11 janvier

Saint Théodose le Grand, le Cénobiarque (529) ; saint Michel de Klops (vers 1453-1456) ; saint Théodose d’Antioche (vers 412) ; saints nouveaux martyrs de Russie : Nicolas (Matsievsky), Théodore (Antinpine) et Vladimir (Fokine), prêtres (1919) ; Vladimir (Khirasko), confesseur, prêtre (1932).

SAINT THÉODOSE LE CÉNOBIARQUE

11 janvier

Saint Théodose, chef et pilote de ceux qui menaient la vie communautaire en Palestine (cénobiarque = « chef des cénobites ») et astre brillant pour l’éternité dans le firmament spirituel, naquit vers 423 dans le village de Garissos, en Cappadoce, de parents pieux et craignant Dieu, qui lui inspirèrent l’amour des saintes vertus et de l’application aux saintes Écritures. Devenu lecteur dès son jeune âge, il aimait à méditer sur l’histoire d’Abraham, le modèle de tous ceux qui s’exilent par amour du Seigneur (Gn 12), et sur les paroles de l’Évangile qui recommandent de quitter parents, biens et amis pour hériter la vie éternelle (Mt 19, 29). L’âme brûlante d’une divine ardeur, il décida un jour d’appliquer ces préceptes et prit la route de Jérusalem. Passant dans la région d’Antioche, il alla prendre la bénédiction de l’illustre saint Syméon le Stylite. L’Ancien le salua de loin, en disant : « Théodose, homme de Dieu, sois le bienvenu ! » Il le fit monter en haut de sa colonne, l’embrassa tendrement et lui prédit qu’il deviendrait le pasteur d’un immense troupeau de brebis spirituelles.

Parvenu à Jérusalem, après avoir vénéré les Lieux saints, Théodose se demanda comment il pouvait commencer dans la vie ascétique. Certes, il désirait mener la vie solitaire, mais averti des dangers d’entrer dans la lutte contre les ennemis invisibles sans avoir été préalablement exercé au combat par un maître expérimenté, il se mit à la recherche d’un tel guide et le trouva en la personne d’un ancien originaire de Cappadoce, nommé Longin, qui brillait de toutes sortes de vertus parmi les moines consacrés au service de la basilique de la Résurrection (les Spoudaioi). Une fois instruit, par l’obéissance, à ne faire, comme le Christ, que la volonté de Dieu le Père et à discerner avec science le bien et le mal, il s’installa seul dans une église située sur le chemin de Bethléem. Lorsque la riche et pieuse fondatrice de cette église voulut le mettre à la tête d’une communauté de moines, il se retira dans une grotte située sur une colline déserte, où, disait-on, les Mages avaient logé après avoir vénéré l’Enfant-Dieu. Tendu avec ardeur vers le ciel et oubliant tout ce qui est de la terre, Théodose y purifiait son âme par la mortification sans relâche des plaisirs de la chair, par la station debout durant toute la nuit, soutenu par des cordes qu’il avait suspendues au plafond, par la psalmodie et la prière incessantes. Il demeura trente ans sans manger un morceau de pain, en ne se nourrissant que de dattes, de fèves et de quelques herbes qui poussaient autour de la grotte. La renommée de ses combats et de la vie divine qui brillait en lui attira bientôt vers la grotte de nombreux disciples. Il n’en reçut d’abord que six, puis douze, et enfin il accepta tous ceux que Dieu lui envoyait.

En premier lieu, il leur enseignait à tenir toujours devant leurs yeux la pensée de la mort, comme fondement de la vie en Christ. Un jour, il leur fit creuser un vaste sépulcre et leur dit : « Voici votre tombeau, qui de vous veut l’inaugurer ? » Un prêtre, nommé Basile, tomba à genoux et demanda au saint sa bénédiction pour partir le premier vers le Seigneur. Théodose ordonna alors de célébrer les offices de commémoration du troisième, du neuvième et du quarantième jour, comme c’est la coutume jusqu’à nos jours pour les défunts. Sitôt venu le quarantième jour, Basile expira, et pendant les quarante jours suivants Théodose le vit se tenir spirituellement au milieu des frères pendant la psalmodie. Une veille de Pâques, les frères, manquant de toute nourriture et même de pain pour célébrer la Divine Liturgie, s’agitaient inquiets. Théodose, recueilli en lui-même dans un endroit isolé, leur recommanda de ne mettre leur espérance qu’en Dieu. De fait, la nuit venue, deux mulets arrivèrent à la porte du monastère, chargés de provisions qui durèrent jusqu’à la Pentecôte.

La grotte devint vite trop étroite pour le nombre grandissant de disciples, et de riches amis, prêts à contribuer à toutes les dépenses, pressaient le saint de choisir un emplacement convenable pour édifier un grand monastère, conformément à la prophétie de saint Syméon. D’abord hésitant, de peur de perdre les fruits de la vie solitaire, Théodose parvint à la conclusion qu’avec l’aide de Dieu, il pourrait garder son âme dans une paix imperturbable, tout en menant un grand nombre d’hommes sur la voie du Salut. Il prit donc un encensoir, l’emplit de charbon et s’avança droit devant lui, en priant Dieu d’allumer Lui-même l’encens lorsqu’il parviendrait à l’endroit convenable. Le Seigneur accorda ce signe à son serviteur dans un lieu situé à environ 7 km de Bethléem. On y construisit bientôt de vastes bâtiments pour les moines, avec des ateliers et tout ce qui est nécessaire pour les libérer des distractions causées par les relations avec le monde extérieur. À cette cité évangélique étaient jointes plusieurs annexes : une hôtellerie pour les moines étrangers, une autre pour recevoir les pauvres et les indigents, un hôpital pour les malades, un hospice pour les moines âgés et un asile pour les aliénés. Œil pour les aveugles, pied pour les boiteux, toit pour les sans-abri, vêtement pour ceux qui étaient nus, le saint se faisait tout pour tous ; il prenait soin lui-même des plaies les plus repoussantes et embrassait tendrement les lépreux. Les indigents accouraient en si grand nombre au monastère, en ces temps de disette, qu’on nourrissait jusqu’à cent personnes par jour. Pour subvenir à de tels besoins, Dieu intervenait fréquemment par des miracles et multipliait le pain et les vivres.

La communauté était composée de plus de quatre cents moines de nationalités différentes. C’est pourquoi le saint avait fait construire quatre églises dans l’enceinte du monastère : une où l’on célébrait la louange de Dieu en grec, l’autre en syriaque, une autre en arménien, et la quatrième était réservée aux aliénés et aux possédés. Sept fois le jour, les hymnes s’élevaient vers le ciel en un accord harmonieux de diverses langues, et tous se réunissaient dans l’église des Grecs, après la lecture de l’Évangile, pour célébrer en commun la sainte Eucharistie. Père de tous, Théodose prenait soin de chacun et montrait, par sa conduite et ses enseignements, une vivante image du Christ. À la mort de Gérontios, le supérieur du monastère fondé par sainte Mélanie [31 déc.], il fut nommé par le patriarche archimandrite et chef de tous les moines vivant en communautés, alors que saint Sabas [5 déc.] était placé à la tête des ermites et de ceux qui vivaient dans les laures. Les deux saints étaient unis par une grande charité, ils se rencontraient souvent pour s’entretenir de sujets spirituels et luttèrent de concert contre les hérétiques.

En ce temps-là (513), l’Église était en effet troublée par l’empereur Anastase, qui avait pris la défense des monophysites, ennemis du Concile de Chalcédoine. Il déposa le patriarche de Jérusalem Élie [20 janv.], lui substitua un hérétique et tenta d’attirer à lui tous les moines éminents de Palestine, en particulier saint Sabas et saint Théodose. Si, par humilité, saint Théodose se laissait vaincre et contrarier en toute chose, il se montrait toutefois intraitable en ce qui concernait Dieu et les saints dogmes de l’Église. Il rassembla tous les habitants des déserts, leur déclara que le temps était venu pour le doux de se changer en guerrier (Jl 3, 11), et écrivit au souverain une lettre, où il annonçait la ferme décision des moines de rester fidèles jusqu’au sang à la doctrine des saints Conciles Œcuméniques. Impressionné par ce courage, Anastase relâcha pour un peu de temps ses persécutions, mais les reprit bientôt de plus belle. Théodose se rendit alors à la basilique de la Résurrection et, du haut de l’ambon, s’écria : « Si quelqu’un refuse d’accepter les quatre saints Conciles au même titre que les quatre saints Évangiles, qu’il soit anathème ! » Puis, à la tête d’une armée de moines, il parcourut la ville en confirmant le peuple dans la foi par sa parole et ses miracles. Envoyé en exil sur ordre de l’empereur, il put regagner son monastère, deux ans plus tard, lors de l’avènement de Justin Ier, qui était favorable à l’Orthodoxie (518).

Une fois la paix rétablie, le bienheureux continua de répandre la bénédiction de Dieu sur les hommes : il remplit un grenier entier en bénissant un grain de blé, guérit des maladies incurables, rendit fécondes des femmes stériles, chassa des nuées de sauterelles, fit venir la pluie, délivra des voyageurs en danger et annonça sept ans à l’avance le séisme qui détruisit la ville d’Antioche (526). Mais ne comptant pour rien tant de grâces, il se tendait sans cesse vers Dieu, en s’enfonçant dans l’abîme de l’humilité. Voyant un jour deux de ses disciples qui se disputaient, l’homme de Dieu se jeta à leurs pieds et refusa de se relever tant qu’ils ne se furent pas réconciliés. Une autre fois, comme il avait interdit la communion à un moine responsable d’une faute grave, celui-ci répliqua en faisant la même défense au saint. Théodose obéit, et ne se présenta à la communion que lorsque le moine se fût rétracté.

Affligé, vers la fin de ses jours, d’une longue et douloureuse maladie, il supportait tout, comme Job, avec action de grâces, refusait de prier Dieu d’en être délivré et ne relâchait en rien sa règle d’ascèse et de prière. Un peu avant son trépas, il exhorta ses moines à la persévérance dans les épreuves et leur promit de toujours intercéder au ciel pour son monastère. Puis, après avoir rassemblé tous les higoumènes de Palestine, il les bénit et remit son âme à Dieu. Il était âgé de 105 ans (529). Ses funérailles furent célébrées avec tous les honneurs possibles par le patriarche, en présence d’une foule immense de moines et de laïcs. On ensevelit son corps dans la première grotte où il avait demeuré, et peu de temps après les miracles commencèrent à y abonder. De toutes les vertus de saint Théodose, trois restèrent à ses disciples comme un vivant héritage : une stricte ascèse jusqu’à la mort, accompagnée d’une foi inébranlable ; la miséricorde envers les pauvres et les malades, et l’assiduité continuelle à la prière et à la louange de Dieu.

(Tiré du Synxaire du hiéromoine Macaire de Simonos Petras)

TROPAIRES ET KONDAKIA DU JOUR

Tropaire de la Théophanie, ton 1

Lors de Ton baptême dans le Jourdain, Seigneur, fut manifestée l’adoration due à la Trinité : car la voix du Père Te rendit témoignage en Te donnant le nom de Fils bien-aimé, et l’Esprit, sous la forme d’une colombe, confirmait l’irréfragable vérité de cette parole. Christ Dieu qui es apparu et qui as illuminé le monde, gloire à Toi !

Tropaire de saint Théodose, ton 8

Par les flots de tes larmes tu as fait fleurir le désert stérile, * par tes profonds gémissements tu fis produire à tes peines cent fois plus, * par tes miracles étonnants tu devins un phare éclairant le monde entier: * vénérable Père Théodose, prie le Christ notre Dieu * de sauver nos âmes.

Kondakion de saint Théodose, ton 8

Planté dans les parvis de ton Seigneur, * tu fis croître les agréables fleurs de tes brillantes vertus * et tu multiplias le nombre de tes enfants dans le désert, * les abreuvant aux flots de tes larmes, pasteur des divines bergeries; * c’est pourquoi nous te chantons: Réjouis-toi, Père Théodose.

Kondakion de la Théophanie, ton 4

Tu es apparu au monde en ce jour, Seigneur, et Ta lumière s’est manifestée à nous qui, Te connaissant, Te chantons : Tu es venu, Tu es apparu, Lumière inaccessible.

ÉPITRE DU JOUR

Jc IV, 7 – V, 9

Soumettez-vous donc à Dieu ; résistez au diable, et il fuira loin de vous. Approchez-vous de Dieu, et il s’approchera de vous. Nettoyez vos mains, pécheurs ; purifiez vos cœurs, hommes irrésolus. Sentez votre misère ; soyez dans le deuil et dans les larmes ; que votre rire se change en deuil, et votre joie en tristesse. Humiliez-vous devant le Seigneur, et il vous élèvera. Ne parlez point mal les uns des autres, frères. Celui qui parle mal d’un frère, ou qui juge son frère, parle mal de la loi et juge la loi. Or, si tu juges la loi, tu n’es pas observateur de la loi, mais tu en es juge. Un seul est législateur et juge, c’est celui qui peut sauver et perdre ; mais toi, qui es-tu, qui juges le prochain ? À vous maintenant, qui dites : Aujourd’hui ou demain nous irons dans telle ville, nous y passerons une année, nous trafiquerons, et nous gagnerons ! Vous qui ne savez pas ce qui arrivera demain ! Car, qu’est-ce votre vie ? Vous êtes une vapeur qui paraît pour un peu de temps, et qui ensuite disparaît. Vous devriez dire, au contraire : Si Dieu le veut, nous vivrons, et nous ferons ceci ou cela. Mais maintenant vous vous glorifiez dans vos pensées orgueilleuses. C’est chose mauvaise que de se glorifier de la sorte. Celui donc qui sait faire ce qui est bien, et qui ne le fait pas, commet un péché. À vous maintenant, riches ! Pleurez et gémissez, à cause des malheurs qui viendront sur vous. Vos richesses sont pourries, et vos vêtements sont rongés par les teignes. Votre or et votre argent sont rouillés ; et leur rouille s’élèvera en témoignage contre vous, et dévorera vos chairs comme un feu. Vous avez amassé des trésors dans les derniers jours ! Voici, le salaire des ouvriers qui ont moissonné vos champs, et dont vous les avez frustrés, crie, et les cris des moissonneurs sont parvenus jusqu’aux oreilles du Seigneur des armées. Vous avez vécu sur la terre dans les voluptés et dans les délices, vous avez rassasiez vos cœurs au jour du carnage. Vous avez condamné, vous avez tué le juste, qui ne vous a pas résisté. Soyez donc patients, frères jusqu’à l’avènement du Seigneur. Voici, le laboureur attend le précieux fruit de la terre, prenant patience à son égard, jusqu’à ce qu’il ait reçu les pluies de la première et de l’arrière-saison. Vous aussi, soyez patients, affermissez vos cœurs, car l’avènement du Seigneur est proche. Ne vous plaignez pas les uns des autres, frères, afin que vous ne soyez pas jugés : voici, le juge est à la porte.

II Co IV, 6-15 (S. Théodose)

Car Dieu, qui a dit: La lumière brillera du sein des ténèbres! a fait briller la lumière dans nos cœurs pour faire resplendir la connaissance de la gloire de Dieu sur la face de Christ. Nous portons ce trésor dans des vases de terre, afin que cette grande puissance soit attribuée à Dieu, et non pas à nous. Nous sommes pressés de toute manière, mais non réduits à l’extrémité; dans la détresse, mais non dans le désespoir; persécutés, mais non abandonnés; abattus, mais non perdus; portant toujours avec nous dans notre corps la mort de Jésus, afin que la vie de Jésus soit aussi manifestée dans notre corps. Car nous qui vivons, nous sommes sans cesse livrés à la mort à cause de Jésus, afin que la vie de Jésus soit aussi manifestée dans notre chair mortelle. Ainsi la mort agit en nous, et la vie agit en vous. Et, comme nous avons le même esprit de foi qui est exprimé dans cette parole de l’Écriture: J’ai cru, c’est pourquoi j’ai parlé! nous aussi nous croyons, et c’est pour cela que nous parlons, sachant que celui qui a ressuscité le Seigneur Jésus nous ressuscitera aussi avec Jésus, et nous fera paraître avec vous en sa présence. Car tout cela arrive à cause de vous, afin que la grâce en se multipliant, fasse abonder, à la gloire de Dieu, les actions de grâces d’un plus grand nombre.

ÉVANGILE DU JOUR

Mc XI, 27-33

Ils se rendirent de nouveau à Jérusalem, et, pendant que Jésus se promenait dans le temple, les principaux sacrificateurs, les scribes et les anciens, vinrent à lui, et lui dirent : Par quelle autorité fais-tu ces choses, et qui t’a donné l’autorité de les faire? Jésus leur répondi t: Je vous adresserai aussi une question; répondez-moi, et je vous dirai par quelle autorité je fais ces choses. Le baptême de Jean venait-il du ciel, ou des hommes ? Répondez-moi. Mais ils raisonnèrent ainsi entre eux : Si nous répondons : Du ciel, il dira: Pourquoi donc n’avez-vous pas cru en lui? Et si nous répondons : Des hommes… Ils craignaient le peuple, car tous tenaient réellement Jean pour un prophète. Alors ils répondirent à Jésus: Nous ne savons. Et Jésus leur dit: Moi non plus, je ne vous dirai pas par quelle autorité je fais ces choses.

Mt XI, 27-30 (S. Théodose)

Toutes choses m’ont été données par mon Père, et personne ne connaît le Fils, si ce n’est le Père; personne non plus ne connaît le Père, si ce n’est le Fils et celui à qui le Fils veut le révéler. Venez à moi, vous tous qui êtes fatigués et chargés, et je vous donnerai du repos. Prenez mon joug sur vous et recevez mes instructions, car je suis doux et humble de cœur; et vous trouverez du repos pour vos âmes. Car mon joug est doux, et mon fardeau léger.

À propos de l'auteur

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Jivko Panev

Jivko Panev, cofondateur et journaliste sur Orthodoxie.com. Producteur de l'émission 'Orthodoxie' sur France 2 et journaliste.
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