23 AVRIL

Grand Carême – Dispense d’huile et de vin.

Liturgie des Présanctifiés

Saint Georges le grand-martyr, de Lydda en Palestine, et ses compagnons, saints Anatole, Protoléon, Athanase et Glycère, tous martyrs à Nicomédie (303); sainte martyre impératrice Alexandra (303) ; saints Félix, prêtre, Fortunat et Achilée, diacres, martyrs à Lyon (202) ; sainte Pusinne, vierge, moniale à Corbie près d’Amiens (Vème s.) ; saint hiéromartyr Jean (Anserov), prêtre (1940).

VIE DU SAINT GRAND-MARTYR GEORGES

Ce grand et admirable athlète du Christ était issu d’une famille de Cappadoce, riche et de haute condition. Son père étant décédé lorsqu’il était âgé de dix ans, sa mère Polychronia, qui était devenue chrétienne à l’insu de son mari, retourna dans sa patrie, la Palestine, et put élever son jeune fils dans les vertus évangéliques. De belle apparence, intelligent et de mœurs raffinées, Georges entra dans la carrière militaire à l’âge de dix-huit ans. Il plut à ses supérieurs et fut rapidement élevé au grade de tribun de la garde impériale, puis, semble-t-il, à la dignité de préfet.

De retour vers la Cappadoce après une campagne victorieuse, passant dans la région d’Attalia en Pamphylie, il délivra la fille du roi, qui avait été livrée en pâture à un redoutable dragon, et mit à mort la bête par la force surnaturelle qu’il tirait de sa foi. Admiratifs devant cette démonstration de la puissance accordée par le Christ à ses fidèles contre les puissances du mal, les païens de l’endroit se convertirent tous au christianisme.

Au temps de la Grande Persécution déclenchée par Dioclétien (vers 304), comme l’empereur avait convoqué à Nicomédie tous les gouverneurs d’Orient pour leur communiquer ses décrets contre les chrétiens, saint Georges, sentant que le moment était venu pour lui de confesser publiquement le Christ, distribua tous ses biens aux pauvres, affranchit ses esclaves et se rendit à la cour. Il se présenta au milieu de l’assemblée et reprocha au souverain de verser injustement le sang innocent des chrétiens. Stupéfait, Dioclétien chargea son second, Magnence, d’interroger cet insolent sur sa croyance. Georges répondit que c’était parce qu’il croyait au Christ, vrai Dieu, qu’il était venu sans crainte leur adresser ces reproches. Une fois remis de sa stupeur, l’empereur, craignant l’agitation de l’assistance, proposa au saint de le couvrir d’honneurs à condition qu’il accepte de sacrifier aux dieux de l’Empire. Georges répondit : « Ton règne se corrompra et disparaîtra rapidement, sans te procurer aucun profit ; mais ceux qui offrent un sacrifice de louange au Roi des cieux régneront avec lui pour l’éternité ! »

Sur l’ordre du souverain, les soldats frappèrent de leurs lances le saint au ventre. Le sang se mit à couler à flot, mais, dès les premiers coups, leurs armes se tordirent comme si elles étaient faites de matière molle. Le soldat du Christ fut alors jeté en prison, avec une lourde pierre sur la poitrine. Le lendemain, il comparut de nouveau devant le tyran et montra la même fermeté, aussi l’attacha-t-on à une roue suspendue au-dessus d’instruments tranchants, de sorte que, quand on la faisait tourner, le corps du saint était progressivement coupé en morceaux. Surmontant la douleur par le débordement de son amour pour Dieu, saint Georges ne cessait pas de rendre grâces au Seigneur. Une voix se fit alors entendre du ciel, disant : « Ne crains rien, Georges. Je suis avec toi ! » Et un ange, vêtu d’une robe blanche plus brillante que le soleil, descendit pour le délier et le guérir de ses blessures.

Lorsqu’il se présenta indemne devant l’empereur, deux officiers de la garde, Anatole et Protoléon, confessèrent le Christ à haute voix. Ils furent aussitôt décapités. L’impératrice Alexandra [21 avr.], se déclara chrétienne à son tour, mais Magnence la contraignit à se retirer au palais. On jeta alors le saint dans une fosse remplie de chaux vive ; mais, tel les Trois Jeunes Gens dans la fournaise de Babylone, il en sortit sain et sauf au bout de trois jours, salué par la foule qui s’écriait : « Grand est le Dieu de Georges ! »

L’empereur, restant toutefois insensible devant toutes ces démonstrations de la puissance du Christ, ordonna de forcer le martyr à marcher avec des chaussures garnies de pointes rougies au feu. « Cours, Georges, vers l’objet de tes désirs ! » se disait le saint en invoquant le secours du Seigneur. Et c’est une fois de plus, indemne et rayonnant de grâce, qu’il se présenta devant le tyran. Par la grâce de Dieu, il échappa aussi au poison préparé par un mage nommé Athanase. Comme celui-ci et ses congénères restaient encore incrédules, en pensant que Georges usait de quelque artifice magique, il ressuscita, à leur demande, un mort enseveli depuis trois cents ans. Celui-ci se prosterna devant le saint et, déclarant qu’il avait été tiré de l’enfer par sa prière, il confessa le Christ. Le mage vaincu tomba alors aux pieds du serviteur de Dieu, lui demanda pardon et proclama à son tour la vraie foi. Éclatant de fureur Dioclétien ordonna de décapiter sur le champ Athanase et le ressuscité.

Nombre de ceux qui avaient cru au Christ à la suite des miracles de saint Georges trouvèrent le moyen d’aller le visiter dans sa prison, afin d’être instruits des vérités évangéliques ou pour recevoir la guérison de leurs maux. Le saint compatissait à la douleur de chacun et il ressuscita même le bœuf d’un paysan nommé Glykérios. Ce dernier fut ensuite arrêté et décapité sans autre forme de procès.

Le lendemain Dioclétien fit comparaître Georges au temple d’Apollon, en présence d’une foule considérable. Feignant de vouloir sacrifier, le martyr entra dans le temple et s’adressa à l’idole en faisant le signe de la Croix. Les démons qui habitaient la statue confessèrent alors avec frayeur que seul le Christ est Dieu véritable et ils sortirent dans un grand brouhaha, laissant les statues inertes s’effondrer à terre. Les prêtres et les païens chassèrent alors le saint à grands cris et le ramenèrent au palais. Attirée par le tumulte, l’impératrice Alexandra sortit, fendit la foule en criant : « Dieu de Georges, viens à mon aide ! » et elle tomba aux pieds du saint. Ne pouvant plus contenir sa rage le tyran, dont le cœur s’était endurci comme autrefois celui de Pharaon, ordonna de les décapiter tous les deux. Mais, la veille de l’exécution, Alexandra remit paisiblement son âme à Dieu dans la prison.

Le jour venu, saint Georges se rendit sur les lieux de l’exécution, suivi d’une grande foule et encouragé par sa mère, Polychronia, qui rendit l’âme peu après. Il éleva vers Dieu une action de grâces pour tous ses bienfaits et, demandant son assistance en faveur de tous ceux qui invoqueront avec confiance son intercession dans la suite des siècles, il inclina la nuque sous le glaive et partit pour remporter au ciel les trophées de la gloire éternelle. Conformément à la recommandation du saint, son serviteur transporta ensuite sa précieuse relique dans sa patrie, Lydda (Diospolis) en Palestine [3 nov.], où d’innombrables miracles s’accomplirent dans la vaste église que l’on construisit en son honneur.

Le culte de saint Georges a connu une immense faveur dans tout le monde chrétien, tant en Orient qu’en Occident. Il a été choisi pour protecteur de pays comme la Géorgie  et l’Angleterre, des milliers d’églises lui ont été consacrées et toute âme chrétienne voit en lui l’incarnation des vertus de vaillance, de patience dans les afflictions et de confiance en l’assistance de la grâce que le Christ, Maître du combat, a recommandées à tous les soldats de la piété.

(Tiré du Synaxaire du hiéromoine Macaire de Simonos Petras)

TROPAIRES ET KONDAKIA DU JOUR

Tropaire de saint Georges, ton 4

Libérateur des captifs, * toi qui assures aux pauvres ta protection, * en qui les malades trouvent aussi médecin * et les princes, leur Seigneur, * victorieux défenseur, * saint Georges, victorieux et grand martyr * intercède auprès du Christ notre Dieu * pour le salut de nos âmes.

Kondakion de saint Georges, ton 4

Cultivant toi-même par Dieu, tu devins * le vénérable jardinier de la foi, * recueillant les gerbes des vertus: * ayant semé dans les larmes, tu moissonnas dans la joie; * pour le combat sanglant que tu menas, * tu obtins le Christ comme prix; * par tes prières, saint Georges, tu procures à tous le pardon de leurs péchés.

LECTURES DE LA LITURGIE DES PRÉSANCTIFIÉS

Isaïe XLIX, 6-10

Et Il m’a dit : C’est déjà pour toi une grande chose d’être appelé mon serviteur, d’établir les tribus de Jacob et de ramener Israël dispersé ; mais voilà que Je t’ai choisi pour être l’alliance des races, la lumière des gentils, le salut de tous, jusqu’aux extrémités de la terre. Ainsi dit le Seigneur, qui t’a délivré, le Dieu d’Israël : Sanctifiez celui qui n’a pas épargné sa vie, et qui cependant est abominable parmi les nations esclaves des princes. Les rois le verront, les princes se lèveront devant lui, et ils l’adoreront pour l’amour du Seigneur; car le Saint d’Israël est fidèle; et Je t’ai choisi. Voici ce que dit encore le Seigneur : Au temps opportun, Je t’ai exaucé; au jour du salut, Je t’ai porté secours, Je t’ai formé, et Je t’ai choisi pour l’alliance des nations, pour l’apaisement de la terre, pour la possession d’héritages dépeuplés. Et tu diras à ceux qui sont dans les chaînes : Sortez ; et à ceux qui sont dans les ténèbres : Voyez la lumière. Et ils se repaîtront sur toutes les voies, et leur pâturage sera dans tous les sentiers. Ils ne sentiront ni la faim ni la soif; la chaleur ni le soleil ne les accableront; mais celui qui leur fait miséricorde les consolera; il les conduira à travers des sources d’eau vive.

Genèse XXXI, 3-16

Le Seigneur lui-même dit à Jacob : Retourne au pays de ton père, dans ta famille ; je serai avec toi. Aussitôt, Jacob envoya chercher Lia et Rachel dans la plaine où étaient les troupeaux, et il leur dit : Je vois que la face de votre père n’est pour moi ni comme hier, ni comme le jour précédent ; cependant le Dieu de mon père a été avec moi. Vous savez vous- mêmes que j’ai servi votre père de toutes mes forces. Néanmoins, il m’a trompé, et pendant dix portées d’agneaux, il a changé ma récompense, mais Dieu ne lui a pas permis de me faire tort. S’il disait : Les bigarrés seront ta récompense, toutes les brebis produisaient des rejetons bigarrés, s’il disait, au contraire ; Les blancs seront ton salaire, toutes les brebis produisaient des rejetons blancs. Le Seigneur a enlevé ainsi tout le bétail de votre père, pour me le donner. Voici ce qui est arrivé : Lorsque les mères concevaient, j’eus pendant mon sommeil une vision ; je vis que les béliers et les boucs couvrant les brebis et les chèvres étaient blancs-mêlés, bigarrés et cendrés. Et, pendant mon sommeil, l’ange du Seigneur m’a dit: Jacob ; et j’ai répondu : Qu’y a-t-il ? L’ange m’a dit : Lève les yeux, vois les boucs et les béliers couvrant les chèvres et les brebis ; ils sont blancs-mêlés, bigarrés et cendrés. J’ai vu tout ce que te fait Laban. Je suis le Dieu qui t’apparut en la demeure de Dieu, où tu as oint pour moi une colonne, et où tu m’as fait un vœu. Maintenant donc, lève-toi et pars de cette terre ; retourne au pays où tu es né, et Je serai avec toi. Rachel et Lia lui diront : Est-ce que nous avons encore une part ou un héritage en la maison de notre père ? Ne nous a-t-il pas traitées en étrangères ? Il nous a vendues, et il a dévoré avec avidité l’argent qu’il avait retiré de nous. Que toute la richesse, toute la gloire que Dieu a enlevées à notre père, soient à nous et à nos enfants ; maintenant donc fais tout ce que Dieu t’a dit.

Proverbes XXI, 3-21

Faire des choses justes et dire la vérité est plus agréable au Seigneur que le sang des victimes. Le cœur de l’audacieux est superbe dans son insolence ; la lampe des impies est le péché. Amasser des trésors avec une langue trompeuse, c’est poursuivre des vanités sur les filets de la mort. La destruction habitera avec les impies, parce qu’ils ne veulent pas pratiquer la justice. Devant les hommes tortueux Dieu place des voies tortueuses ; car Ses œuvres sont droites et pures. Mieux vaut demeurer dans un carrefour en plein air, que dans une grande maison bien crépie avec l’iniquité. Nul homme ne sera miséricordieux pour l’âme des impies. La punition de l’intempérant rend l’innocent plus réfléchi ; l’homme sage et intelligent en reçoit une leçon. Le juste pénètre le cœur des impies, et les méprise à cause de leur malice. Celui qui ferme l’oreille au cri du faible criera lui-même, et nul ne l’écoutera. Un don secret détourne les colères ; celui qui épargne les présents excite de violents courroux. La joie du juste est de faire justice ; le saint n’est pas pur aux yeux des méchants. L’homme qui s’égare loin des voies de la justice se reposera dans l’assemblée des géants. L’indigent aime la joie ; il désire le vin et l’huile en abondance. Les déréglés sont en abomination aux justes. Mieux vaut habiter le désert qu’avec une femme bavarde, irrascible et querelleuse. Un trésor désirable reposera sur la bouche du sage ; mais les insensés le dévorent. Les voies de la justice et de la miséricorde conduisent à la vie et à la gloire.

Actes XII, 1-11 (S. Georges)

Vers le même temps, le roi Hérode se mit à maltraiter quelques membres de l’Église, et il fit mourir par l’épée Jacques, frère de Jean. Voyant que cela était agréable aux Juifs, il fit encore arrêter Pierre. -C’était pendant les jours des pains sans levain. Après l’avoir saisi et jeté en prison, il le mit sous la garde de quatre escouades de quatre soldats chacune, avec l’intention de le faire comparaître devant le peuple après la Pâque. Pierre donc était gardé dans la prison; et l’Église ne cessait d’adresser pour lui des prières à Dieu. La nuit qui précéda le jour où Hérode allait le faire comparaître, Pierre, lié de deux chaînes, dormait entre deux soldats; et des sentinelles devant la porte gardaient la prison. Et voici, un ange du Seigneur survint, et une lumière brilla dans la prison. L’ange réveilla Pierre, en le frappant au côté, et en disant: Lève-toi promptement! Les chaînes tombèrent de ses mains. Et l’ange lui dit: Mets ta ceinture et tes sandales. Et il fit ainsi. L’ange lui dit encore: Enveloppe-toi de ton manteau, et suis-moi. Pierre sortit, et le suivit, ne sachant pas que ce qui se faisait par l’ange fût réel, et s’imaginant avoir une vision. Lorsqu’ils eurent passé la première garde, puis la seconde, ils arrivèrent à la porte de fer qui mène à la ville, et qui s’ouvrit d’elle-même devant eux; ils sortirent, et s’avancèrent dans une rue. Aussitôt l’ange quitta Pierre. Revenu à lui-même, Pierre dit: Je vois maintenant d’une manière certaine que le Seigneur a envoyé son ange, et qu’il m’a délivré de la main d’Hérode et de tout ce que le peuple juif attendait.

Jn XV, 17 – XVI, 2  (S. Georges)

Ce que je vous commande, c’est de vous aimer les uns les autres. Si le monde vous hait, sachez qu’il m’a haï avant vous. Si vous étiez du monde, le monde aimerait ce qui est à lui; mais parce que vous n’êtes pas du monde, et que je vous ai choisis du milieu du monde, à cause de cela le monde vous hait. Souvenez-vous de la parole que je vous ai dite : Le serviteur n’est pas plus grand que son maître. S’ils m’ont persécuté, ils vous persécuteront aussi; s’ils ont gardé ma parole, ils garderont aussi la vôtre. Mais ils vous feront toutes ces choses à cause de mon nom, parce qu’ils ne connaissent pas celui qui m’a envoyé. Si je n’étais pas venu et que je ne leur eusse point parlé, ils n’auraient pas de péché ; mais maintenant ils n’ont aucune excuse de leur péché. Celui qui me hait, hait aussi mon Père. Si je n’avais pas fait parmi eux des œuvres que nul autre n’a faites, ils n’auraient pas de péché ; mais maintenant ils les ont vues, et ils ont haï et moi et mon Père. Mais cela est arrivé afin que s’accomplît la parole qui est écrite dans leur loi: Ils m’ont haï sans cause. Quand sera venu le consolateur, que je vous enverrai de la part du Père, l’Esprit de vérité, qui vient du Père, il rendra témoignage de moi ; et vous aussi, vous rendrez témoignage, parce que vous êtes avec moi dès le commencement. Je vous ai dit ces choses, afin qu’elles ne soient pas pour vous une occasion de chute. Ils vous excluront des synagogues ; et même l’heure vient où quiconque vous fera mourir croira rendre un culte à Dieu.

À propos de l'auteur

Photo of author

Jivko Panev

Jivko Panev, cofondateur et journaliste sur Orthodoxie.com. Producteur de l'émission 'Orthodoxie' sur France 2 et journaliste.
Lire tous les articles par Jivko Panev

Articles populaires

Recension: Hiéromoine Grégoire du Mont-Athos, «La foi, la liturgie et la vie de l’Église orthodoxe. Une esquisse de catéchisme orthodoxe»

Ce catéchisme est particulièrement bienvenu pour les parents en attente, pour leurs enfants d’un catéchisme orthodoxe fiable, mais aussi pour ...

Jean-Claude Larchet, « “En suivant les Pères…”. La vie et l’œuvre du Père Georges Florovsky »

Vient de paraître: Jean-Claude Larchet, « “En suivant les Pères… ”. La vie et l’œuvre du Père Georges Florovsky », ...

Une interview du père Jivko Panev en Albanie

A l’occasion d’un repérage en Albanie pour France-Télévisions, le père Jivko Panev a été interviewé par le père Grigor Pelushi ...

23 avril (ancien calendrier) / 6 mai (nouveau)

LUNDI LUMINEUX Saint Georges le grand-martyr, de Lydda en Palestine, et ses compagnons, saints Anatole, Protoléon, Athanase et Glycère, tous ...

6 mai

LUNDI LUMINEUX Saint Job le Juste, prophète ; saints martyrs Barbare, Bacchus, Callimaque et Denis (vers 362) ; saint martyr ...

La résurrection du Seigneur a été solennellement célébrée au Phanar

Le patriarche œcuménique Bartholomée a présidé a présidé à minuit, le Samedi Saint, la cérémonie de la Résurrection dans la ...

(Re)voir – Orthodoxie France 2 « Mystère de l’entrée dans l’Église »

Le baptême orthodoxe, un rite sacré d’intégration dans l’Église, est le thème central de ce documentaire intitulé « Mystère de l’entrée ...

(Re)voir – Orthodoxie France 2 « Mystère de l’entrée dans l’Église »

Le baptême orthodoxe, un rite sacré d’intégration dans l’Église, est le thème central de ce documentaire intitulé « Mystère de l’entrée ...

5 mai

PÂQUES – RÉSURRECTION DU CHRIST Liturgie de saint Jean Chrysostome Sainte Irène, grande-martyre en Perse (Ier-IIème s.) ; saint Jovinien, ...

22 avril (ancien calendrier) / 5 mai (nouveau)

Saint Théodore de Sykéon (en Galatie), évêque d'Anastasiopolis (613)

Message de Pâques de Mgr Dimitrios, président de l’Assemblée des évêques orthodoxes de France

Le Christ est ressuscité ! Vous pouvez regarder le message de Pâques prononcé par Mgr Dimitrios au nom des évêques ...

Message de Pâques 2024 de Son Éminence le métropolite Jean, archevêque des églises orthodoxes de tradition russe en Europe occidentale

Aux Excellences, au clergé, aux moines, aux moniales et aux fidèles de l’Archevêché des églises orthodoxes de tradition russe en Europe ...

Message de Pâques du doyen de l’Institut Saint-Serge

Chers étudiants, chers collègues, chers amis de l’Institut, Alors que nous entrons dans la Grande et Sainte Semaine de la ...

Message de Pâques du métropolite Nestor de Chersonèse, exarque du patriarche de Moscou en Europe occidentale

Chers honorables confrères évêques, prêtres et diacres, collaborateurs dans la vigne du Christ, moines et moniales qui aiment Dieu, bien-aimés ...

Message de Pâques 2024 du patriarche Cyrille de Moscou et de toutes les Russies

Aux archipasteurs, pasteurs, diacres, moines et à tous les fidèles enfants de l’Église orthodoxe russe. Bien-aimés dans le Seigneur éminents archipasteurs, ...

Office des matines pascales, en version bilingue slavon-français

L’office des matines pascales, en version bilingue slavon-français, avec des explications du canon de l’office, est disponible ici au format PDF !

Nantes : un fragment de la Vraie Croix dans la paroisse de la Résurrection

Une personne de la paroisse de La Résurrection de Nantes a offert à sa communauté un reliquaire contenant un fragment de ...

Message de Pâques 2024 du patriarche Bartholomée

† Bartholomée par la grâce de Dieu archevêque de Constantinople, Nouvelle Rome, et patriarche œcuménique,tout le plérôme de l’Église que ...