15 juillet (ancien calendrier) / 28 juillet (nouveau)

5è dimanche après la Pentecôte

Mémoire des Pères des six premiers conciles œcuméniques

Sainte Julitte et son fils saint Cyrique, martyrs à Tarse (vers 305) ; saint Abudème, martyr en l’île de Tenedos (IVème s.) ; sainte Aprone (ou Evronie), vierge à Toul (420); saint Evrard (VIIIème s.) ; saint Vladimir, grand-prince de Kiev, égal aux apôtres, baptisé Basile (1015) ;  saint hiéromartyr Pierre Troïtsky, diacre (1938).

SAINT VLADIMIR ÉGAL-AUX-APÔTRES

15 juillet (ancien calendrier) / 28 juillet (nouveau)

À la suite du siège manqué de Constantinople (864), le patriarche saint Photios envoya à Kiev un évêque accompagné de prêtres, afin d’y semer les premières semences du christianisme . Mais cette mission fut bientôt interrompue lors de la prise de la ville par les princes varègues (Vikings) Oleg et Igor (880-883), qui favorisèrent l’implantation de leurs congénères idolâtres. Par la suite, les trois attaques tentées par les Russes contre la capitale byzantine (911, 944 et 971) conduisirent à l’installation de marchands qui embrassèrent le christianisme et devinrent missionnaires en rentrant dans leur patrie, si bien qu’en 945, Kiev possédait déjà une assez grande communauté chrétienne, qui se rassemblait dans l’église du Prophète-Élie. La veuve du prince Igor, sainte Olga, se fit baptiser alors qu’elle était régente [11 juil.], mais cette conversion resta personnelle et n’eut pas de répercussion notable dans son peuple. Bien au contraire, dès que son fils Sviatoslav prit le pouvoir, restant sourd aux exhortations d’Olga, il encouragea le paganisme, car la conversion au christianisme était considérée comme une transgression de la tradition de son peuple et une honte.

À la mort de Sviatoslav, son fils Iaropolk, qui était plus favorable aux chrétiens, devint prince de Kiev, alors que son frère cadet, Vladimir, s’installait à Novgorod. Chassé de là par Iaropolk, il alla se réfugier en Scandinavie, d’où il revint peu après avec un fort contingent de Varègues. Il expulsa son frère, qui mourut au cours du combat, et s’installa à Kiev (980). Les instructions de sa grand-mère, sainte Olga, et de sa mère, Malousa, n’avaient pu décider Vladimir à renoncer à l’idolâtrie et, animé d’un zèle ardent pour les dieux des Vikings, dès son intronisation, il fit édifier sur les hauteurs de la cité un temple dédié au dieu du tonnerre, Péroun, où l’on faisait même des sacrifices humains. Et, conséquence de cette impiété, le prince menait une vie excessivement débauchée, qui le rendit tristement célèbre. Monarque belliqueux et soucieux d’étendre son territoire, il avait déclaré une guerre sans merci aux peuples voisins : Bulgares et Lituaniens. Au retour d’une campagne victorieuse contre les Jatvagues (Latviens) (983), il décida d’offrir aux dieux un sacrifice humain, en signe d’action de grâces. Le sort tomba sur un marchand varègue, Théodore, et son fils Jean, qui étaient chrétiens et qui devinrent ainsi les premiers-martyrs du sol russe [12 juil.]. Cet ignoble sacrifice fit cependant une forte impression sur l’âme de Vladimir. Il se mit alors à méditer sur la religion et à nourrir des doutes à propos de l’idolâtrie. Ces préoccupations vinrent à la connaissance des peuples qui vénéraient un seul Dieu : les Bulgares musulmans de Kama, les Khazars qui avaient embrassé le judaïsme, les Germains, chrétiens latins, et les Grecs orthodoxes. Chacun de ces peuples envoya des émissaires à Kiev, qui essayèrent d’influencer le prince en présentant leurs arguments ; mais seul l’envoyé de Byzance parvint à capter son attention en réfutant toutes les autres religions et en lui exposant l’œuvre salvatrice de notre Seigneur Jésus-Christ. Après avoir consulté ses boyards, le prince décida d’envoyer ses propres ambassadeurs dans ces différents pays, afin de se rendre compte par eux-mêmes de la manière dont on y vivait la religion. Quand les émissaires envoyés dans la capitale byzantine assistèrent à la Divine Liturgie et aux diverses cérémonies qui avaient lieu à Sainte-Sophie, leur impression fut si forte qu’ils en restèrent stupéfaits et rapportèrent ensuite à leur souverain : « Nous ne savions plus si nous étions au ciel ou sur la terre. Car il n’y a pas sur terre un tel spectacle, ni une telle beauté, et nous sommes incapables de le décrire. Nous savons seulement que c’est là que Dieu demeure avec les hommes, et que leur culte dépasse celui de tous les pays. Cette beauté nous ne pouvons l’oublier, et nous savons qu’il nous sera désormais impossible de vivre en Russie d’une manière différente ! »  Quand il entendit ce récit, l’âme de Vladimir s’enflamma et, désormais convaincu que cette gloire manifestée dans la Liturgie ne pouvait être que le resplendissement de la Vérité, il décida de devenir chrétien, avec tout son peuple. Entre-temps, l’empereur de Byzance, Basile II, affaibli par la guerre contre le tsar des Bulgares, Samuel, et menacé d’être expulsé de Constantinople par la révolte de Bardas Phocas (987), fit appel au grand-prince de Kiev. Vladimir proposa de lui envoyer six mille Varègues, mais demanda en échange la main de sa sœur, Anne Porphyrogénète, en promettant de se convertir au christianisme avec tout son peuple. Grâce à l’intervention des Varègues, la révolte de Bardas fut réprimée, mais l’empereur tarda à tenir sa promesse et à envoyer à Kiev sa sœur qui répugnait à s’unir à un païen. Jamais, en effet, une princesse de rang impérial n’avait été mariée à un barbare. Vladimir marcha alors vers la Crimée et s’empara de la ville de Cherson, menaçant de poursuivre vers Constantinople si l’empereur ne tenait pas sa promesse . Effrayé, Basile envoya sans retard sa sœur, accompagnée de l’évêque saint Michel [30 sept.] et de prêtres qui avaient été choisis pour la mission en Russie. Le grand-prince fut baptisé, sous le nom de Basile, le jour de la Théophanie , avec les officiers de sa suite, puis on célébra les noces . En cadeau, Vladimir rendit la ville de Cherson aux Byzantins, puis il repartit pour Kiev, avec la princesse et les clercs qui avaient pris à Cherson un fragment des reliques de saint Clément de Rome ainsi que d’autres glorieux trophées, icônes et objets de culte. Aussitôt arrivé dans sa capitale, le prince répudia ses épouses païennes, déclarant qu’il ne pouvait désormais avoir qu’une seule épouse, et il commença à purifier la ville de tout culte idolâtre. Avec le même zèle qu’il avait montré auparavant pour le culte des faux dieux, il fit renverser leurs idoles et ordonna d’attacher la statue de Péroun à la queue de chevaux, qui lui firent dévaler la colline et allèrent la précipiter dans le Dniepr aux yeux de tout le peuple. Saint Michel commença alors à prêcher la parole de Dieu, aidé par Vladimir en personne. Le jour de la Pentecôte, une multitude d’habitants de Kiev fut baptisée dans le fleuve : jeunes et vieux entrèrent ensemble dans le bain de la nouvelle naissance, les uns plongés dans l’eau jusqu’au cou, d’autres jusqu’à la taille, les enfants groupés au bord et les nourrissons dans les bras de leurs mères. L’évêque célébra le baptême et demanda au prince Vladimir de servir de parrain à tout son peuple. Changeant complètement son caractère et adoptant la douceur des mœurs évangéliques, Vladimir supprima la peine de mort et mena dès lors une vie agréable à Dieu, qui le fit surnommer par son peuple : le « Soleil radieux ». Il fit édifier des églises à la place des temples païens, et en particulier une splendide église, dédiée à la Dormition de la Mère de Dieu, fut érigée à l’endroit même du martyre de saint Théodore et de son fils, à laquelle le prince affecta un dixième de ses revenus . Il fonda aussi des écoles pour l’instruction du peuple et la formation des prêtres. Des missionnaires furent envoyés dans les autres principautés, afin d’y proclamer la Bonne Nouvelle en langue slave . La ville de Kiev devint ainsi le siège de l’évêque métropolitain, dépendant du Patriarcat de Constantinople, ayant juridiction sur cet immense territoire. Du fait de la résistance des prêtres païens, seule la principauté de Novgorod resta rétive, et c’est par la force que Vladimir y imposa le christianisme. Vers la fin de sa vie, après la mort de sa femme, le saint prince eut à endurer de cruelles afflictions de la part de ses deux fils aînés, Sviatopolk et Iaroslav. Sous l’influence de son beau-père, le roi de Pologne, qui l’avait convaincu de se convertir au catholicisme, Sviatopolk s’insurgea contre Vladimir, qui fut mis en prison, et une guerre de courte durée éclata entre la Pologne et la Russie (1013). L’année suivante, Iaroslav, profitant de la haine que nourrissait la principauté de Novgorod à l’égard de Kiev qui lui avait retiré l’hégémonie au temps d’Oleg, fomenta une révolte. Mais avant que la guerre ne soit déclarée, saint Vladimir tomba gravement malade. Il envoya son fils Boris combattre les Petchenègues, païens endurcis et de mœurs sauvages, qui attaquaient son territoire, et relâcha Sviatopolk avant de rendre son âme à Dieu, le 15 juillet 1015. Sviatopolk essaya de cacher au peuple la mort de son père  ; mais au matin la cathédrale, dans laquelle le corps avait été transporté, se trouva entourée de milliers de personnes de toutes qualités, qui versaient d’abondantes larmes et élevaient vers Dieu leurs lamentations, car ils venaient de perdre leur père et le nouvel-apôtre qui leur avait apporté la lumière de la foi et qui, tel un autre Constantin, avait élevé leur peuple au rang des grandes nations chrétiennes. Ses précieuses reliques furent cachées pendant l’invasion mongole, et ne furent retrouvées, dans les ruines de l’église, qu’en 1631. Son crâne est conservé dans l’église principale du monastère des Grottes de Kiev, sa mâchoire dans la cathédrale de la Dormition à Moscou, et d’autres fragments dans divers sanctuaires de Russie.

(Tiré du Synaxaire du hiéromoine Macaire de Simonos Petras)

TROPAIRES ET KONDAKIA DU JOUR

Tropaire du dimanche, ton 4

Les saintes femmes, disciples du Seigneur, ayant appris de l’Ange la radieuse nouvelle de la Résurrection, rejetèrent la condamnation des premiers parents, et, pleines de fierté, dirent aux Apôtres : « La mort a été dépouillée, le Christ est ressuscité, donnant au monde la grande miséricorde ! »

Tropaire des Saints Pères, ton 8

Infiniment glorifié es-Tu, Christ notre Dieu, car Tu as établi nos Père comme des luminaires sur terre. Par eux, Tu nous as amenés vers la vraie foi. Très miséricordieux, gloire à Toi !

Tropaire de saint Vladimir, ton 4

Tu ressemblas à ce marchand qui recherchait la perle de grand prix, illustre souverain Vladimir, toi qui siégeais sur le trône élevé de Kiev, la métropole gardée de Dieu; ayant envoyé des prospecteurs à l’impériale cité pour l’informer sur la vraie foi, tu as trouvé le Christ, cette perle sans prix, qui tel un autre Paul te choisit et secoua dans les fonts baptismaux la cécité de ton âme et de tes yeux; c’est pourquoi nous te prions d’intercéder pour ton peuple et pour nous tous qui fêtons en ce jour ta sainte dormition.


Kondakion des Saints Pères, ton 8

La prédication des Apôtres et les dogmes des Pères ont donné à l’Église la foi une ; portant la tunique de la vérité, tissée par la théologie qui vient d’en haut, elle confirme et glorifie le grand mystère de la piété.

Kondakion de saint Vladimir, ton 8

Tu ressemblas au grand apôtre Paul en ta vieillesse, illustre Vladimir, toi qui, rejetant le culte des idoles comme puériles imaginations, en adulte revêtis le royal ornement du baptême divin; maintenant que tu exultes en présence du Christ Sauveur, intercède pour les fils de la sainte Russie.

Kondakion du dimanche, 4ème ton

Mon Sauveur et mon Rédempteur, au sortir du Tombeau, a libéré les humains de leurs chaînes et a fracassé les portes de l’enfer ; en Maître, Il est ressuscité le troisième jour.

ÉPÎTRE DU JOUR

Rom. X, 1-10

Frères, le vœu de mon cœur et ma prière à Dieu pour les enfants d’Israël, c’est qu’ils soient sauvés. Je leur rends le témoignage qu’ils ont du zèle pour Dieu, mais sans intelligence : ne connaissant pas la justice de Dieu, et cherchant à établir leur propre justice, ils ne se sont pas soumis à la justice de Dieu ; car Christ est la fin de la loi, pour la justification de tous ceux qui croient. En effet, Moïse définit ainsi la justice qui vient de la loi : L’homme qui mettra ces choses en pratique vivra par elles. Mais voici comment parle la justice qui vient de la foi : Ne dis pas en ton cœur : « Qui montera au ciel ? » c’est en faire descendre Christ ; ou : « Qui descendra dans l’abîme ? » c’est faire remonter Christ d’entre les morts. Que dit-elle donc ? « La parole est près de toi, dans ta bouche et dans ton cœur », or, c’est la parole de la foi que nous prêchons. Si tu confesses de ta bouche le Seigneur Jésus, et si tu crois dans ton cœur que Dieu l’a ressuscité des morts, tu seras sauvé. Car c’est en croyant du cœur qu’on parvient à la justice, et c’est en confessant de la bouche qu’on parvient au salut.

Hébr. XIII, 7-16 (Saints Pères)

Frères, souvenez-vous de vos chefs qui vous ont annoncé la parole de Dieu ; considérez quelle a été la fin de leur vie, et imitez leur foi. Jésus Christ est le même hier, aujourd’hui, et éternellement. Ne vous laissez pas entraîner par des doctrines diverses et étrangères ; car il est bon que le cœur soit affermi par la grâce, et non par des aliments qui n’ont servi de rien à ceux qui s’y sont attachés. Nous avons un sacrifice dont ceux qui font le service au tabernacle n’ont pas le pouvoir de manger. Les corps des animaux, dont le sang est porté dans le sanctuaire par le grand prêtre pour l’expiation des péchés, sont brûlés hors du camp. C’est pour cela que Jésus aussi, afin de sanctifier le peuple par son propre sang, a souffert hors de la porte. Sortons donc pour aller à lui, hors du camp, en portant son opprobre. Car nous n’avons point ici-bas de cité permanente, mais nous cherchons celle qui est à venir. Par lui, offrons sans cesse à Dieu un sacrifice de louange, c’est-a-dire le fruit de lèvres qui confessent son nom. Et n’oubliez pas de faire du bien et de partager, car c’est à de tels sacrifices que Dieu prend plaisir.

ÉVANGILE DU JOUR

Matth. VIII, 28 – IX, 1

Comme Jésus était arrivé de l’autre côté de la mer, au pays des Gadaréniens, deux démoniaques, sortant des sépulcres, vinrent au-devant de lui. Ils étaient si furieux que personne n’osait passer par là. Et voici, ils s’écrièrent : « Qu’y a-t-il entre nous et toi, Fils de Dieu ? Es-tu venu ici pour nous tourmenter avant le temps ?  » Il y avait loin d’eux un grand troupeau de porcs en train de paître. Les démons priaient Jésus, disant : « Si tu nous chasses, envoie-nous dans ce troupeau de porcs. » Il leur dit : « Allez ! » Ils sortirent, et entrèrent dans les porcs. Et voici, tout le troupeau se précipita des pentes escarpées dans la mer, et ils périrent dans les eaux. Ceux qui les faisaient paître s’enfuirent, et allèrent dans la ville raconter tout ce qui s’était passé et ce qui était arrivé aux démoniaques. Alors toute la ville sortit à la rencontre de Jésus ; et, dès qu’ils le virent, ils le supplièrent de quitter leur territoire. Jésus, étant monté dans une barque, re-traversa la mer, et alla dans sa ville.

Jn XVII, 1-13 (Saints Pères)

Après avoir ainsi parlé, Jésus leva les yeux au ciel, et dit: Père, l’heure est venue! Glorifie ton Fils, afin que ton Fils te glorifie, selon que tu lui as donné pouvoir sur toute chair, afin qu’il accorde la vie éternelle à tous ceux que tu lui as donnés. Or, la vie éternelle, c’est qu’ils te connaissent, toi, le seul vrai Dieu, et celui que tu as envoyé, Jésus Christ. Je t’ai glorifié sur la terre, j’ai achevé l’œuvre que tu m’as donnée à faire. Et maintenant toi, Père, glorifie-moi auprès de toi-même de la gloire que j’avais auprès de toi avant que le monde fût. J’ai fait connaître ton nom aux hommes que tu m’as donnés du milieu du monde. Ils étaient à toi, et tu me les as donnés; et ils ont gardé ta parole. Maintenant ils ont connu que tout ce que tu m’as donné vient de toi. Car je leur ai donné les paroles que tu m’as données; et ils les ont reçues, et ils ont vraiment connu que je suis sorti de toi, et ils ont cru que tu m’as envoyé. C’est pour eux que je prie. Je ne prie pas pour le monde, mais pour ceux que tu m’as donnés, parce qu’ils sont à toi; et tout ce qui est à moi est à toi, et ce qui est à toi est à moi; -et je suis glorifié en eux. Je ne suis plus dans le monde, et ils sont dans le monde, et je vais à toi. Père saint, garde en ton nom ceux que tu m’as donnés, afin qu’ils soient un comme nous. Lorsque j’étais avec eux dans le monde, je les gardais en ton nom. J’ai gardé ceux que tu m’as donnés, et aucun d’eux ne s’est perdu, sinon le fils de perdition, afin que l’Écriture fût accomplie. Et maintenant je vais à toi, et je dis ces choses dans le monde, afin qu’ils aient en eux ma joie parfaite.

À propos de l'auteur

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Jivko Panev

Jivko Panev, cofondateur et journaliste sur Orthodoxie.com. Producteur de l'émission 'Orthodoxie' sur France 2 et journaliste.
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