Ce qui s’est passé est selon toute vraisemblance une attaque par un ou plusieurs membres d’une des unités paramilitaires extrémistes locales dont l’OTAN ne doit pas tolérer l’existence et qui doivent répondre à la justice, a dit le père Sava. L’on pourra empêcher de futures violences uniquement si l’on mène une enquête détaillée et que l’on empêche d’autres activités des groupes extrémistes qui opèrent librement ici depuis des années. Jusqu’au présent, ils ont lancé quatre attaques armées