18 février

Saint Léon, pape de Rome ; saints Maxime, Claude, Prépédigne, Alexandre et Cutias, martyrs à Rome (295) ; saint Agapet, évêque de Sinade en Phrygie, confesseur (IVème s.) ; saint Flavien, patriarche de Constantinople, confesseur (449) ; saint Côme de Yakhroma (1492) ; saint Vladimir (Terentiev), confesseur (1933).

SAINT LÉON,  PAPE DE ROME

18 février

Du temps où l’Église d’Occident était en communion avec l’Église indivisible, le pape de Rome, en tant qu’évêque de la capitale de l’Empire et patriarche d’Occident, jouissait d’une certaine prééminence dans la communion ecclésiastique, et il était considéré par tous les chrétiens comme le gardien par excellence de la tradition apostolique, en servant d’arbitre en matière de dogme. Occupant le siège de Rome à une des époques les plus critiques de l’histoire, époque qui vit l’effondrement de la partie occidentale de l’Empire romain et où l’Église se trouvait menacée de toutes parts de déchirement par les hérétiques, saint Léon a su proclamer la saine doctrine de la Vérité et a mis tout son soin pour préserver l’unité de la sainte Église, c’est pourquoi il est justement vénéré, en Orient comme en Occident, sous le titre de saint Léon le Grand.

Né à Rome dans une noble famille originaire de Toscane, il entra de bonne heure dans le clergé et ne tarda pas à recevoir la dignité d’archidiacre de l’Église de Rome, charge qui l’amenait à prendre une part considérable dans toutes les affaires ecclésiastiques et les controverses doctrinales de son temps. C’est au cours d’une de ses missions en Gaule qu’il apprit la mort du pape Célestin Ier et qu’à son insu, il avait été unanimement élu par le peuple pour lui succéder. Lors de son intronisation, en septembre 440, et chaque année, à l’anniversaire de celle-ci, il témoignait dans ses sermons de sa crainte devant la charge qui lui incombait et de sa confiance en la seule grâce divine pour mener le gouvernail de l’Église.

Lourde était en effet la tâche qui se présentait à lui. L’Empire, menacé par les barbares, était de plus miné par la perversion des mœurs, et les Églises, déchirées par les hérésies, laissaient le peuple de Dieu dans l’ignorance et le relâchement. En mêlant admirablement la rigueur à la compassion, saint Léon commença par régénérer le clergé et rétablir le bon ordre dans les Églises d’Afrique et de Sicile, qui venaient d’être victimes des invasions vandales. Dans l’Illyricum, alors dépendant de Rome, il consolida l’autorité du métropolite de Thessalonique, et il restaura aussi le respect de la hiérarchie ecclésiastique dans l’Église des Gaules. Avec une fine perspicacité, il dévoilait les machinations des hérétiques manichéens et donnait aux évêques et aux prêtres l’exemple du bon pasteur par sa vie irréprochable, par le soin qu’il mettait dans l’organisation du culte divin et par ses sermons d’une sobre éloquence. À l’occasion des différentes fêtes de l’année liturgique, il édifiait le peuple, en lui interprétant les mystères de la Foi, et l’exhortait à mener une vie conforme aux principes évangéliques .

Outre cette œuvre pastorale, c’est surtout dans le domaine dogmatique que saint Léon a mérité les honneurs de l’Église. Lorsqu’à la suite des intrigues de l’hérétique Eutychès, soutenu par le puissant ministre Chrysaphe, le faux concile, justement qualifié par saint Léon lui-même de Brigandage d’Éphèse, prononça la condamnation de saint Flavien [16 fév.], le pape, sitôt informé, s’empressa de réprouver de toute son autorité les événements et convoqua un concile des évêques d’Occident, en vue d’annuler les Actes de cette assemblée inique et de rétablir la vraie foi concernant la Personne du Christ. Avant même le pseudo-concile d’Éphèse, saint Léon avait adressé une lettre admirable au patriarche saint Flavien, dans laquelle, après avoir exposé en toute clarté la foi de l’Église en la divinité du Christ, il écrivait :

« Les propriétés des deux natures (divine et humaine) restent donc entières, mais se réunissent en une seule Personne, la majesté s’est liée à l’humilité, la puissance à la faiblesse, l’éternité à la mortalité, afin de pouvoir payer la dette que nous avions contractée, la nature inaccessible à la souffrance s’est unie à celle qui peut souffrir, et comme il le fallait pour nous sauver, Jésus-Christ fait homme, seul Médiateur entre Dieu et les hommes, a pu mourir de sa nature humaine en demeurant immortel dans sa nature divine … Il a pris la forme de la servitude sans la souillure du péché, rehaussant l’humanité sans amoindrir la divinité ; car cet abaissement, par lequel l’invisible s’est rendu visible et le Créateur, Seigneur de toutes choses, a voulu devenir l’un des mortels, a été une condescendance de sa miséricorde et non une diminution de sa puissance …

Le Fils de Dieu est donc venu en ce monde, descendant du séjour céleste, mais sans abandonner la gloire de son Père, et Il est né dans un nouvel ordre de choses et par une naissance nouvelle … La même Personne est donc à la fois vrai Dieu et vrai homme, et cette unité est très véritable, car on y trouve en même temps l’humanité de l’homme et la grandeur de Dieu … L’Église catholique vit et se perpétue par cette croyance que dans le Christ Jésus, l’humanité n’est pas sans véritable divinité, ni la divinité sans véritable humanité » .

On raconte que saint Léon écrivit cette lettre, inspiré par le Saint-Esprit, après de nombreux jours passés dans le jeûne, la veille et la prière, et qu’après l’avoir écrite, il la posa sur le tombeau de saint Pierre, en conjurant le Coryphée des Apôtres de la corriger de toute erreur qui aurait pu s’y glisser par suite de la faiblesse humaine. Au bout de quarante jours, le saint Apôtre lui apparut pendant qu’il priait et lui dit : « J’ai lu et j’ai corrigé. » De fait, en ouvrant la lettre, saint Léon la trouva corrigée de la main de saint Pierre. Cette lettre, remise à ses légats pour être lue au Concile d’Éphèse, fut écartée par les hérétiques. Mais, lorsque le pieux empereur Marcien et sainte Pulchérie convoquèrent le Concile Œcuménique de Chalcédoine (451), on la lut solennellement devant tous les Pères, qui l’accueillirent en s’écriant d’une seule voix : « C’est la foi des Apôtres, c’est la foi des Pères. Pierre a parlé par la bouche de Léon ! »

Pendant que ces grands événements avaient lieu en Orient, l’Occident souffrait pour sa part des ravages causés par Attila et ses hordes de Huns. Après avoir répandu la mort et la destruction en Allemagne et en Gaule, et avoir traversé les Alpes, ils saccagèrent la région de Milan et vinrent menacer Rome. L’empereur, le Sénat et le peuple désemparés supplièrent alors le pape d’entreprendre une démarche de paix auprès du tyran barbare qui faisait trembler le monde. Revêtu de ses ornements pontificaux, à la tête d’un imposant cortège de prêtres et de diacres chantant des cantiques, le saint hiérarque se présenta devant Attila et, à la surprise de tous, celui qu’on appelait le fléau de Dieu montra un respect craintif et accepta de s’en retourner, moyennant un tribut annuel. Quand ses soldats lui demandèrent pourquoi il avait montré cette clémence inaccoutumée, Attila répondit qu’il avait vu aux côtés du pape l’Apôtre Pierre, tenant une épée à la main et le menaçant d’un air terrible. Rome fut ainsi miraculeusement épargnée, mais pour peu de temps, car le peuple ingrat oublia aussitôt le bienfait de Dieu et retourna, l’empereur en tête, à ses désordres habituels. Aussi, le Seigneur, ne tempérant plus sa colère contre la fière cité, permit aux Vandales de Genséric, débarqués d’Afrique, de s’emparer de la capitale et de la piller, en 455. Le pape intervint de nouveau auprès des assaillants et put obtenir d’eux l’engagement de ne pas massacrer la population, ni d’incendier les édifices. Ils se contentèrent de prendre un immense butin et d’emmener en déportation une grande partie de la population, nobles et gens du peuple. Sitôt le fléau apaisé, saint Léon s’employa à consoler les rescapés, à restaurer les églises dévastées et à rétablir, autant que possible, la vie chrétienne dans la ville qui, autrefois si glorieuse, gisait désormais déchue. Il parvint ainsi à envoyer des prêtres et d’importantes aumônes pour secourir les déportés en Afrique. Le reste de sa vie fut consacré à son œuvre pastorale, en corrigeant les abus qui s’étaient glissés dans la discipline ecclésiastique, et à soutenir de son autorité la foi de Chalcédoine, menacée par la réaction des nombreux monophysites, en particulier dans l’Église d’Alexandrie. Il remit finalement son âme à Dieu, en 461, au terme d’un pontificat de vingt et un ans.

TROPAIRES ET KONDAKIA DU JOUR

Tropaire de saint Léon, ton 8

Guide de l’orthodoxie, maître de piété et de sainteté, * luminaire de l’univers, ornement des pontifes inspiré de Dieu, * saint Léon, tu nous as tous illuminés par tes sages enseignements, * toi qui fus comme une lyre vibrant au souffle de l’Esprit. * Intercède auprès du Christ notre Dieu pour qu’il sauve nos âmes.

Kondakion de saint Léon, ton 3

Toi qui siégeas sur un trône sacré * et fermas les bouches léonines de l’hérésie, * par ta doctrine divinement inspirée * tu as fait briller la connaissance de la sainte Trinité; * c’est pourquoi tu as été glorifié * comme un saint oracle de la grâce de Dieu.

 ÉPITRE DU JOUR

1 Jn III, 11-20

Bien-aimés, Ce qui vous a été annoncé et ce que vous avez entendu dès le commencement, c’est que nous devons nous aimer les uns les autres, et ne pas ressembler à Caïn, qui était du malin, et qui tua son frère. Et pourquoi le tua-t-il ? Parce que ses œuvres étaient mauvaises, et que celles de son frère étaient justes. Ne vous étonnez pas, frères, si le monde vous hait. Nous savons que nous sommes passés de la mort à la vie, parce que nous aimons les frères. Celui qui n’aime pas demeure dans la mort. Quiconque hait son frère est un meurtrier, et vous savez qu’aucun meurtrier n’a la vie éternelle demeurant en lui. Nous avons connu l’amour, en ce qu’il a donné sa vie pour nous ; nous aussi, nous devons donner notre vie pour les frères.

Si quelqu’un possède les biens du monde, et que, voyant son frère dans le besoin, il lui ferme ses entrailles, comment l’amour de Dieu demeure-t-il en lui ? Petits enfants, n’aimons pas en paroles et avec la langue, mais en actions et avec vérité. Par là nous connaîtrons que nous sommes de la vérité, et nous rassurerons nos cœurs devant lui ; car si notre cœur nous condamne, Dieu est plus grand que notre cœur, et il connaît toutes choses.

ÉVANGILE DU JOUR

Mc XIV, 10-42

Judas Iscariote, l’un des douze, alla vers les principaux sacrificateurs, afin de leur livrer Jésus. Après l’avoir entendu, ils furent dans la joie, et promirent de lui donner de l’argent. Et Judas cherchait une occasion favorable pour le livrer. Le premier jour des pains sans levain, où l’on immolait la Pâque, les disciples de Jésus lui dirent: Où veux-tu que nous allions te préparer la Pâque? Et il envoya deux de ses disciples, et leur dit: Allez à la ville; vous rencontrerez un homme portant une cruche d’eau, suivez-le. Quelque part qu’il entre, dites au maître de la maison: Le maître dit: Où est le lieu où je mangerai la Pâque avec mes disciples? Et il vous montrera une grande chambre haute, meublée et toute prête: c’est là que vous nous préparerez la Pâque. Les disciples partirent, arrivèrent à la ville, et trouvèrent les choses comme il le leur avait dit; et ils préparèrent la Pâque. Le soir étant venu, il arriva avec les douze. Pendant qu’ils étaient à table et qu’ils mangeaient, Jésus dit: Je vous le dis en vérité, l’un de vous, qui mange avec moi, me livrera. Ils commencèrent à s’attrister, et à lui dire, l’un après l’autre: Est-ce moi? Il leur répondit: C’est l’un des douze, qui met avec moi la main dans le plat. Le Fils de l’homme s’en va selon ce qui est écrit de lui. Mais malheur à l’homme par qui le Fils de l’homme est livré! Mieux vaudrait pour cet homme qu’il ne fût pas né. Pendant qu’ils mangeaient, Jésus prit du pain; et, après avoir rendu grâces, il le rompit, et le leur donna, en disant: Prenez, ceci est mon corps. Il prit ensuite une coupe; et, après avoir rendu grâces, il la leur donna, et ils en burent tous. Et il leur dit: Ceci est mon sang, le sang de l’alliance, qui est répandu pour plusieurs. Je vous le dis en vérité, je ne boirai plus jamais du fruit de la vigne, jusqu’au jour où je le boirai nouveau dans le royaume de Dieu. Après avoir chanté les cantiques, ils se rendirent à la montagne des oliviers. Jésus leur dit: Vous serez tous scandalisés; car il est écrit: Je frapperai le berger, et les brebis seront dispersées. Mais, après que je serai ressuscité, je vous précéderai en Galilée. Pierre lui dit: Quand tous seraient scandalisés, je ne serai pas scandalisé. Et Jésus lui dit: Je te le dis en vérité, toi, aujourd’hui, cette nuit même, avant que le coq chante deux fois, tu me renieras trois fois. Mais Pierre reprit plus fortement: Quand il me faudrait mourir avec toi, je ne te renierai pas. Et tous dirent la même chose. Ils allèrent ensuite dans un lieu appelé Gethsémané, et Jésus dit à ses disciples: Asseyez-vous ici, pendant que je prierai. Il prit avec lui Pierre, Jacques et Jean, et il commença à éprouver de la frayeur et des angoisses. Il leur dit: Mon âme est triste jusqu’à la mort; restez ici, et veillez. Puis, ayant fait quelques pas en avant, il se jeta contre terre, et pria que, s’il était possible, cette heure s’éloignât de lui. Il disait: Abba, Père, toutes choses te sont possibles, éloigne de moi cette coupe! Toutefois, non pas ce que je veux, mais ce que tu veux. Et il vint vers les disciples, qu’il trouva endormis, et il dit à Pierre: Simon, tu dors! Tu n’as pu veiller une heure! Veillez et priez, afin que vous ne tombiez pas en tentation; l’esprit est bien disposé, mais la chair est faible. Il s’éloigna de nouveau, et fit la même prière. Il revint, et les trouva encore endormis; car leurs yeux étaient appesantis. Ils ne surent que lui répondre. Il revint pour la troisième fois, et leur dit: Dormez maintenant, et reposez-vous! C’est assez! L’heure est venue; voici, le Fils de l’homme est livré aux mains des pécheurs. Levez-vous, allons; voici, celui qui me livre s’approche. Et aussitôt, comme il parlait encore, arriva Judas l’un des douze, et avec lui une foule armée d’épées et de bâtons, envoyée par les principaux sacrificateurs, par les scribes et par les anciens. Celui qui le livrait leur avait donné ce signe: Celui que je baiserai, c’est lui; saisissez-le, et emmenez-le sûrement. Dès qu’il fut arrivé, il s’approcha de Jésus, disant: Rabbi! Et il le baisa. Alors ces gens mirent la main sur Jésus, et le saisirent. Un de ceux qui étaient là, tirant l’épée, frappa le serviteur du souverain sacrificateur, et lui emporta l’oreille. Jésus, prenant la parole, leur dit: Vous êtes venus, comme après un brigand, avec des épées et des bâtons, pour vous emparer de moi. J’étais tous les jours parmi vous, enseignant dans le temple, et vous ne m’avez pas saisi. Mais c’est afin que les Écritures soient accomplies.

À propos de l'auteur

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Jivko Panev

Jivko Panev, cofondateur et journaliste sur Orthodoxie.com. Producteur de l'émission 'Orthodoxie' sur France 2 et journaliste.
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