26 septembre

Dormition de saint Jean le Théologien, apôtre et évangéliste ; saint Gédéon, juge en Israël ; saint Céran, évêque de Paris (VIIème s.) ; saint Éphrem de Novgorod (1492) ; saint Nil de Rossano (1005); saint voïevode Neagoe Basarab (1521) ; saints nouveaux martyrs de Russie : Tikhon, patriarche de Moscou et de toute la Russie (1925) ; Athanase (Dokounine), Alexandre (Levitzky) et Dimitri (Rozanov), prêtres, Jean (Zolotov) et Nicolas (Goussev) (1937), Vladimir (Viatsky), prêtre (1939).

VIE DE SAINT JEAN LE THÉOLOGIEN

26 septembre
Saint Jean le Théologien, apôtre et évangéliste

Saint Jean était originaire d’un village de Galilée nommé Bethsaïde. Il était le fils de Zébédée et de Salomé la Myrophore, fille de Joseph le Fiancé de la Mère de Dieu. En effet, Joseph avait eu de son premier mariage quatre garçons : Jacques, José, Judas et Simon (ou Siméon), et trois filles : Esther, Marthe et Salomé. C’est pour cette raison que, selon le monde, notre Seigneur Jésus-Christ était l’oncle de saint Jean le Théologien. Jean et son frère Jacques exerçaient, avec leur père Zébédée, la profession de pêcheurs sur le lac de Galilée. Avec les apôtres Pierre et André, entendant la prédication de saint Jean le Baptiste, il devint son disciple et le suivit en Judée. Lorsque notre Seigneur vint à la rencontre du Baptiste, après avoir été éprouvé au désert par les tentations, le Précurseur Le désigna à Jean et André en disant : « Voici l’Agneau de Dieu ! ». Ils partirent à la suite du Christ pour la Galilée, avec Pierre, Philippe et Nathanaël. Ils assistèrent alors au miracle de Cana, puis revinrent à Capharnaüm, où ils reprirent leurs occupations. Un peu plus tard, alors que Jean et Jacques réparaient leurs filets dans leur barque, avec leur père, Jésus les invita à Le suivre, pour devenir pêcheurs d’hommes. Ils abandonnèrent aussitôt tout ce qui les attachait à ce monde, pour suivre son céleste enseignement. Jean aimait à un tel point la virginité et l’ascèse que, plus que tous les autres disciples, il fut digne du nom de « vierge ». Pierre, Jacques et Jean devinrent les disciples les plus intimes du Seigneur, et ils furent témoins de Ses miracles les plus éclatants, telle la résurrection de la fille de Jaïre ou sa Transfiguration sur le mont Thabor, au cours de laquelle ils contemplèrent la divinité du Verbe resplendissant dans son corps et entendirent la voix venue du ciel qui déclarait: Celui-ci est mon Fils bien-aimé, en qui j’ai mis toute ma complaisance: Écoutez-le. Mais, l’amour de Jean pour le Christ était tellement ardent, et sa conduite si excellente, qu’entre tous il devint le disciple bien-aimé. C’est lui que le Maître choisit pour s’asseoir à ses côtés et qu’il laissa reposer sur sa poitrine lors de la Cène mystique. C’est lui encore qui, emporté par son amour, demanda à s’asseoir à la droite du Seigneur et qui, lorsque le Christ fut saisi par les Juifs, Le suivit jusque dans la cour du grand prêtre. Lorsqu’on crucifia le Seigneur, Jean resta seul avec la Mère de Dieu au pied de la Croix. C’est alors que le Christ, s’adressant à sa mère dit en montrant Jean : «Femme, voici ton fils ». Puis il dit à Jean : « Voilà ta mère ». Et à partir de ce moment, le disciple vierge prit chez lui la Vierge Mère. À l’annonce de la Résurrection par les femmes Myrophores, Jean devança Pierre en courant vers le tombeau. Il se pencha le premier vers l’intérieur, et vit les bandelettes qui gisaient à terre. L’après-midi du même jour, alors qu’il se trouvait dans la chambre haute avec les autres disciples, il vit le Seigneur ressuscité, qui leur donna pour mission d’aller prêcher la Bonne Nouvelle par toute la terre. Jean assista aussi à son Ascension et reçut le Saint-Esprit sous forme de flammes de feu avec les autres disciples le jour de la Pentecôte. Après le départ des apôtres, il resta le dernier à Jérusalem, en compagnie de la Mère de Dieu, pour la servir jusqu’à sa Dormition. Comme Pierre et Jean proclamaient sans crainte le message du salut dans les parvis du Temple, ils furent arrêtés et jetés en prison. Le lendemain, ils montrèrent une telle assurance devant le Sanhédrin qu’ils furent relâchés avec des menaces, auxquelles ils répliquèrent : « Nous ne pouvons pas ne pas publier ce que nous avons vu et entendu ! ». Au moment de se séparer pour aller prêcher dans toutes les régions du monde, les Apôtres tirèrent au sort pour savoir où chacun devait se rendre. À Jean revint l’évangélisation de l’Asie Mineure, qui était à cette époque tout entière vouée à l’idolâtrie et aux erreurs païennes. À Éphèse, lors d’une grande fête en l’honneur de la déesse Artémis, Jean monta sur la colline où se dressait la grande statue de ladite déesse, pour haranguer la foule. En le voyant, les païens, pris de fureur, lui jetèrent des pierres pour le tuer. Mais, par la grâce de Dieu, aucune pierre ne l’atteignit. Comme les miracles de Jean se multipliaient, La notoriété de Jean parvint jusqu’à l’empereur Domitien (81-96), qui l’envoya quérir. En l’interrogeant, il constata que l’assurance du saint auprès du Christ était plus forte que toutes les puissances terrestres, aussi décida-t-il de l’exiler dans l’île de Patmos, pensant ainsi réduire son influence. Pendant son voyage, Jean, toujours accompagné de Prochore, manifesta la bienveillance de Dieu envers tous les hommes en guérissant de la dysenterie un officier de son escorte, si bien qu’en arrivant à Patmos tout l’équipage s’était converti. Hébergé chez un notable de l’île, Myron, l’Apôtre guérit son fils Apollonide, d’un esprit impur. À la suite de ce miracle toute la maisonnée crut au Christ et fut baptisée, ainsi que, un peu plus tard, le gouverneur de l’île lui-même. Lorsque Trajan prit la succession de Nerva (98), il rappela saint Jean à Éphèse, à la grande douleur des habitants de Patmos qu’il avait convertis. C’est également à Patmos qu’un dimanche, alors que Jean se trouvait dans une grotte en prière, le rocher se fendit en trois et le Seigneur lui apparut, au milieu de sept candélabres, sous l’apparence d’un jeune homme dont le visage brillait plus que le soleil dans tout son éclat. Posant sa main sur lui pour le rassurer, il lui dit : « Ne crains pas, je suis le Premier et le Dernier, le Vivant ; je fus mort, et me voici vivant pour les siècles des siècles, détenant les clefs de la Mort et de l’Hadès. Écris donc ce que tu as vu : le présent et ce qui doit arriver plus tard ». Puis Il lui révéla en de grandioses visions ce qui doit arriver à la fin des temps l’accroissement de l’iniquité, la venue de l’Antéchrist, les bouleversements du monde, la consommation de toute chose sous le feu divin et, enfin, le triomphe du Fils de l’homme, la Résurrection de tous et le Jugement dernier. L’Apocalypse de saint Jean, qui est aussi le dernier livre de l’Écriture Sainte, se termine avec la scène sublime de la descente sur terre de la Jérusalem céleste, la Cité sainte et éternelle, où Dieu demeurera pour toujours avec les hommes, comme l’Époux uni à son épouse. L’Apôtre Bien-Aimé passa paisiblement le reste de ses jours à Éphèse, amenant au Christ un grand nombre de païens. Il avait cinquante-six ans lorsqu’il partit de Jérusalem pour prêcher l’Évangile. Il prêcha pendant neuf ans jusqu’à son exil, passa quinze ans à Patmos, et vécut encore vingt-six ans après son retour, de sorte que la durée de sa vie fut cent cinq ans et sept mois. Lorsqu’il apprit de Dieu que le moment de quitter cette vie était arrivé, il ordonna à ses disciples de creuser dans le sable une tombe en forme de croix. Après les avoir tous embrassés et consolés, il s’allongea de lui-même dans la fosse où il avait étendu ses vêtements comme pour en faire un lit, et ordonna de le recouvrir d’abord jusqu’aux genoux ; puis, après un nouvel adieu, ses disciples le couvrirent jusqu’au cou, et lui recouvrirent enfin le visage au moment où le soleil se levait. Lorsqu’ils revinrent en ville en pleurant, les autres disciples du Saint voulurent se rendre à leur tour sur le lieu de la sépulture. Ils creusèrent à l’endroit où se trouvait sa tombe, mais n’y trouvèrent plus le corps. En effet, d’après une tradition sur laquelle l’Église ne s’est pas prononcée officiellement, saint Jean serait ressuscité et monté au ciel, d’une manière semblable à la Mère de Dieu, en réalisant la parole énigmatique du Sauveur lorsqu’il répondit à Pierre qui l’avait questionné sur Jean : Si je veux qu’il reste jusqu’à ce que je revienne, qu’est-ce que cela te fait ? Il ne voulait pas dire par là que le Disciple Bien-aimé ne mourrait pas, mais plutôt qu’il lui réservait un sort spécial, le mettant à part jusqu’à sa seconde venue.

TROPAIRES DU JOUR

Tropaire du saint apôtre Jean, ton 2

Apôtre bien-aimé du Christ Dieu, hâte-toi de délivrer un peuple sans défense. Celui qui t’a permis de te reposer sur Sa poitrine t’accueillera tombant à Ses pieds afin d’intercéder pour nous. Prie-le, ô Théologien, de dissiper le nuage persistant du paganisme et demande-lui pour nous paix et grande miséricorde.

Tropaire de saint Tikhon, patriarche de Moscou, ton 1

Zélateur des traditions apostoliques et bon pasteur de l’Église du Christ, tu as donné ton âme pour tes ouailles, toi qui fus élu par le divin destin, nous te louons, toi Tikhon le patriarche de toute la Russie, et nous te crions avec foi et espoir : garde l’Église russe dans la paix, rassemble ses enfants en un seul troupeau, fais revenir à la pénitence ceux qui ont apostasié la vraie foi,  préserve ton pays de la guerre civile et demande la paix divine pour les hommes.

Kondakion de saint Tikhon, patriarche de Moscou, ton 2

Orné d’une nature affable, montrant de la douceur et de la miséricorde envers les pénitents, tu restas ferme et inébranlable dans la confession de la foi orthodoxe et l’amour du Seigneur, ô saint hiérarque du Christ Tikhon ; prie pour nous afin que nous ne nous séparions pas de l’amour de Dieu, qui est dans le Christ Jésus, notre Seigneur.

Kondakion du saint apôtre Jean, ton 2

Tes hauts faits, Disciple vierge, qui en fera le récit? * Tu répands les miracles, en effet, * comme une source tu fais jaillir les guérisons * et pour nos âmes tu intercèdes auprès du Christ, comme théologien et ami du Christ.

ÉPITRE DU JOUR

Éph. II, 19- III, 7

Ainsi donc, vous n’êtes plus des étrangers, ni des gens du dehors; mais vous êtes concitoyens des saints, gens de la maison de Dieu. Vous avez été édifiés sur le fondement des apôtres et des prophètes, Jésus Christ lui-même étant la pierre angulaire. En lui tout l’édifice, bien coordonné, s’élève pour être un temple saint dans le Seigneur. En lui vous êtes aussi édifiés pour être une habitation de Dieu en Esprit. À cause de cela, moi Paul, le prisonnier de Christ pour vous païens… si du moins vous avez appris quelle est la dispensation de la grâce de Dieu, qui m’a été donnée pour vous. C’est par révélation que j’ai eu connaissance du mystère sur lequel je viens d’écrire en peu de mots. En les lisant, vous pouvez vous représenter l’intelligence que j’ai du mystère de Christ. Il n’a pas été manifesté aux fils des hommes dans les autres générations, comme il a été révélé maintenant par l’Esprit aux saints apôtres et prophètes de Christ. Ce mystère, c’est que les païens sont cohéritiers, forment un même corps, et participent à la même promesse en Jésus Christ par l’Évangile, dont j’ai été fait ministre selon le don de la grâce de Dieu, qui m’a été accordée par l’efficacité de sa puissance.

Jn IV, 12-19 (S. Apôtre Jean)

Personne n’a jamais vu Dieu ; si nous nous aimons les uns les autres, Dieu demeure en nous, et son amour est parfait en nous. Nous connaissons que nous demeurons en lui, et qu’il demeure en nous, en ce qu’il nous a donné de son Esprit. Et nous, nous avons vu et nous attestons que le Père a envoyé le Fils comme Sauveur du monde. Celui qui confessera que Jésus est le Fils de Dieu, Dieu demeure en lui, et lui en Dieu. Et nous, nous avons connu l’amour que Dieu a pour nous, et nous y avons cru. Dieu est amour ; et celui qui demeure dans l’amour demeure en Dieu, et Dieu demeure en lui. Tel il est, tels nous sommes aussi dans ce monde : c’est en cela que l’amour est parfait en nous, afin que nous ayons de l’assurance au jour du jugement. La crainte n’est pas dans l’amour, mais l’amour parfait bannit la crainte ; car la crainte suppose un châtiment, et celui qui craint n’est pas parfait dans l’amour. Pour nous, nous l’aimons, parce qu’il nous a aimés le premier.

ÉVANGILE DU JOUR

Mc XI, 11-23

Jésus entra à Jérusalem, dans le temple. Quand il eut tout considéré, comme il était déjà tard, il s’en alla à Béthanie avec les douze. Le lendemain, après qu’ils furent sortis de Béthanie, Jésus eut faim. Apercevant de loin un figuier qui avait des feuilles, il alla voir s’il y trouverait quelque chose; et, s’en étant approché, il ne trouva que des feuilles, car ce n’était pas la saison des figues. Prenant alors la parole, il lui dit: Que jamais personne ne mange de ton fruit! Et ses disciples l’entendirent. Ils arrivèrent à Jérusalem, et Jésus entra dans le temple. Il se mit à chasser ceux qui vendaient et qui achetaient dans le temple; il renversa les tables des changeurs, et les sièges des vendeurs de pigeons; et il ne laissait personne transporter aucun objet à travers le temple. Et il enseignait et disait: N’est-il pas écrit: Ma maison sera appelée une maison de prière pour toutes les nations? Mais vous, vous en avez fait une caverne de voleurs. Les principaux sacrificateurs et les scribes, l’ayant entendu, cherchèrent les moyens de le faire périr; car ils le craignaient, parce que toute la foule était frappée de sa doctrine. Quand le soir fut venu, Jésus sortit de la ville. Le matin, en passant, les disciples virent le figuier séché jusqu’aux racines. Pierre, se rappelant ce qui s’était passé, dit à Jésus: Rabbi, regarde, le figuier que tu as maudit a séché. Jésus prit la parole, et leur dit: Ayez foi en Dieu. Je vous le dis en vérité, si quelqu’un dit à cette montagne: Ôte-toi de là et jette-toi dans la mer, et s’il ne doute point en son cœur, mais croit que ce qu’il dit arrive, il le verra s’accomplir.

Jn XIX, 25-27, XXI, 24-25 (S. Apôtre Jean)

Près de la croix de Jésus se tenaient sa mère, la sœur de sa mère, Marie, femme de Clopas, et Marie de Magdala. Jésus, voyant sa mère, et auprès d’elle le disciple qu’il aimait, dit à sa mère : « Femme, voilà ton fils. » Puis il dit au disciple : « Voilà ta mère. » Et, dès ce moment, le disciple la prit chez lui. C’est ce disciple qui rend témoignage de ces choses, et qui les a écrites. Et nous savons que son témoignage est vrai. Jésus a fait encore beaucoup d’autres choses ; si on les écrivait en détail, je ne pense pas que le monde même pût contenir les livres qu’on écrirait.

À propos de l'auteur

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Jivko Panev

Jivko Panev, cofondateur et journaliste sur Orthodoxie.com. Producteur de l'émission 'Orthodoxie' sur France 2 et journaliste.
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