ; saint Orence et ses frères: saints Pharnace, Eros, Firme, Firmin, Cyriaque et…
Saint Thomas, moine au Mont Maléon (Xème s.) ; sainte Cyriaque, martyre en Bithynie (vers 295) ; saint Astius, évêque, avec saints Pérégrin, Lucien, Pompée, Hésychius, Papias, Saturnin et Germain,…
Carême des saints Apôtres Icône de N.D. de Vladimir ; sainte Agrippine, martyre à Rome (vers 260) ; saint Aristocle, prêtre, Dimitrien, diacre, et Athanase, lecteur, martyrs à Chypre (vers…
Jour de jeûne Saint Sisoès le Grand, ascète au désert de Scété (429) ; sainte Lucie, vierge, et ses 24 compagnons de martyre en Campanie dont : saints Antoine, Lucien,…
Carême des saints Apôtres Saint Eusèbe, évêque de Samosate, martyr (380) ; saint Alban, protomartyr en Angleterre (254) ; saints Zenon et Zénas, martyrs en Arabie (304) ; saint Paulin…
Saint Athanase du Mont-Athos (1000) ; saint Mars, évêque de Nantes (VIème s.) ; saint Lampade d’Irénopolis en Isaurie (Xème s.) ; invention des reliques de saint Serge de Radonège…
Saint Julien d’Anazarbe en Cilicie, martyr (302) ; saint Térence, évêque d’Iconium, martyr (Ier s.) ; saint Méen, abbé en Bretagne (617) ; saint Leufroy, abbé près d’Évreux (738) ;…
Saint André, archevêque de Crète (740) ; saints martyrs Théodote et Théodota (108) ;saint Théodore, évêque de Cyrène, martyr (310) ; saint Florent, évêque de Cahors (IVème s.) ; saint…
3e dimanche après la PentecôteCarême des saints Apôtres – Dispense de poisson Saint Méthode, évêque de Patare en Lycie, martyr (312) ; sainte Gemme, martyre en Saintonge (109) ; saint…
3e dimanche après la Pentecôte Saint Hyacinthe, martyr en Cappadoce (108) ; saint Théodote, sainte Théodotie et leurs compagnons: saints Golindouch, Diomède, Eulampe et Asclépiodote, martyrs en Cappadoce (108); saint…
Déposition de la précieuse robe de notre Souveraine, la Très-Sainte Mère de Dieu, en l’église des Blachernes à Constantinople ; saint Juvénal, patriarche de Jérusalem (vers 458) ; saints Processe…
Carême des saints ApôtresDispense de poisson Saint Jude, frère du Seigneur, apôtre (vers 80) ; saint Zosime, martyr en Pisidie (IIème s.) ; saint Païssios le Grand, moine en Égypte…
Ce catéchisme est particulièrement bienvenu pour les parents en attente, pour leurs enfants d’un catéchisme orthodoxe fiable, mais aussi pour un certain nombre d’adultes qui pour des raisons diverses, n’ont pas été ou ont été insuffisamment catéchisés.Présenté en 250 pages dans un beau volume relié, il est l’œuvre du hiéromoine Grégoire (Chatziemmanouil), qui après avoir été un certain temps second du monastère de Stavronikita, s’est retiré depuis plusieurs décennies dans une callyve près de Karyès pour former avec quelques frères l’une des meilleures petites communautés de la Sainte Montagne.Ce catéchisme se présente comme un exposé linéaire plutôt que sous la forme souvent adoptée de question-réponses, mais il se subdivise en petites unités ce qui rend son usage tout aussi aisé.Après une introduction générale sur la nature et le but de la catéchèse, il comporte trois grandes parties :1. La foi de l’Église, avec comme subdivisions : le Dieu trinitaire ; la création du monde intelligible et sensible ; l’Économie divine ; la Très-Sainte Mère de Dieu ; la Sainte Église ; le Royaume de Dieu.2. La vie liturgique (l’office liturgique et les fêtes ; le lieu de culte ; les saintes icônes et les saintes reliques ; les vases sacrés ; les ornements sacrés et les livres liturgiques ; la Divine Liturgie ; les sacrements).3. La vie en Christ (l’époque de l’Ancien Testament ; l’époque de la grâce ; la prière ; l’ascèse ; la trinité des vertus ; la déification de l’homme.L’épilogue est constitué par la confession de foi de saint Nicodème l’Hagiorite.Un glossaire est proposé en fin d’ouvrage.Ce catéchisme a l’avantage d’être impeccable sur le plan doctrinal, simple dans ses exposés de sorte qu’il peut facilement être utilisé pour la catéchèse des enfants, sobre dans son expression, et constamment fondé sur les enseignements des Pères de l’Église ; s’ajoute à ces qualités la longue expérience spirituelle de l’auteur et sa compétence reconnue dans le domaine liturgique (rappelons
Vient de paraître: Jean-Claude Larchet, « “En suivant les Pères… ”. La vie et l’œuvre du Père Georges Florovsky », Éditions des Syrtes, Genève, 2019, 493 p.Le Père Georges Florovsky (1893-1979), après quelques années d’enseignement à Prague et à Paris, fit la plus grande partie de sa carrière aux États Unis où il enseigna dans les plus prestigieuses universités (Harvard, Cambridge, Princeton…). Unissant une vaste érudition, un attachement profond à la tradition ecclésiale, un souci de répondre aux problèmes contemporains et un sens aigu du dialogue avec les autres confessions chrétiennes, il est considéré comme l’un des plus importants théologiens orthodoxes de notre temps.En France pourtant, son œuvre volumineuse, écrite majoritairement en russe et surtout en anglais, n’a que très peu été traduite.En proposant vingt-cinq de ses articles en traduction française totalisant 340 pages, ce volume entend combler cette lacune.Ces articles sont centrés sur deux thèmes majeurs de la pensée de Florovsky : la nature de la théologie (et donc la façon dont elle doit être pratiquée) et la nature de l’Église. Ces deux thèmes sont eux-mêmes axés sur la notion de Tradition, laquelle tient dans l’œuvre de l’auteur une place essentielle et fait l’objet d’une conception renouvelée où l’indispensable référence aux Pères se conjugue avec la nécessité de répondre de manière adaptée aux besoins de chaque époque. Divers thèmes connexes sont également abordés: le lien de la théologie avec la Révélation et avec la vie liturgique et spirituelle dans l’Église; la catholicité de l’Église; l’Église comme réalité communautaire; le statut du dogme; le statut des Conciles; le statut de l’Écriture et les relations de l’Ancien et du Nouveau Testament; le vrai sens de l’œcuménisme… Écrits entre 1927 et 1967, ces articles gardent un caractère actuel, car les problèmes qu’ils ont affrontés continuent à exister, et les solutions qu’ils proposent sont
Carême des saints ApôtresSaint Tikhon, évêque d’Amathonte en Chypre (vers 450) ; saint Ferréol, prêtre, et saint Ferréol, prêtre, et ses compagnons, martyrs à Besançon (211) ; saint Similien, évêque…
Le métropolite Mélèce de Tchernovtsy et Bucovine, président du Département des relations ecclésiastiques extérieures de l’Église orthodoxe ukrainienne a bien voulu accorder un entretien à Orthodoxie.com. Votre Éminence, Merci d’avoir…
Le site Internet Pemptousia organise une rencontre avec l’Ancien Ephrem et les jeunes adultes des États-Unis, higoumène du monastère de Vatopedi qui aura lieu le samedi 2 juillet, à partir 19h00, heure de Paris….
“Le père Jean-Claude Gurnade parcoure avec nous un livre merveilleux, un livre de « Méditations spirituelles » dues au saint évêque Ignace Briantchaninov. Ce livre vient de paraître aux Éditions…
Le patriarche œcuménique Bartholomée a présidé la divine liturgie, dimanche 26 juin 2022, à Bandırma, (Cyzique) Turquie. Les fidèles de langue slave, qui résident dans cette ville historique de la Mer de Marmara, ont assisté à l’office. La divine liturgie a été célébrée, après l’octroi de l’autorisation correspondante par les autorités de l’État, dans une chambre d’hôtel spécialement conçue au centre de la ville. Dans son discours, le patriarche œcuménique a exprimé sa joie et son émotion de pouvoir rencontrer « face à face » les enfants de l’Église mère qui vivent à Bandırma. « Nous sommes venus, avec notre honorable entourage, pour unir nos prières à Dieu et à notre Sauveur Jésus-Christ, pour qu’il nous donne à tous santé, force, prospérité et toute bénédiction. Nous sommes avec vous pour prier ensemble et supplier le Seigneur bienveillant de mettre fin à la guerre injuste en Ukraine, qui répand la douleur et la mort. Pour que le Dieu d’amour et de paix illumine les responsables, pour que la paix, la réconciliation et la justice reviennent dans ce pays qui souffre depuis longtemps. Lorsque la divine liturgie est célébrée, les cieux s’ouvrent et tout est rempli de la lumière de la résurrection. Ils glorifient Dieu avec nous tous et les âmes des anciens habitants de Bandırma, qui, pendant des siècles, ont maintenu et cultivé les traditions sacrées de l’orthodoxie et partagé pacifiquement sa vie, ses joies et ses peines avec les autres habitants de la région. Le pouvoir de l’Église est spirituel. C’est la force d’une longue tradition, d’une grande civilisation qui a changé le monde et qui reste un espoir pour l’avenir. Nous devons tous nous efforcer de sauver ce précieux héritage. Il ne doit à aucun prix se perdre dans l’âme de la nouvelle génération, ne pas s’effacer, la sensation de notre culture
Carême des saints Apôtres Translation des reliques des saints Cyr et Jean, anargyres (412) ; saint Zacharie, évêque de Lyon (IIIème s.) ; sainte Téchilde, reine de Bourgogne (vers 600)…
Carême des saints ApôtresSaint Amos, prophète (VIIIème s. av. J.-C.) ; saints Guy et Modeste et sainte Crescence, nourrice, martyrs en Italie (vers 303) ; saint Doulas, martyr en Cilicie…
« Le 24 juin 1992, Sa Béatitude Anastase a été élu archevêque de notre Église après une période sombre marquée par l’athéisme », écrit le service de presse de l’Église orthodoxe d’Albanie. Le 30è anniversaire de l’élection de l’archevêque a été célébré de manière festive vendredi dernier dans l’église de l’Annonciation de la Theotokos à Tirana. Sa Béatitude a célébré la divine liturgie avec Sa Grâce l’évêque Asti de Byllis et le clergé de l’archidiocèse. Après l’office, Mgr Asti a remercié l’archevêque pour ses années de labeur à la tête de l’Église d’Albanie et lui a souhaité de nombreuses années. L’élection de l’archevêque Anastase à la cathèdre de Tirana a marqué également le renouveau canonique de l’Église orthodoxe autocéphale d’Albanie. Son Éminence s’est ensuite adressée aux fidèles, remerciant Dieu pour tout ce qu’Il a permis d’accomplir au cours des 30 dernières années. Il a également évoqué les événements qui ont précédé son élection comme primat de l’Église d’Albanie par le Saint Synode du Patriarcat de Constantinople. Le clergé et les fidèles ont ensuite félicité leur primat, et les enfants d’un groupe scolaire local ont interprété une chanson qu’ils avaient composée en son honneur. L’Église albanaise se souvient de sa renaissance : Le 24 juin 1992, le Patriarcat œcuménique, en tant qu’Église mère qui avait accordé l’autocéphalie, a élu le métropolite Anastase comme premier archevêque après la victoire de la démocratie. C’est au Patriarcat, en 1937, qu’avait été élu le premier archevêque canonique de notre Église. Cet événement a constitué la proclamation de la bonne nouvelle que l’Église d’Albanie était active et pleine de vie et qu’elle poursuivrait l’œuvre spirituelle éclairée par Dieu au profit de l’ensemble de la société albanaise. Le début des années 1990, bien que la liberté de religion ait été officiellement retrouvée, a été dramatique pour la communauté
Le patriarche Daniel a célébré, dimanche 26 juin 2022, la sainte Liturgie dans la salle des saints roumains de la résidence patriarcale. Le deuxième dimanche après la Pentecôte a été institué « dimanche de tous les saints roumains » par une décision du Saint-Synode du 20 juin 1992, afin de souligner l’œuvre de l’Esprit Saint dans le peuple roumain orthodoxe. « Le dimanche des saints roumains, nous honorons tous les saints roumains, connus et inconnus », a déclaré le patriarche Daniel, qui a également mentionné une catégorie surprenante de saints roumains : « La multitude de saints laïcs fidèles, la multitude de mères, de pères, de grands-parents qui ont élevé leurs enfants dans la foi, leur ont appris à aimer le Christ, à aimer Son Église et à aimer le pays et la nation roumaine ». Cette mention a été faite dans le contexte de l’explication par Sa Béatitude du tropaire du dimanche des saints roumains, qui énumère les catégories, ou groupes de saints roumains honorés en ce dimanche. Le premier groupe est composé de « prêtres et de diacres qui ont témoigné la foi apostolique reçue des saints apôtres André, Philippe et leurs disciples. Le second est celui des martyrs, suivi par les vénérables moines et moniales. Le patriarche Daniel a ajouté les pères et grands-pères chrétiens qui se sont humblement sacrifiés, transmettant la foi aux jeunes générations par leur exemple. Le patriarche de Roumanie n’a pas non plus omis les héros et les confesseurs récents : « Une multitude de saints qui se sont sacrifiés sur les champs de bataille pendant les invasions, les incursions barbares, et pendant la domination des autres religions sur le territoire de notre pays, jusqu’à l’époque plus récente du régime communiste, où une multitude de personnes sont mortes dans les prisons, dans les camps et ont souffert parce qu’elles croyaient au
“À Son Éminence Jean, métropolite de Doubna, chef de l’Archevêché des paroisses de tradition russe en Europe occidentale Éminence, cher Vladyka ! Je vous félicite, ainsi que le clergé, les moines, les moniales et les laïcs de l’Archevêché des paroisses de tradition russe en Europe occidentale, à l’occasion de son 100e anniversaire. Les bouleversements sociaux qui ont frappé la Russie au début du XXe siècle, ont contraint des millions de nos compatriotes à chercher refuge sur d’autres terres, notamment en Europe occidentale. Vivant à l’étranger, dans les travaux et les privations, peuple a gardé précieusement la foi orthodoxe, puisant en elle les forces spirituelles et la consolation, sachant que l’espoir qui vient de l’expérience de la souffrance endurée n’est pas trompeur (Rm 5, 4). Vivre dans un ennotre vironnement culturel étranger a incité les Russes à porter un regard nouveau sur leur richissime patrimoine, et les a aidés à découvrir en lui des significations profondes, inconnues jusqu’alors. Ainsi, l’un des phénomènes spirituels et culturels les plus marquants de cette période en Europe fut l’activité de l’École de théologie de Paris, qui influença les esprits des contemporains et le développement des sciences religieuses orthodoxes en général. Témoignant devant le monde occidental de l’authentique beauté de la tradition chrétienne orientale, les émigrés russes créèrent des communautés paroissiales, bâtirent des églises, fondèrent des écoles de théologie ou des confréries orthodoxes d’hommes et de femmes. Ainsi fut posé le fondement de la structure dont prit la tête le métropolite Euloge, de bienheureuse mémoire, structure qui devint par la suite l’Archevêché. Au cours du siècle écoulé, le cheminement de l’Archevêché des paroisses de tradition russe en Europe occidentale n’a pas été simple. Mais la conscience d’être responsable de la conservation et du développement de la tradition spirituelle et culturelle russe est restée le gage de la réunion tant attendue
L’émission de radio Orthodoxie sur France-Culture du 26 juin a pour thème : « La théologie sacramentaire byzantine ». Présentation : Entretien sur l’ouvrage de Mgr Job Getcha qui porte sur les sacrements chez Nicolas Cabasilas,…
« Dimanche 19 juin 2022 Préambule Nous, les membres de l’Assemblée des évêques orthodoxes canoniques des États-Unis d’Amérique, promouvons et défendons l’essence sacrée et inviolable de la vie humaine. Les défis continus de notre époque nous incitent à publier une déclaration plus complète de la considération de l’Église orthodoxe pour la vie humaine et, en particulier, pour l’interruption de la vie humaine. Préparée par notre comité pour l’Église et la société et approuvée par l’Assemblée dans son ensemble, cette déclaration vise à exprimer succinctement l’enseignement chrétien orthodoxe pour les fidèles et à poursuivre la tradition de l’Église en tant que phare et témoin de la vie librement donnée par notre Créateur bon et aimant. Le caractère sacré de la vie Le caractère sacré de la vie est partagé avec toutes les créatures et la création façonnées et mises en place par notre Créateur tout-puissant. Des organismes unicellulaires aux plantes, des reptiles aux oiseaux, ou des souris aux éléphants, tous sont créés et donc sacrés. “Dieu vit tout ce qu’il avait fait, et cela était très bon” (Genèse 1 : 31). En tant qu’êtres humains, il nous incombe de traiter toute vie en conséquence : avec soin, révérence, humilité et amour. La vie humaine est sacrée et inviolable La reconnaissance de chaque personne humaine comme étant créée à l’image et à la ressemblance de Dieu, destinée à la vie éternelle et donc sacrée et inviolable, est une pierre angulaire du christianisme. À travers les canons, le dogme et le code moral de l’Église à travers les siècles, nous avons affirmé cette compréhension de la vie humaine, du sein maternel à la tombe. Ces convictions sont enseignées et témoignées par l’Église orthodoxe dans toutes ses manifestations à travers le monde aujourd’hui. Toute vie humaine est à la fois sacrée et inviolable, indépendamment de
Carême des saints Apôtres Saint Samson l’hospitalier, anargyre à Constantinople (vers 530) ; sainte Jeanne la myrrhophore ; saint Sévère, prêtre (VIème s.) ; saint Didier d’Autun (579) ; sainte Angadrême, abbesse du…
Carême des saints ApôtresSaint Élisée, prophète (IXème s. av. J.-C.) ; saint Méthode, patriarche de Constantinople, confesseur (847) ; saint Mstislav baptisé Georges, prince de Novgorod (1180) ; saint Méthode,…