« À la fin du mois de décembre 1994, une question simple et très pragmatique s’était posée à moi ainsi qu’à l’higoumène du metochion (« podvorié ») du monastère de Pskov-Petchersky (comme s’appelait alors notre monastère « Sretensky ») : comment, en cette première année de l’existence du monastère renaissant, passer la nuit du nouvel an ? Comment établir une tradition qui nous permettrait d’observer le carême, spirituel et corporel,