23 février (ancien calendrier)/8 mars (nouveau)

Saint Polycarpe, évêque de Smyrne, hiéromartyr (167) ; saints Jean, Moïse, Antiochus et Antonin, Zébinas, Polychrone, Moïse et Damien, ermites près de Cyr en Syrie (Vème s.) ; saint Alexandre, fondateur du monastère des Acémètes (vers 430); saint Véterin (ou Véturin), moine et prédicateur en Anjou (IVème s.) ; saint Polycarpe de Briansk (1620) ; invention des reliques de la sainte bienheureuse Matrone de Moscou (1998) ; saints néomartyrs de Russie : hiéromartyrs Alexis (Nikolsky), Nicolas (Dmitrov), Michel (Rajkine), prêtres et Serge (Borodavkine), martyr (1938).

SAINT POLYCARPE DE SMYRNE

Saint Polycarpe
Saint Polycarpe, évêque de Smyrne, hiéromartyr (167)

Le glorieux Polycarpe, qui fut, d’après son disciple saint Irénée de Lyon : « Disciple des Apôtres et vécut avec beaucoup de ceux qui avaient vu le Seigneur » , naquit à Éphèse, au temps de l’empereur Vespasien (vers l’an 80). Avant de consommer leur martyre, ses saints parents confièrent leur enfant à une pieuse et noble femme, Callista, qui l’éleva dans la crainte de Dieu et l’amour des saintes vertus. Mû de compassion, l’enfant appliquait si bien les préceptes de l’aumône qu’il vida les réserves de sa mère adoptive pour les distribuer aux pauvres. Et comme celles-ci s’étaient de nouveau miraculeusement remplies, Callista changea son nom de Pancrace pour celui de Polycarpe (c’est-à-dire « fruit abondant »).

Parvenu à maturité, il devint disciple de saint Jean le Théologien, qui proclamait alors la Bonne Nouvelle dans la province d’Asie, en compagnie de saint Boucole [6 fév.] et de saint Ignace le Théophore [20 déc.]. S’imprégnant de son enseignement et de tout ce qui pouvait rappeler la vie du Seigneur, Polycarpe partagea avec empressement toutes les tribulations du Disciple Bien-Aimé, jusqu’à son exil à Patmos. Saint Jean ordonna alors Boucole évêque de la grande et illustre cité de Smyrne, et il lui confia Polycarpe comme aide et compagnon de travaux. Parvenu à Smyrne, Polycarpe fut ordonné prêtre et chargé du soin des orphelins ; jusqu’au jour où, prévoyant sa mort prochaine, saint Boucole désigna l’humble Polycarpe pour lui succéder.

Devenu, par la volonté de Dieu et de son père spirituel, pasteur de l’Église de Smyrne, Polycarpe s’acquitta dès lors de sa tâche en imitant parfaitement la conduite de ses pères, et répétant avec fidélité leurs paroles et celles qu’ils avaient recueillies de la bouche même du Seigneur. De son exil à Patmos, saint Jean adressait ses éloges à l’Ange de l’Église de Smyrne et l’encourageait à rester fidèle jusqu’à la mort pour recevoir la couronne de la vie éternelle (Ap 2, 10). Revêtu de la grâce divine, Polycarpe accomplit de nombreux miracles : il éteignit par sa prière un incendie qui menaçait la contrée depuis sept jours, fit tomber une pluie bienfaisante au terme d’une longue sécheresse, délivra des possédés et guérit des malades, de sorte que, grâce à lui, les païens se convertissaient en grand nombre.

Quand, vers le début de l’épiscopat de Polycarpe (vers 113-117), saint Ignace fut condamné à mort et envoyé enchaîné à Rome pour être livré aux bêtes, il passa par Smyrne et fut heureux d’embrasser une dernière fois le saint évêque. Parvenu à Troas, il lui adressa une lettre pour le remercier de son hospitalité, lui remit le soin de l’Église d’Antioche et lui transmit des conseils divinement inspirés sur les devoirs du pasteur : « Je glorifie le Seigneur de m’avoir jugé digne de contempler ton visage irréprochable. Justifie ta dignité épiscopale par une entière sollicitude de chair et d’esprit. Préoccupe-toi de l’union au-dessus de laquelle il n’y a rien de meilleur. Supporte avec patience tous les frères comme le Seigneur te supporte toi-même… Porte les infirmités de tous, comme un athlète accompli. Le temps présent te réclame pour obtenir Dieu, comme le pilote attend le vent et comme l’homme battu par la tempête attend le port, pour obtenir Dieu… » .

Par la suite, saint Polycarpe écrivit aux chrétiens de Philippes pour les féliciter d’avoir accueilli Ignace et les martyrs : « …les images de la véritable charité que vous avez escortées comme il convenait de le faire, eux qui étaient enchaînés de ces liens dignes des saints, qui sont les diadèmes de ceux qui ont été vraiment choisis par Dieu ». Il les exhorte à persévérer dans cette patience qu’ils ont vue chez les martyrs et il leur expose les principes de vie d’une communauté chrétienne amie de la charité : « La foi est notre mère à tous, elle est source de l’espérance et elle est précédée de l’amour pour Dieu, pour le Christ et pour le prochain. Celui qui demeure en ces vertus a accompli les commandements de la Justice, car celui qui a la charité est loin de tout péché ».

Il dirigea ainsi, de manière tout apostolique, son Église pendant plus de cinquante ans. Vers 160, alors qu’il était un vieillard chargé de jours, il fit un voyage à Rome pour s’entretenir avec le pape Anicet du différend qui séparait Rome des Églises d’Asie sur la date de Pâques, et pour prendre la défense de la vraie foi contre les hérésies. Le rayonnement de sa sainteté et son enseignement y provoquèrent la conversion d’un grand nombre d’âmes qui s’étaient laissées séduire par les hérétiques Marcion et Valentin. Au moment de quitter Rome, le pape lui céda, par déférence, la présidence de la synaxe eucharistique et, après avoir échangé un saint baiser, ils se quittèrent en paix, dans le respect mutuel des différences légitimes entre les Églises locales.

Peu de temps après son retour à Smyrne (165), une très violente persécution, déclenchée par le proconsul Stratus Quadratus bouleversa toutes les Églises d’Asie. C’est alors qu’à la suite d’un groupe de douze martyrs originaires de Philadelphie, saint Polycarpe, âgé de quatre-vingt-six ans, trouva une mort glorieuse, le Grand Samedi (23 février 167), de manière semblable à la Passion de notre Seigneur Jésus-Christ .
Tandis que les valeureux martyrs du Christ subissaient toutes sortes de supplices pour être finalement livrés en pâture aux bêtes, le très vénérable Polycarpe, conservait sa sérénité ordinaire et voulait même rester en ville, pour ne pas abandonner son troupeau spirituel. Mais, sur les instances de ses compagnons, qui le suppliaient de ne pas s’exposer prématurément à la mort, il se retira dans une petite propriété située non loin de la cité et, nuit et jour, il priait pour tous les hommes et pour les Églises du monde entier. Trois jours avant son arrestation, comme il se tenait ainsi en prière, il eut une vision, dans laquelle son oreiller prit feu et fut consumé. Se tournant vers ses compagnons, il leur annonça calmement qu’il devrait bientôt donner sa vie pour le Christ par le feu.

À peine avait-il atteint un nouveau refuge que les hommes d’armes, qui avaient appris où il se trouvait en torturant un jeune esclave, firent irruption dans la demeure. Refusant de prendre la fuite, l’évêque les accueillit avec un visage radieux et très doux, et il les invita à prendre un copieux repas, en leur demandant seulement de lui laisser un moment pour prier. Ils y consentirent et, pendant deux heures pleines, le vieillard se tint debout, rempli de la grâce de Dieu, faisant mémoire de tous les hommes qu’il avait connus, petits ou grands, ainsi que de l’Église répandue par toute la terre. L’heure étant venue de partir, les soldats, saisis d’une grande crainte et se repentant d’avoir à accomplir cette tâche, le firent monter sur un âne pour le conduire à Smyrne. L’intendant de la police, nommé justement Hérode, vint au-devant de lui et le fit monter dans sa voiture pour essayer de le persuader de sauver sa vie en sacrifiant à César. Comme il avait peiné en vain, il le fit jeter sur la route en le couvrant d’injures. Blessé à la jambe, le vieillard n’en continua pas moins allègrement le chemin à pied. Quand il entra dans le stade rempli d’une foule hurlante et avide de sang, une voix divine se fit entendre des seuls chrétiens au sein du tumulte. Elle disait : « Courage, Polycarpe, et agis en homme ! » Le proconsul l’exhorta à renier le Christ en disant : « Aie pitié de ton grand âge », et les autres choses que les persécuteurs ont coutume de dire en ces circonstances. « Jure par la fortune de César et dis : À bas les athées ! » lui criait-il. Promenant alors son regard sur la foule des païens qui garnissaient l’amphithéâtre, Polycarpe répondit en soupirant : « Oui, certes. À bas les athées ! » Comme on le sommait de maudire le Christ, il répondit : « Il y a quatre-vingt-six ans que je Le sers, et Il ne m’a fait aucun mal. Comment pourrais-je blasphémer mon Roi qui m’a sauvé? »

Le proconsul dit : « J’ai des bêtes, et je te livrerai à elles, si tu ne changes pas d’avis ». Polycarpe répondit : « Appelle-les, car pour nous il est impossible de changer d’avis pour passer du meilleur au pire ; tandis qu’il est bon de changer pour passer du mal à la justice ». — « Je te ferai brûler par le feu, puisque tu méprises les bêtes », dit le juge. Polycarpe, plein de force et de joie, répondit : « Tu me menaces d’un feu qui brûle un moment et peu de temps après s’éteint, car tu ignores le feu du jugement à venir et du supplice éternel, réservé aux impies. Mais pourquoi tarder ? Va, fais ce que tu veux. »

Le héraut ayant proclamé trois fois que Polycarpe s’était déclaré chrétien, la foule en furie réclama de lâcher contre lui un lion. Mais, comme les combats de bêtes étaient alors terminés, ils crièrent : « Que Polycarpe soit brûlé vif ! » En un instant, les païens et les juifs pêle-mêle allèrent ramasser dans les ateliers et dans les bains des alentours du bois et des fagots. Quand le bûcher fut prêt au milieu du stade, Polycarpe déposa lui-même tous ses vêtements, aussi calmement que s’il célébrait le saint sacrifice, et voulut se déchausser : chose qu’il ne faisait jamais, car les fidèles s’empressaient toujours pour lui baiser les pieds. Comme on voulait le clouer sur le bûcher, il dit : « Laissez-moi ainsi, Celui qui me donne la force de supporter le feu, me donnera aussi de rester immobile sur le bûcher. » Déposé sur le bois comme une victime de choix préparée pour l’holocauste, il leva les yeux au ciel et, dans une ultime prière, rendit grâce à Dieu de l’avoir jugé digne de prendre part, avec tous les saints martyrs, au calice du Christ, pour la résurrection et la vie éternelle dans l’incorruptibilité de l’Esprit Saint.

Quand il eut prononcé son Amen, les bourreaux allumèrent le feu. Une grande flamme s’éleva ; mais, ô merveille, le feu prit soudain l’apparence d’une voûte, à la manière d’une voile de navire gonflée par le vent, qui entourait comme d’un rempart le corps du martyr. Polycarpe se tenait au milieu, non comme une chair qui brûle, mais comme un pain qui cuit ou comme de l’or ou de l’argent brillant dans la fournaise, en dégageant un parfum d’encens ou d’autres précieux aromates. Comme les impies voyaient que le corps du saint ne pouvait se consumer, ils ordonnèrent au bourreau de l’achever au moyen de son glaive. Le sang jaillit alors en telle quantité qu’il éteignit la fournaise, en laissant la foule stupéfaite.

Les précieux restes du saint martyr furent incinérés à l’instigation des juifs, mais les fidèles purent néanmoins recueillir quelques ossements qu’ils déposèrent dans un lieu convenable, où ils se réunissaient chaque année pour célébrer, dans la joie, le jour de sa naissance au ciel. Le glorieux martyre de saint Polycarpe scella, mais pour un temps seulement, la persécution contre les chrétiens.
(Tiré du Synaxaire du hiéromoine Macaire de Simonos Petras)

TROPAIRES ET KONDAKIA DU JOUR

Tropaire de saint Polycarpe de Smyrne, ton 4

Des Apôtres ayant partagé le genre de vie * et sur leur trône devenu leur successeur, * tu as trouvé dans la pratique des vertus * la voie qui mène à la divine contemplation; * c’est pourquoi, dispensant fidèlement la parole de vérité, * tu luttas jusqu’au sang pour la défense de la foi; * Polycarpe, pontife et martyr, * intercède auprès du Christ notre Dieu * pour qu’il sauve nos âmes.

Kondakion de saint Polycarpe de Smyrne, ton 1

Polycarpe, toi qui offris * tes fruits spirituels au Seigneur, * tu t’es montré, par tes divines vertus, * digne de lui, Pontife bienheureux; * et nous que tes paroles ont illuminés, * nous chantons en ce jour * ta mémoire d’être louée, * en glorifiant notre Dieu.

ÉPITRE DU JOUR

1 Jn IV,20-V,21

Bien-aimés, Si quelqu’un dit : J’aime Dieu, et qu’il haïsse son frère, c’est un menteur ; car celui qui n’aime pas son frère qu’il voit, comment peut-il aimer Dieu qu’il ne voit pas ? Et nous avons de lui ce commandement : que celui qui aime Dieu aime aussi son frère. Quiconque croit que Jésus est le Christ, est né de Dieu, et quiconque aime celui qui l’a engendré aime aussi celui qui est né de lui. Nous connaissons que nous aimons les enfants de Dieu, lorsque nous aimons Dieu, et que nous pratiquons ses commandements. Car l’amour de Dieu consiste a garder ses commandements. Et ses commandements ne sont pas pénibles, parce que tout ce qui est né de Dieu triomphe du monde ; et la victoire qui triomphe du monde, c’est notre foi. Qui est celui qui a triomphé du monde, sinon celui qui croit que Jésus est le Fils de Dieu ? C’est lui, Jésus Christ, qui est venu avec de l’eau et du sang ; non avec l’eau seulement, mais avec l’eau et avec le sang ; et c’est l’Esprit qui rend témoignage, parce que l’Esprit est la vérité. Car il y en a trois qui rendent témoignage : l’Esprit, l’eau et le sang, et les trois sont d’accord. Si nous recevons le témoignage des hommes, le témoignage de Dieu est plus grand ; car le témoignage de Dieu consiste en ce qu’il a rendu témoignage à son Fils. Celui qui croit au Fils de Dieu a ce témoignage en lui-même ; celui qui ne croit pas Dieu le fait menteur, puisqu’il ne croit pas au témoignage que Dieu a rendu à son Fils. Et voici ce témoignage, c’est que Dieu nous a donné la vie éternelle, et que cette vie est dans son Fils. Celui qui a le Fils a la vie ; celui qui n’a pas le Fils de Dieu n’a pas la vie. Je vous ai écrit ces choses, afin que vous sachiez que vous avez la vie éternelle, vous qui croyez au nom du Fils de Dieu. Nous avons auprès de lui cette assurance, que si nous demandons quelque chose selon sa volonté, il nous écoute. Et si nous savons qu’il nous écoute, quelque chose que nous demandions, nous savons que nous possédons la chose que nous lui avons demandée. Si quelqu’un voit son frère commettre un péché qui ne mène point à la mort, qu’il prie, et Dieu donnera la vie à ce frère, il l’a donnera à ceux qui commettent un péché qui ne mène point à la mort. Il y a un péché qui mène à la mort ; ce n’est pas pour ce péché-là que je dis de prier. Toute iniquité est un péché, et il y a tel péché qui ne mène pas à la mort. Nous savons que quiconque est né de Dieu ne pèche point ; mais celui qui est né de Dieu se garde lui-même, et le malin ne le touche pas. Nous savons que nous sommes de Dieu, et que le monde entier est sous la puissance du malin. Nous savons aussi que le Fils de Dieu est venu, et qu’il nous a donné l’intelligence pour connaître le Véritable ; et nous sommes dans le Véritable, en son Fils Jésus Christ. C’est lui qui est le Dieu véritable, et la vie éternelle. Petits enfants, gardez-vous des idoles.

ÉVANGILE DU JOUR

Mc XV, 1-15

Dès le matin, les principaux sacrificateurs tinrent conseil avec les anciens et les scribes, et tout le sanhédrin. Après avoir lié Jésus, ils l’emmenèrent, et le livrèrent à Pilate. Pilate l’interrogea: Es-tu le roi des Juifs? Jésus lui répondit: Tu le dis. Les principaux sacrificateurs portaient contre lui plusieurs accusations. Pilate l’interrogea de nouveau: Ne réponds-tu rien? Vois de combien de choses ils t’accusent. Et Jésus ne fit plus aucune réponse, ce qui étonna Pilate. À chaque fête, il relâchait un prisonnier, celui que demandait la foule. Il y avait en prison un nommé Barabbas avec ses complices, pour un meurtre qu’ils avaient commis dans une sédition. La foule, étant montée, se mit à demander ce qu’il avait coutume de leur accorder. Pilate leur répondit: Voulez-vous que je vous relâche le roi des Juif? Car il savait que c’était par envie que les principaux sacrificateurs l’avaient livré. Mais les chefs des sacrificateurs excitèrent la foule, afin que Pilate leur relâchât plutôt Barabbas. Pilate, reprenant la parole, leur dit: Que voulez-vous donc que je fasse de celui que vous appelez le roi des Juifs? Ils crièrent de nouveau: Crucifie-le! Pilate leur dit: Quel mal a-t-il fait? Et ils crièrent encore plus fort: Crucifie-le! Pilate, voulant satisfaire la foule, leur relâcha Barabbas; et, après avoir fait battre de verges Jésus, il le livra pour être crucifié.

À propos de l'auteur

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Jivko Panev

Jivko Panev, cofondateur et journaliste sur Orthodoxie.com. Producteur de l'émission 'Orthodoxie' sur France 2 et journaliste.
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