1er juillet

Saints Côme et Damien, médecins, anargyres, martyrs à Rome (284) ; saint Potit, martyr  (IIème s.);  saint Martin, évêque de Vienne (IIème s.) ; saint Domitien, fondateur du monastère de Saint-Rambert-de-Joux (Vème s.) ; saint Cybard, reclus près d’Angoulême (581); saint Thierry, abbé au Mont d’Or, près de Reims (533) ; saint Calais, moine de Micy-Saint Mesmin, près d’Orléans (545);  saint Pierre, ascète à Constantinople (854) ; saint Léonce, évêque de Rădăuți en Moldavie (XIVème s.) ; saints nouveaux martyrs de Russie : Arcade (Gariaïev), prêtre (1918) ; Alexis (Drozdov), diacre (1942).

SAINTS CÔME ET DAMIEN

Saints Côme et Damien

Ces deux saints vécurent vers 284 à Rome, sous le règne de l’empereur Carin. Frères selon la chair, ils l’étaient davantage par leur foi et leur commune résolution, et, brillant dans la nuit de l’erreur païenne par leurs vertus et leurs actions d’éclat, ils se frayaient un chemin vers le ciel en se faisant ici-bas les intendants de la miséricorde divine. Distribuant sans compter tous leurs biens d’une main généreuse, ils avaient appris l’art de la médecine d’un païen réputé dans la science d’Hippocrate et de Galien, afin de se mettre, à l’imitation du Sauveur Ami des hommes, au service des hommes souffrants. Ils usaient des remèdes et des soins plutôt comme un prétexte, et guérissaient en fait tous les maux des hommes, autant que des animaux, par l’invocation du Nom du Christ, le Médecin des âmes et des corps, qui a pris sur Lui nos faiblesses et a porté nos maladies (cf. Mt 8, 17). Et, refusant de recevoir argent ou offrandes de toute espèce, ils offraient pour prix de la guérison des corps, la foi au Christ, qui procure le salut éternel. Leur renommée s’étant propagée au loin, on venait de toutes parts les trouver, dans le village proche de Rome où ils résidaient, pour solliciter leurs prières ; et ceux qui étaient guéris par eux retournaient chez eux, illuminés par la foi, en proclamant la miséricorde de Dieu. Cette réputation suscita cependant la haine jalouse des païens les plus fanatiques de la contrée, qui allèrent les dénoncer à Rome, auprès de l’empereur. Arguant que le succès des saints mettait en danger le culte des dieux protecteurs du pouvoir impérial, ils les accusèrent d’user d’incantations magiques pour répandre la religion chrétienne. Troublé par ces paroles, le monarque envoya des soldats les quérir au lieu où ils opéraient habituellement leurs guérisons ; mais les habitants de cet endroit, ayant été avertis à temps, se saisirent des saints et allèrent les cacher dans une grotte perdue dans la montagne, où ils demeurèrent pendant de longs jours, nourris seulement par leurs prières et les louanges incessantes qu’ils adressaient à Dieu. Pendant ce temps, les soldats étant revenus bredouilles et craignant de se présenter les mains vides au palais, se saisirent des hommes et des femmes de condition, les ligotèrent et les conduisirent à Rome. Quand les deux saints Anargyres apprirent cette nouvelle, ils trouvèrent inadmissible que d’autres subissent à leur place des sévices, et qu’ils soient ainsi eux-mêmes frustrés de la gloire du martyre qu’ils désiraient. Repoussant donc avec énergie ceux qui voulaient, par leurs larmes, retenir leurs médecins et leurs maîtres, ils s’empressèrent de rattraper le convoi. Après avoir marché jour et nuit, dès qu’ils aperçurent les soldats, ils leur crièrent : « Nous sommes Cosme et Damien, que vous cherchez ! Laissez aller ceux que vous avez arrêtés à notre place et emmenez-nous où vous voudrez ! » Stupéfaits, les soldats obtempérèrent et, le lendemain, ils les présentèrent à l’empereur, en racontant ce qui s’était passé. Assis sur un trône élevé, en présence d’une nombreuse assemblée, Carin fit comparaître les saints et leur dit : « Êtes-vous ceux qui rejetez les dieux et leurs adorateurs et qui avez attribué les guérisons obtenues par vos enchantements à un malfaiteur décédé de mort violente qu’on nomme le Christ ? » Sans trouble et d’une voix assurée, les saints répondirent : « Nous ne sommes ni trompeurs ni sorciers, ô Empereur, car c’est là l’œuvre des démons, mais ayant reconnu que Celui que tu appelles Jésus le mort, est le seul vrai Dieu, qui est venu souffrir volontairement pour nous procurer la vie éternelle par sa Résurrection le troisième jour, nous avons repoussé le culte vain des idoles et les choses mortes, pour nous consacrer au Dieu vivant. C’est en son Nom que toute maladie est guérie et que les démons s’enfuient impuissants. Et c’est gratuitement que nous procurons la guérison, conformément aux paroles de notre divin Maître qui nous a recommandé de donner gratuitement ce que nous avons gratuitement reçu de lui (cf. Mt 10, 9). Telle est notre science, et tel est le remède des chrétiens, qui guérit et sauve. » Le souverain, emporté par la colère, leur ordonna, sous peine de cruels châtiments, de se soumettre à la religion ancestrale des Romains, selon laquelle ce sont les dieux qui enseignent les sciences et les arts aux hommes, et surtout le grand Asclépios qui préside à toute guérison. Les saints lui rétorquèrent : « Nous sommes prêts à souffrir pour le Christ, le vrai Dieu, tous les sévices que tu inventeras, car à leur place nous recevrons de Dieu les délices sans fin. Et comme dans un festin, on verse aux convives la boisson du soir, accorde-nous, en plus de la mort pour le Christ, quelques-uns des supplices qu’Il a soufferts pour nous. Quant à toi, n’ayant pas voulu apprendre par la raison ce qui concerne la Vérité, sache que ton intelligence distordue va bientôt l’apprendre par l’action. » Un frisson d’une violence extrême parcourut tout le corps de l’empereur et, aussitôt, comme si ses vertèbres se brisaient, son visage se retourna en arrière, ne pouvant se tourner ni à gauche ni à droite. L’assemblée, saisie de stupeur, s’écria : « Grand est Dieu, le Christ ! » Et l’empereur lui-même, renonçant à son arrogance, défit son manteau de pourpre et, le jetant aux saints, les supplia d’intervenir en sa faveur. Comme ceux-ci lui répondaient que seulement la foi et la confession du Christ-Dieu pouvaient lui rendre la santé, il s’écria : « Je crois en Toi, ô Christ, et je confesse que Tu es le vrai Dieu ! » Dès que les saints Anargyres lui imposèrent les mains en priant, sa nuque se redressa, et la guérison du souverain affermit dans la foi tous les assistants. Peu après Carin décréta la démolition de tous les temples des idoles et la construction de lieux de cultes au Nom du Christ, et il invita ses sujets à embrasser la foi, tant à Rome que dans tout le reste de l’Empire. Puis, ayant fait convoquer l’évêque Félix , il s’engagea à recevoir le baptême. Quant aux saints Anargyres, ayant refusé comme de coutume, tout l’or et toutes les richesses que leur proposait l’empereur, ils retournèrent en paix dans leur demeure, grandement honorés par tous. Leur maître païen, ayant pris ombrage de la notoriété des deux frères, qui continuaient d’accomplir d’innombrables guérisons, nourrissait en secret des pensées de meurtre, tout en feignant de leur manifester la plus tendre amitié. Lorsque vint la saison de cueillir les plantes médicinales dans la montagne, en des lieux escarpés et difficiles d’accès que lui seul connaissait, il proposa à ses deux disciples de l’accompagner. Innocents et le cœur droit, les jeunes gens le suivirent, tel Isaac autrefois pour être offert en sacrifice par son père (cf. Gn 22). Les ayant séparés pour cueillir des herbes dans des endroits différents, le médecin scélérat saisit des deux mains une lourde pierre et, du haut d’un promontoire, il écrasa la tête de l’un des frères, puis, animé d’une rage démoniaque, il courut vers le second pour le lapider, jusqu’à lui broyer tous les os. Il creusa ensuite la terre avec sa machette et y cacha les corps des deux saints martyrs, puis il retourna au village, en répandant la rumeur que les deux frères s’étaient retirés pour se consacrer quelque temps à Dieu. La population ne tarda pas à trouver leur absence insupportable, et leurs admirateurs partirent à leur recherche dans la montagne. En chemin, ils rencontrèrent des hommes qui venaient d’être délivrés d’une possession démoniaque par une force divine. Ils se firent conduire à l’endroit où ce miracle avait eu lieu et, après l’avoir nettoyé, découvrirent les corps ensevelis. Les ayant exhumés avec piété, on procéda à leur translation au milieu des chants d’actions de grâces et des hymnes, et ils furent déposés dans un même tombeau. Dès lors les saints Anargyres ne cessèrent pas d’accomplir quantité de miracles : les uns trouvaient la guérison en vénérant leurs ossements sacrés, à d’autres ils apparaissaient en vision, et aux autres, la seule invocation de leurs noms suffisait pour une guérison assurée.

(Tiré du Synaxaire du hiéromoine Macaire de Simonos Petras)

TROPAIRES ET KONDAKIA DU JOUR

Tropaire, ton 8

Saints Anargyres et thaumaturges Cosme et Damien, * visitez- nous lorsque nous frappe l’infirmité: * gratuitement vous avez reçu, * gratuitement donnez-nous, vous aussi.

Kondakion, ton 2

Ayant reçu le pouvoir des guérisons, * à ceux qui en manquent vous conférez la vigueur: * illustres médecins, thaumaturges renommés, * renversez aussi par votre visite l’audace des ennemis * et par vos miracles sauvez le monde entier.

ÉPÎTRE DU JOUR

Rom. X, 11 – XI, 2

Quiconque croit en lui ne sera point confus. Il n’y a aucune différence, en effet, entre le Juif et le Grec, puisqu’ils ont tous un même Seigneur, qui est riche pour tous ceux qui l’invoquent. Car quiconque invoquera le nom du Seigneur sera sauvé. Comment donc invoqueront-ils celui en qui ils n’ont pas cru ? Et comment croiront-ils en celui dont ils n’ont pas entendu parler ? Et comment en entendront-ils parler, s’il n’y a personne qui prêche ? Et comment y aura-t-il des prédicateurs, s’ils ne sont pas envoyés ? selon qu’il est écrit : Qu’ils sont beaux Les pieds de ceux qui annoncent la paix, De ceux qui annoncent de bonnes nouvelles ! Mais tous n’ont pas obéi à la bonne nouvelle. Aussi Ésaïe dit-il : Seigneur, Qui a cru à notre prédication ? Ainsi la foi vient de ce qu’on entend, et ce qu’on entend vient de la parole de Christ. Mais je dis : N’ont-ils pas entendu ? Au contraire ! Leur voix est allée par toute la terre, Et leurs paroles jusqu’aux extrémités du monde. Mais je dis : Israël ne l’a-t-il pas su ? Moïse le premier dit : J’exciterai votre jalousie par ce qui n’est point une nation, je provoquerai votre colère par une nation sans intelligence. Et Ésaïe pousse la hardiesse jusqu’à dire : J’ai été trouvé par ceux qui ne me cherchaient pas, Je me suis manifesté à ceux qui ne me demandaient pas. Mais au sujet d’Israël, il dit : J’ai tendu mes mains tout le jour vers un peuple rebelle Et contredisant. Je dis donc : Dieu a-t-il rejeté son peuple ? Loin de là ! Car moi aussi je suis Israélite, de la postérité d’Abraham, de la tribu de Benjamin. Dieu n’a point rejeté son peuple, qu’il a connu d’avance.

1 Cor. XII, 27-XIII, 8 (Sts Côme et Damien)

Frères, vous êtes le corps de Christ, et vous êtes ses membres, chacun pour sa part. Et Dieu a établi dans l’Église premièrement des apôtres, deuxièmement des prophètes, troisièmement des docteurs, ensuite ceux qui ont le don des miracles, puis ceux qui ont les dons de guérir, de secourir, de gouverner, de parler diverses langues. Tous sont-ils apôtres ? Tous sont-ils prophètes? Tous sont-ils docteurs ? Tous ont-ils le don des miracles ? Tous ont-ils le don des guérisons ? Tous parlent-ils en langues ? Tous interprètent-ils ? Aspirez aux dons les meilleurs. Et je vais encore vous montrer une voie par excellence. Quand je parlerais les langues des hommes et des anges, si je n’ai pas la charité, je suis un airain qui résonne, ou une cymbale qui retentit. Et quand j’aurais le don de prophétie, la science de tous les mystères et toute la connaissance, quand j’aurais même toute la foi jusqu’à transporter des montagnes, si je n’ai pas la charité, je ne suis rien. Et quand je distribuerais tous mes biens pour la nourriture des pauvres, quand je livrerais même mon corps pour être brûlé, si je n’ai pas la charité, cela ne me sert de rien. La charité est patiente, elle est pleine de bonté ; la charité n’est point envieuse ; la charité ne se vante point, elle ne s’enfle point d’orgueil, elle ne fait rien de malhonnête, elle ne cherche point son intérêt, elle ne s’irrite point, elle ne soupçonne point le mal, elle ne se réjouit point de l’injustice, mais elle se réjouit de la vérité ; elle excuse tout, elle croit tout, elle espère tout, elle supporte tout. La charité ne périra jamais.

ÉVANGILE DU JOUR

Matth. XI, 16-20

À qui comparerai-je cette génération ? Elle ressemble à des enfants assis dans des places publiques, et qui, s’adressant à d’autres enfants, disent : Nous vous avons joué de la flûte, et vous n’avez pas dansé; nous avons chanté des complaintes, et vous ne vous êtes pas lamentés. Car Jean est venu, ne mangeant ni ne buvant, et ils disent : Il a un démon. Le Fils de l’homme est venu, mangeant et buvant, et ils disent : C’est un mangeur et un buveur, un ami des publicains et des gens de mauvaise vie. Mais la sagesse a été justifiée par ses œuvres. Alors il se mit à faire des reproches aux villes dans lesquelles avaient eu lieu la plupart de ses miracles, parce qu’elles ne s’étaient pas repenties.

Matth. X, 1, 5-8 (Sts Côme et Damien)

Jésus, ayant appelé ses douze disciples, leur donna le pouvoir de chasser les esprits impurs, et de guérir toute maladie et toute infirmité.  Tels sont les douze que Jésus envoya, après leur avoir donné les instructions suivantes : n’allez pas vers les païens, et n’entrez pas dans les villes des Samaritains ; allez plutôt vers les brebis perdues de la maison d’Israël. Allez, prêchez, et dites : Le royaume des cieux est proche. Guérissez les malades, ressuscitez les morts, purifiez les lépreux, chassez les démons. Vous avez reçu gratuitement, donnez gratuitement.

À propos de l'auteur

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Jivko Panev

Jivko Panev, cofondateur et journaliste sur Orthodoxie.com. Producteur de l'émission 'Orthodoxie' sur France 2 et journaliste.
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