Les protestations de l’Église au sujet de la loi « sur le libre changement de sexe » ont provoqué des réactions de mécontentement chez les représentants du gouvernement. Depuis la tribune du Parlement, Nikos Filis, ancien ministre de l’Instruction publique, actuellement député du parti au pouvoir, a accusé l’Église d’immixtion dans la politique et de transgression des « droits de l’homme ». Quant au Premier ministre Alexis Tsipras, il a