22 décembre

26ème dimanche après la Pentecôte – Dimanche des Pères ou de la Généalogie     

Carême de la Nativité

Sainte Anastasie de Rome, grande-martyre (vers 304) ; saints Chrysogone, Evode, Eutychien, sainte Théodotie et les autres compagnons de sainte Anastasie, martyrs en Illyrie (vers 304) ; saints néo-martyrs de Russie: Démètre (Kiranov) et Théodore (Poroïkov), prêtres (1938).

SAINTE GRANDE-MARTYRE ANASTASIE

22 décembre

Sainte Anastasie, portant un nom qui signifie la résurrection, vivait à Rome, au temps où Dioclétien régnait sur l’Empire romain (284-305). Elle était fille d’un riche et illustre païen, nommé Prétexatus ; mais sa pieuse mère, Fausta, après avoir planté en son âme d’enfant les premiers germes de la foi, la confia à un homme vénérable, plein de sagesse et fort versé dans la connaissance des saintes Écritures, Chrysogone, pour qu’il lui enseignât les choses de Dieu. Par la suite, son père la maria contre son gré à un homme exécrable, Publius, qui ne pensait qu’à satisfaire avec elle ses grossières convoitises. L’âme éprise pour l’Époux céleste et pour la virginité qui rend semblable aux anges, la jeune fille réussit à éviter les relations conjugales avec son époux, sous prétexte de maladie. Mais la nuit, elle se revêtait d’humbles habits, comme une femme du peuple et, en compagnie d’une servante, allait visiter les soldats du Christ retenus dans les prisons de l’empereur pour la cause de la Foi. Elle obtenait d’y entrer en offrant l’or sans compter aux gardes, et prodiguait avec amour et dévotion quelques soulagements à ceux qui avaient enduré les supplices pour le Nom du Christ. Elle leur lavait les pieds, nettoyait et bandait leurs plaies encore toutes fraîches, et les encourageait à persévérer jusqu’au terme du combat pour recevoir les palmes de la victoire et de la gloire éternelle. Quand Publius apprit que son épouse l’avait trompé en prétextant la maladie et qu’elle se dégradait en se mêlant à la gent méprisée des martyrs chrétiens, il entra dans une terrible colère et fit enfermer Anastasie dans sa demeure, en lui interdisant tout contact avec le monde.

Grâce à l’entremise d’une vieille femme chrétienne du voisinage, Anastasie réussit pourtant à faire parvenir une lettre à son père spirituel, Chrysogone, qui se trouvait lui aussi en prison sur ordre de l’empereur. Il lui répondit par une lettre pleine de joie et d’espérance, la consolant dans sa détresse et l’exhortant à la persévérance, car emprisonnements, persécutions et souffrances de toutes sortes sont la part des disciples de Celui qui a accepté d’être crucifié pour notre Salut. Comme l’or est éprouvé dans la fournaise, c’est ainsi, par les épreuves, que le Seigneur éprouve la foi et l’amour de ses serviteurs. Réconfortée par ses paroles, la jeune femme supporta avec patience les mauvais traitements de ses geôliers, bien qu’elle fût réduite à la dernière extrémité, car ceux-ci la privaient presque complètement de nourriture. Dans une seconde lettre, Chrysogone renouvela ses forces, lui recommandant de se préparer à tout instant à mourir pour le Christ, afin d’être comptée au nombre des martyrs victorieux. Croissant de jour en jour dans la joie et la fermeté de la foi, sainte Anastasie persévéra ainsi près de trois mois, au terme desquels, son mari ayant péri dans un naufrage au cours d’une expédition vers la Perse, elle recouvra sa liberté. Elle s’empressa alors d’aller rendre visite à Chrysogone, et obtint de lui la permission de distribuer sa fortune en œuvres de bienfaisance pour consacrer désormais sa vie à la visite et au soutien des confesseurs dans leurs prisons.

Dioclétien, en séjour à Aquilée, prescrivit alors de mettre à mort les chrétiens amassés dans les prisons de Rome, et fit comparaître à son tribunal Chrysogone, un des principaux responsables de leur ténacité. Après avoir repoussé avec une méprisante ironie les vaines propositions du souverain, qui lui promettait de le couvrir d’honneurs s’il acceptait de se soumettre, l’héroïque vieillard fut entraîné dans un lieu désert et décapité, puis son corps fut jeté dans les eaux d’un lac voisin. Quelque temps après, à la suite d’une révélation divine, ses saints restes furent retrouvés et dignement ensevelis par les soins d’un saint ascète demeurant dans la région, nommé Zoïle, et de trois jeunes sœurs originaires de Thessalonique : Agapé, Chionée et Irène. Par la suite, conformément à une révélation dont Zoïle avait été gratifiée, les trois jeunes filles, assistées par sainte Anastasie, furent arrêtées, traduites devant Dioclétien à Aquilée et consommèrent avec une intrépide bravoure leur martyre pour le Christ. Quant à Zoïle, il s’endormit dans la paix du Seigneur.

De jour comme de nuit, Anastasie se dépensait sans compter pour ses compagnes et pour tous les confesseurs. Il n’était pas un chrétien qui ne trouvât auprès d’elle quelque réconfort : nourriture, argent, assistance compatissante, paroles brûlantes pour les encourager à la constance et à l’espérance dans les biens célestes, et lorsqu’ils parvenaient au terme de leurs combats, elle assurait à leurs dépouilles une digne et pieuse sépulture. Le tyran donna finalement l’ordre d’exterminer, en une nuit, tous ceux qui étaient encore retenus dans les cachots, en noyant les uns, en jetant les autres au feu, ou en les passant au fil de l’épée. Anastasie, se rendant comme à l’accoutumée à la prison, n’y trouva plus aucun de ses frères, aussi, accablée de douleur, elle s’affaissa tout en larmes devant la porte. Quand des païens de passage la découvrirent ainsi abattue, elle leur répondit, n’ayant plus souci de se cacher, qu’elle était chrétienne et qu’elle pleurait la perte de ses frères. Immédiatement arrêtée comme une femme du commun, elle fut traduite devant Florus, le préfet de l’Illyricum. Apprenant sa haute condition, celui-ci ne la livra pas immédiatement aux bourreaux, mais essaya de la convaincre en l’interrogeant. Le lendemain, Anastasie fut présentée devant Dioclétien. Mais devant l’un et l’autre, toutes ses réponses n’avaient qu’un seul objet : le mépris des biens et des considérations de ce monde, et l’attente impatiente de rejoindre ses compagnons dans le Royaume des cieux. À bout d’arguments, le préfet Florus décida de livrer la jeune veuve au grand prêtre païen du Capitole, Ulpianus, qui la mena dans son palais et lui montra exposés d’un côte quantité de bijoux, de riches toilettes et d’objets précieux, et de l’autre des instruments de supplices, dont la vue seule glaçait d’horreur le plus insensible des païens. Qu’elle accepte de sacrifier aux dieux, et il lui promettait de l’épouser et de la combler de ces richesses, sinon il la soumettrait à la torture. Pendant trois jours, elle fut l’objet des entreprises perfides de trois méchantes femmes qui essayaient de la faire fléchir. Mais, restant constamment en prière, sans manger ni dormir, Anastasie sentait au contraire ses forces se renouveler. Comme Ulpianus se précipitait sur elle pour lui faire outrage, il fut soudain frappé de cécité, et il mourut, après avoir vainement invoqué ses dieux illusoires.

Libérée, Anastasie se rendit à Nicée en Bithynie où, en visitant les prisons, elle rencontra la pieuse veuve Théodote, qui se consacrait elle aussi à l’assistance et au réconfort des confesseurs de la foi. Dioclétien l’avait offerte en mariage au comte de Bithynie, Leucade, pour que l’attrait de la vie mondaine la persuadât d’abandonner le Christ. Après avoir, comme Anastasie, repoussé le moment de s’unir à son époux, Théodote avait profité de son absence pour se consacrer tout entière au soutien des soldats du Christ, en compagnie de ses trois enfants. Apprenant la conduite de son épouse à son retour, Leucade, furieux, la livra au proconsul de Bithynie, Nicétios, pour qu’elle soit châtiée. Irréductible, de même que ses enfants, Théodote s’apprêtait à recevoir la palme du martyre. Son fils aîné, Évode, amené devant les instruments de torture, répondit au tyran : « Tu vois bien que la résolution de notre âme et l’audace de nos paroles, malgré notre jeune âge, nous sont données par le Christ. C’est Lui qui a retiré de nous la crainte humaine, et c’est Lui qui nous revêt maintenant d’une force divine. » Encouragé avec ardeur par sa propre mère à ne pas fléchir, le jeune garçon fut alors livré aux bourreaux et mourut sous les verges. Quant à sa mère, elle fut jetée, en compagnie de ses deux autres fils, dans un brasier en rendant gloire à Dieu qui lui avait permis de gagner ainsi le Ciel avec ses enfants [29 juil.].

Livrée au nouveau préfet d’Illyrie, Lucien, homme avide et sans scrupules, sainte Anastasie refusa de lui céder sa fortune, « car, dit-elle, ce n’est pas aux riches comme toi que mon Dieu m’a commandé de distribuer mes biens, mais aux pauvres, pour leur procurer le salut de l’âme. » Jetée en prison, elle y resta pendant un mois entier, sans prendre aucune nourriture, réconfortée et encouragée par les fréquentes apparitions de sainte Théodote. Quand il la vit sortir rayonnante de force spirituelle, le préfet la livra à d’autres geôliers, plus cruels, pour trente autres jours de réclusion, à l’issue desquels il la condamna à mort. En compagnie d’environ cent trente païens, condamnés pour des crimes de droit commun, et d’un seul chrétien, nommé Eutychien, Anastasie fut embarquée sur un navire, dont on avait percé la coque en maints endroits et qu’on abandonna en pleine mer. Mais, avant que le bateau ne commence à s’enfoncer, sainte Théodote apparut au gouvernail et mena le navire jusqu’à l’île de Palmaria (au large de Naples), où se trouvaient des chrétiens en exil. Devant ce prodige, les compagnons de la sainte embrassèrent à leur tour la foi, pleins de reconnaissance. En apprenant cette nouvelle, le préfet envoya ses troupes dans l’île, fit arrêter près de deux cents chrétiens, et ordonna de tous les décapiter, à la suite d’Anastasie, qui obtint enfin la palme du martyre qu’elle avait procurée à tant d’autres. Ses précieuses reliques, d’abord transportées à Rome où l’on édifia une église en son honneur, furent ensuite transférées à Constantinople, sous le patriarche saint Gennade (vers 470), et déposées dans l’église portant son nom, où elles accomplirent de nombreux miracles.

(Tiré du Synaxaire du hiéromoine Macaire de Simonos Petras)

TROPAIRES ET KONDAKIA DU JOUR

Tropaire du dimanche du 1er ton

La pierre étant scellée par les Juifs et les soldats gardant Ton Corps immaculé, Tu es ressuscité le troisième jour, ô Sauveur, donnant la Vie  au monde ; aussi, les Puissances des cieux Te crièrent : Source de Vie, ô Christ, gloire à Ta Résurrection, gloire à Ton règne, gloire à Ton dessein bienveillant, unique Ami des hommes!

Tropaire des saints Pères, ton 2

Qu’ils sont grandioses les exploits de la foi ! Par elle, les trois jeunes gens ont exulté dans la source des flammes comme auprès d’une source d’eau reposante, et l’on vit le prophète Daniel paître les lions comme des brebis. Par leurs supplications, ô Christ Dieu, sauve nos âmes.

Tropaire de l’avant-fête, ton 4

Prépare-toi, Bethléem : * pour tout homme s’ouvre l’Eden ; * pare-toi, Ephratha: * en la grotte la Vierge fait fleurir l’arbre de vie; * son propre sein devient le Paradis mystique * où pousse l’arbre divin * dont ceux qui en mangent vivront * au lieu d’en mourir comme Adam: * le Christ vient au monde pour relever son image déchue.

Kondakion des saints Ancêtres, ton 6

Jeunes gens trois fois heureux, vous n’avez point vénéré l’image faite de main d’homme, mais fortifiés par l’Essence indescriptible, dans la fournaise de feu vous fûtes glorifiés, vous trois fois bienheureux. Dans la flamme de feu irrésistible vous tenant, vous avez invoqué Dieu. Hâte-Toi, ô Miséricordieux, viens vite, plein de pitié, à notre aide, car Tu le peux selon Ta volonté.  

Kondakion de l’avant-fête, ton 2

Réjouis-toi, Bethléem, prépare-toi, Ephratha, car la Vierge s’empresse d’enfanter le grand Pasteur qu’elle porte en son sein ; à cette vue les Pères théophores se réjouissent et, avec les bergers, chantent la Vierge qui allaite.

ÉPITRE DU JOUR

Hébr. XI, 8, 11-16

C’est par la foi qu’Abraham, lors de sa vocation, obéit et partit pour un lieu qu’il devait recevoir en héritage, et qu’il partit sans savoir où il allait. C’est par la foi que Sara elle-même, malgré son âge avancé, fut rendue capable d’avoir une postérité, parce qu’elle crut à la fidélité de celui qui avait fait la promesse. C’est pourquoi d’un seul homme, déjà usé de corps, naquit une postérité nombreuse comme les étoiles du ciel, comme le sable qui est sur le bord de la mer et qu’on ne peut compter. C’est dans la foi qu’ils sont tous morts, sans avoir obtenu les choses promises ; mais ils les ont vues et saluées de loin, reconnaissant qu’ils étaient étrangers et voyageurs sur la terre. Ceux qui parlent ainsi montrent qu’ils cherchent une patrie. S’ils avaient eu en vue celle d’où ils étaient sortis, ils auraient eu le temps d’y retourner. Mais maintenant ils en désirent une meilleure, c’est-à-dire une céleste. C’est pourquoi Dieu n’a pas honte d’être appelé leur Dieu, car il leur a préparé une cité.

ÉVANGILE DU JOUR

Matth I,1-25

Généalogie de Jésus Christ, fils de David, fils d’Abraham. Abraham engendra Isaac; Isaac engendra Jacob; Jacob engendra Juda et ses frères; Juda engendra de Thamar Pharès et Zara; Pharès engendra Esrom; Esrom engendra Aram; Aram engendra Aminadab; Aminadab engendra Naasson; Naasson engendra Salmon; Salmon engendra Boaz de Rahab; Boaz engendra Obed de Ruth; Obed engendra Isaï; Isaï engendra David. Le roi David engendra Salomon de la femme d’Urie; Salomon engendra Roboam; Roboam engendra Abia; Abia engendra Asa; Asa engendra Josaphat; Josaphat engendra Joram; Joram engendra Ozias; Ozias engendra Joatham; Joatham engendra Achaz; Achaz engendra Ézéchias; Ézéchias engendra Manassé; Manassé engendra Amon; Amon engendra Josias; Josias engendra Jéchonias et ses frères, au temps de la déportation à Babylone.Après la déportation à Babylone, Jéchonias engendra Salathiel; Salathiel engendra Zorobabel; Zorobabel engendra Abiud; Abiud engendra Éliakim; Éliakim engendra Azor; Azor engendra Sadok; Sadok engendra Achim; Achim engendra Éliud; Éliud engendra Éléazar; Éléazar engendra Matthan; Matthan engendra Jacob; Jacob engendra Joseph, l’époux de Marie, de laquelle est né Jésus, qui est appelé Christ. Il y a donc en tout quatorze générations depuis Abraham jusqu’à David, quatorze générations depuis David jusqu’à la déportation à Babylone, et quatorze générations depuis la déportation à Babylone jusqu’au Christ. Voici de quelle manière arriva la naissance de Jésus Christ. Marie, sa mère, ayant été fiancée à Joseph, se trouva enceinte, par la vertu du Saint Esprit, avant qu’ils eussent habité ensemble. Joseph, son époux, qui était un homme de bien et qui ne voulait pas la diffamer, se proposa de rompre secrètement avec elle. Comme il y pensait, voici, un ange du Seigneur lui apparut en songe, et dit: Joseph, fils de David, ne crains pas de prendre avec toi Marie, ta femme, car l’enfant qu’elle a conçu vient du Saint Esprit; elle enfantera un fils, et tu lui donneras le nom de Jésus; c’est lui qui sauvera son peuple de ses péchés. Tout cela arriva afin que s’accomplît ce que le Seigneur avait annoncé par le prophète: Voici, la vierge sera enceinte, elle enfantera un fils, et on lui donnera le nom d’Emmanuel, ce qui signifie Dieu avec nous. Joseph s’étant réveillé fit ce que l’ange du Seigneur lui avait ordonné, et il prit sa femme avec lui. Mais il ne la connut point jusqu’à ce qu’elle eût enfanté un fils, auquel il donna le nom de Jésus.

À propos de l'auteur

Photo of author

Jivko Panev

Jivko Panev, cofondateur et journaliste sur Orthodoxie.com. Producteur de l'émission 'Orthodoxie' sur France 2 et journaliste.
Lire tous les articles par Jivko Panev

Articles populaires

Recension: Hiéromoine Grégoire du Mont-Athos, «La foi, la liturgie et la vie de l’Église orthodoxe. Une esquisse de catéchisme orthodoxe»

Ce catéchisme est particulièrement bienvenu pour les parents en attente, pour leurs enfants d’un catéchisme orthodoxe fiable, mais aussi pour ...

Jean-Claude Larchet, « « En suivant les Pères… ». La vie et l’œuvre du père Georges Florovsky »

Vient de paraître: Jean-Claude Larchet, « “En suivant les Pères… ”. La vie et l’œuvre du Père Georges Florovsky », ...

Le dernier adieu à l’archevêque Anastase d’Albanie

Le service funèbre du bienheureux Archevêque de Tirana, Durrës et de toute l’Albanie, Monseigneur Anastase, s’est déroulé à Tirana sous ...

Éloge funèbre de Sa Sainteté le Patriarche œcuménique Bartholomée lors de l’office des funérailles de feu l’Archevêque de Tirana, Durrës et de toute l’Albanie Anastase

« Béatissimes frères et concélébrants, Éminentissime Métropolite de Korçë, Monseigneur Jean, Locum tenens du siège archiépiscopal vacant de la très sainte ...

Discours du patriarche Cyrille lors de la séance plénière des XXXIIIe Lectures internationales de Noël

Le 28 janvier 2025, au Palais d’État du Kremlin à Moscou, s’est tenue la séance plénière solennelle des XXXIIIe Lectures ...

Diffusion en direct aujourd’hui de la Divine Liturgie et des funérailles du bienheureux archevêque Anastase

À partir de 7 h 30 (heure de Paris), le site Pemptousia.tv diffusera la Divine Liturgie devant la dépouille de ...

17 janvier (ancien calendrier) / 30 janvier (nouveau)

Saint Antoine le Grand, moine en Égypte (356) ; saint Genou, évêque de Cahors (vers 250) ;  sainte Yolaine, martyre ...

30 janvier

Synaxe des saints Hiérarques Basile le Grand, Grégoire le Théologien et Jean Chrysostome ; saint Hippolyte de Rome, martyr avec ...

Pèlerinage à Noyon : Une après-midi de prière devant les reliques de saint Éloi

La cathédrale de Noyon (Oise) accueillera le samedi 1er février 2025 un pèlerinage exceptionnel autour des reliques de saint Éloi. ...

Nouvelle vidéo : mémoriser l’Annonce du Règne par le geste

Hélène Séjournet propose une nouvelle vidéo de son atelier de mémorisation biblique consacré à l’Annonce du Règne (Marc 1, 14-16). ...

Programme du Centenaire du Patriarcat roumain (3-4 février 2025)

Les célébrations liturgiques à la Cathédrale patriarcale, à l’occasion du Centenaire du Patriarcat roumain, se dérouleront selon le programme suivant ...

RCF Hérault : « Saint Sava de Serbie, tradition de la Slava »

L’émission « Actualités des Églises orthodoxes » du 29 janvier présentée par Tatiana Sleptsova, est consacrée à saint Sava de Serbie. Saint Sava est mort ...

Le métropolite Antoine de Volokolamsk rencontre le primat du Patriarcat d’Antioche

Le 25 janvier, dans le cadre de son voyage de travail au Liban, le métropolite Antoine de Volokolamsk, président du ...

29 janvier

Jour de jeûne Translation des reliques de saint Ignace le Théophore, évêque d’Antioche, martyr (107) ; saint Sarbèle et sainte ...

16 janvier (ancien calendrier)/29 janvier (nouveau)

Jour de jeûne Vénération de la précieuse chaîne de l’apôtre Pierre ; saint Danacte, lecteur, martyr en Illyrie (IIème s.) ...

Italie : le sous-secrétaire à la Présidence du Conseil signe l’accord avec le diocèse orthodoxe roumain d’Italie

L’accord a été signé lundi dernier par Alfredo Mantovano, sous-secrétaire à la Présidence du Conseil des ministres, et Son Excellence ...

Le Patriarcat roumain répond à la proposition du pape François d’une date commune de Pâques

À la suite de la récente déclaration du pape François concernant l’établissement d’une date commune pour la célébration de la ...

Les primats des Églises orthodoxes et les dirigeants assisteront aux funérailles de l’archevêque Anastase d’Albanie

Les funérailles auront lieu le jeudi 30 janvier 2025 à 11 heures (12 heures, heure grecque), après la Divine Liturgie. ...