20 août (ancien calendrier) / 2 septembre (nouveau)

Après-Fête de la Dormition de la Très-Sainte Mère de Dieu et toujours Vierge Marie ; saint Samuel, prophète (Xlème s. av. J.-C.) ; saints Sévère et Memnon, martyrs en Thrace avec 37 compagnons (304) ; saint Amadour, ermite dans le Quercy ; saint Mesme, abbé-fondateur de Chinon (Vème s.) ; saint Hardouin, évêque du Mans (654) ; saint Philibert abbé-fondateur de Jumièges et Noirmoutier (685) ; saint Hiérothée, premier évêque et illuminateur de la Hongrie (Xème s.) ; saint néomartyr Théocharis de Néapolis (1740) ; saints nouveaux martyrs de Russie : Alexandre Malinovsky, Léon Erchov, Vladimir Tchetverine, prêtres (1918), Nicolas Birioukov, prêtre (1919).

SAINT PROPHÈTE SAMUEL[1]

Saint prophète Samuel
Saint prophète Samuel, (Xlème s. av. J.-C.)

Le saint prophète Samuel était originaire de Rama (Ramatayim), bourg de la tribu d’Éphraïm. Sa mère, Anne [9 déc.], une des deux épouses d’Elqana, était restée stérile et elle devait supporter les affronts de sa rivale, quand ils se rendaient en famille, chaque année, au sanctuaire de Silo pour y offrir leur sacrifice. Mais Dieu entendit ses prières, et elle donna naissance à un fils qu’elle nomma Samuel, ce qui signifie « obtenu de Dieu ». Une fois sevré, l’enfant fut consacré au Seigneur et confié au prêtre Éli à Silo, pour y servir Dieu tous les jours de sa vie, dans le sanctuaire, devant l’Arche d’Alliance. Il grandit en taille et en grâce, en présence de Dieu, et chaque année sa mère lui apportait un petit manteau qu’elle avait confectionné pour lui. Les fréquents entretiens avec les prêtres et les hommes pieux lui permirent de s’instruire de la Loi de Moïse, pure de toute influence des cultes païens qui pervertissaient alors le peuple récemment installé en terre de Canaan. En ces temps d’apostasie, il était rare que Dieu se révélât, et les visions étaient peu fréquentes. Un soir pourtant, alors que Samuel, âgé de douze ans, était couché dans le sanctuaire où brûlait la lampe signalant la présence de Dieu, il entendit une voix l’appeler par son nom. Croyant qu’il s’agissait du prêtre Éli, il courut à son chevet ; mais celui-ci le renvoya se coucher. L’appel s’étant réitéré, Éli comprit que Dieu appelait l’enfant et il lui recommanda de répondre : « Parle, Seigneur, car ton serviteur t’écoute. » Dès qu’il eut fait cette réponse, Dieu se tint invisiblement devant Samuel et lui annonça qu’Il allait châtier Éli et sa maison, à cause de la conduite impie de ses deux fils, qui détournaient à leur profit les victimes offertes par le peuple en sacrifice. Au matin, sur les instances d’Éli, l’enfant lui rapporta ce que Dieu lui avait révélé, sans rien lui cacher. Par la suite, le Seigneur continua de se manifester à Samuel ; tout le peuple d’Israël le reconnaissait comme prophète, l’appelant le Voyant, et respectait sa parole comme la parole de Dieu lui-même. Comme les fils d’Éli persévéraient dans leur impiété, la sentence divine ne tarda pas à se réaliser. Les Philistins ayant infligé une grande défaite à Israël, les Hébreux firent venir l’Arche, que l’armée accueillit avec de grandes acclamations. Les ennemis prirent peur, mais au lieu de s’enfuir, ils s’élancèrent avec l’énergie du désespoir. Trente mille Hébreux succombèrent dans le combat, et les Philistins s’emparèrent de l’Arche d’Alliance. Un des rescapés courut porter la nouvelle du désastre à Silo. Il trouva le vieux prêtre Éli, alors âgé de quatre-vingt-dix-huit ans, assis anxieux au seuil de sa demeure. Quand il lui annonça que ses fils avaient péri dans la bataille et que l’Arche avait été enlevée, à la mention de l’Arche, Éli tomba à la renverse, sa nuque se brisa et il mourut. Entre temps les Philistins avaient introduit l’Arche dans le temple du dieu Dâgon ; mais le lendemain, ils découvrirent l’idole gisant à terre brisée. La main de Dieu s’appesantit sur leur peuple et leur infligea des tumeurs. Après s’être concertés, les princes des Philistins se décidèrent à renvoyer l’Arche aux Israélites. Mais le sanctuaire de Silo ayant été détruit, le peuple d’Israël se trouvait dépourvu de centre religieux, aussi l’Arche fut-elle déposée à Qiryat-Yéarim, dans la maison d’Abinadab, où elle resta vingt ans. Samuel le prophète avait succédé au prêtre Éli comme juge d’Israël, c’est-à-dire chef suprême chargé de guider le peuple opprimé sous le joug des Philistins. Il entreprit sa tâche de restauration spirituelle en prêchant dans tout le pays le repentir, le retour à l’observance de la Loi et le renoncement aux cultes de Baal et d’Astarté. Fixez votre cœur dans le Seigneur, et Il vous délivrera des Philistins : Tel était son programme de gouvernement. Il organisa une grande assemblée à Mispa, au cours de laquelle les Israélites jeûnèrent et reconnurent publiquement leur faute devant Dieu, et le prophète intercéda pour leur salut. Comme les Philistins, avertis de ce rassemblement, étaient passés à l’attaque, à la demande du peuple, le prophète offrit un agneau en holocauste et invoqua le Seigneur, qui répondit aussitôt en faisant retentir un grand fracas dans le ciel. Les Philistins, pris de panique, furent battus, et les Israélites purent reprendre possession des villes qui avaient été prises.

La paix rétablie, Samuel continua de juger Israël à Rama, où il avait élevé un autel. Chaque année, il faisait une tournée dans le pays, pour trancher les différends et exhorter le peuple à la piété et à l’observance de la Loi. Une fois devenu vieux, il transmit ses pouvoirs à ses fils, Yoël et Abiyya, qui étaient établis à Bersabée. Mais ces derniers se montrèrent indignes de leur père, ils acceptaient des présents et firent fléchir le droit. Les anciens d’Israël allèrent s’en plaindre auprès de Samuel à Rama et lui demandèrent d’établir à leur tête un roi, pour qu’il les gouverne comme les autres nations. Affligé par cette demande, le prophète finit par se plier, sur ordre de Dieu, à leur désir ; mais il les avertit solennellement qu’avec l’institution de la royauté, ils allaient perdre la belle liberté que Dieu leur avait octroyée en faisant d’eux le seul peuple ayant pour roi et chef le Créateur. Samuel fut alors envoyé par Dieu auprès de Saül, fils de Qish de la tribu de Benjamin, un vaillant guerrier qui dépassait tous les hommes de son peuple tant par sa prestance que par sa bravoure. Le prenant à part, il répandit sur sa tête l’huile d’onction et déclara que Dieu l’avait choisi pour être le chef d’Israël et le délivrer de ses ennemis. Une éclatante victoire sur les Ammonites confirma bientôt cette élection divine, et Saül fut proclamé roi à Gilgal par tout le peuple en liesse. Samuel déclara qu’il avait désormais rempli sa mission et qu’il laissait le roi à leur tête, afin de se consacrer désormais à la prière et à l’enseignement. Il les exhorta à la fidélité envers Dieu et envers son oint, et pour sceller ses paroles, il pria et fit tonner et pleuvoir, alors que le ciel était radieux. Saül engagea la guerre contre les Philistins. Alors qu’il se trouvait en position critique et que Samuel tardait à venir réconforter la troupe prête à faire défection, le roi offrit lui-même l’holocauste, outrepassant ses pouvoirs et s’attribuant la fonction sacerdotale. Il achevait le sacrifice quand Samuel survint. L’homme de Dieu repoussa toutes les bonnes raisons que Saül avançait et lui déclara que, puisqu’il avait voulu agir seul et n’avait pas observé la Loi divine, la royauté lui serait retirée. Loin de se repentir, Saül persista dans son orgueil, et se préparant une autre fois à livrer bataille, il écarta le prêtre qui avait été convoqué pour consulter Dieu et engagea le combat. Il fit la guerre de tous côtés, contre Moab, contre les Ammonites, Édom, Amalec et les Philistins, et délivra Israël par sa vaillance. Toutefois ces victoires restaient fragiles, car elles reposaient sur des forces humaines. Envoyé contre Amalec, sur ordre de Dieu qui avait parlé par l’intermédiaire de Samuel, Saül remporta une nouvelle victoire. Mais, au lieu de livrer tout ce peuple à l’anathème, il épargna le roi Agag et le meilleur du bétail, pour n’offrir à Dieu que des troupeaux sans valeur. Se faisant de nouveau l’interprète sans compromis de la volonté divine, Samuel lui annonça que cette nouvelle désobéissance avait scellé sa déchéance. Et, résumant en quelques mots la prédication de toute sa vie, il dit au roi : « L’obéissance vaut mieux que le sacrifice, la docilité, plus que la graisse des béliers. Parce que tu as rejeté la parole du Seigneur, Il t’a rejeté de la royauté. » (1 Sam 15, 22). Saül implora en vain son pardon, et après avoir exécuté Agag de ses propres mains, Samuel rentra à Rama. Alors qu’il pleurait sur le sort du roi Saül, le saint prophète fut envoyé par Dieu à Bethléem, chez Jessé de la tribu de Juda, et y oignit en secret le jeune et gracieux David comme roi d’Israël . L’esprit de Dieu s’étant retiré de Saül, le roi fut pris d’un esprit malin et souffrait de crises de démence. C’est alors que David entra à son service comme écuyer, et il calmait Saül en jouant de la cithare quand le roi était saisi par le mauvais esprit. Il jouissait de sa faveur, mais quand il eut remporté de brillantes victoires et se fut attiré l’admiration du peuple, l’affection de Saül se tourna en haine meurtrière. David prit la fuite et se réfugia à Rama, chez Samuel, qui s’adonnait à la contemplation en compagnie d’un groupe de prophètes. Le prophète Samuel s’endormit quelque temps après, chargé de jours, et tout le peuple d’Israël se rassembla à Rama pour le pleurer (1 Sam 25, 1). Par la suite, il fut honoré parmi les grands intercesseurs de l’Ancienne Alliance, au même titre que Moïse et Aaron : Moïse et Aaron étaient parmi ses prêtres, et Samuel parmi ceux qui invoquaient son Nom ; ils invoquaient le Seigneur, et il les exauçait (Ps 98, 6). Ses reliques furent solennellement transférées de Palestine à Constantinople, au temps de l’empereur Arcade (19 mai 406). Déposées provisoirement à Sainte-Sophie, elles furent ensuite placées dans l’église qui lui avait été dédiée à l’Hebdomon, dans la banlieue de la capitale (7 octobre 410).

[1] Tiré du Synaxaire du hiéromoine Macaire de Simonos Petras.

TROPAIRES ET KONDAKIA DU JOUR

Tropaire de la Dormition, ton 1

Dans l’enfantement, Tu as gardé la virginité; dans Ta dormition, Tu n’as pas abandonné le monde, ô Mère de Dieu. Tu as été transférée à la Vie, étant Mère de la Vie, et par Tes prières, Tu délivres nos âmes de la mort.

Tropaire du saint prophète Samuel, ton 2

Célébrant la mémoire de ton prophète Samuel, Seigneur, par ses prières, nous t’en supplions, sauve nos âmes.

Kondakion du saint prophète Samuel, ton 8

Comme un don précieux tu fus offert à Dieu avant ta conception, Bienheureux, et dès l’enfance comme un Ange le servant, tu fus jugé digne de prédire l’avenir; c’est pourquoi nous te disons: réjouis-toi, grand prêtre et prophète, de Dieu, Samuel.

Kondakion de la Dormition, ton 2

Tombeau et mort n’ont pu retenir la Mère de Dieu, toujours vigilante dans ses intercessions, espérance inébranlable dans sa protection, car étant la Mère de la Vie, Il l’a transférée à la Vie, Celui qui demeura dans Son sein toujours virginal.

ÉPÎTRE DU JOUR

II Cor. II, 3-15

J’ai écrit comme je l’ai fait pour ne pas éprouver, à mon arrivée, de la tristesse de la part de ceux qui devaient me donner de la joie, ayant en vous tous cette confiance que ma joie est la vôtre à tous. C’est dans une grande affliction, le cœur angoissé, et avec beaucoup de larmes, que je vous ai écrit, non pas afin que vous fussiez attristés, mais afin que vous connussiez l’amour extrême que j’ai pour vous. Si quelqu’un a été une cause de tristesse, ce n’est pas moi qu’il a attristé, c’est vous tous, du moins en partie, pour ne rien exagérer. Il suffit pour cet homme du châtiment qui lui a été infligé par le plus grand nombre, en sorte que vous devez bien plutôt lui pardonner et le consoler, de peur qu’il ne soit accablé par une tristesse excessive. Je vous exhorte donc à faire acte de charité envers lui; car je vous ai écrit aussi dans le but de connaître, en vous mettant à l’épreuve, si vous êtes obéissants en toutes choses. Or, à qui vous pardonnez, je pardonne aussi; et ce que j’ai pardonné, si j’ai pardonné quelque chose, c’est à cause de vous, en présence de Christ, afin de ne pas laisser à Satan l’avantage sur nous, car nous n’ignorons pas ses desseins Au reste, lorsque je fus arrivé à Troas pour l’Évangile de Christ, quoique le Seigneur m’y eût ouvert une porte, je n’eus point de repos d’esprit, parce que je ne trouvai pas Tite, mon frère; c’est pourquoi, ayant pris congé d’eux, je partis pour la Macédoine. Grâces soient rendues à Dieu, qui nous fait toujours triompher en Christ, et qui répand par nous en tout lieu l’odeur de sa connaissance! Nous sommes, en effet, pour Dieu la bonne odeur de Christ, parmi ceux qui sont sauvés et parmi ceux qui périssent: aux uns, une odeur de mort, donnant la mort; aux autres, une odeur de vie, donnant la vie.

ÉVANGILE DU JOUR

Matth. XXIII, 13-22

Malheur à vous, scribes et pharisiens hypocrites ! Parce que vous fermez aux hommes le royaume des cieux; vous n’y entrez pas vous-mêmes, et vous n’y laissez pas entrer ceux qui veulent entrer. Malheur à vous, scribes et pharisiens hypocrites ! Parce que vous dévorez les maisons des veuves, et que vous faites pour l’apparence de longues prières; à cause de cela, vous serez jugés plus sévèrement. Malheur à vous, scribes et pharisiens hypocrites ! Parce que vous courez la mer et la terre pour faire un prosélyte; et, quand il l’est devenu, vous en faites un fils de la géhenne deux fois plus que vous. Malheur à vous, conducteurs aveugles! qui dites: Si quelqu’un jure par le temple, ce n’est rien; mais, si quelqu’un jure par l’or du temple, il est engagé. Insensés et aveugles! Lequel est le plus grand, l’or, ou le temple qui sanctifie l’or? Si quelqu’un, dites-vous encore, jure par l’autel, ce n’est rien; mais, si quelqu’un jure par l’offrande qui est sur l’autel, il est engagé. Aveugles! Lequel est le plus grand, l’offrande, ou l’autel qui sanctifie l’offrande? Celui qui jure par l’autel jure par l’autel et par tout ce qui est dessus; celui qui jure par le temple jure par le temple et par celui qui l’habite; et celui qui jure par le ciel jure par le trône de Dieu et par celui qui y est assis.

À propos de l'auteur

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Jivko Panev

Jivko Panev, cofondateur et journaliste sur Orthodoxie.com. Producteur de l'émission 'Orthodoxie' sur France 2 et journaliste.
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