L’une des questions évoquées à la session d’hiver de l’Assemblée parlementaire du Conseil de l’Europe à Strasbourg, laquelle a débuté hier, est la « nécessité d’une condamnation internationale des crimes des régimes totalitaires communistes ». Mais le projet de résolution, si il évoque les «les assassinats et les exécutions, qu’ils soient individuels ou collectifs, les décès dans des camps de concentration, la mort par la faim, les déportations, la torture,