7 décembre

26ème dimanche après la Pentecôte

Carême de la Nativité – Dispense de poisson

Saint Ambroise, évêque de Milan (397) ; les 62 prêtres et les 300 fidèles martyrisés à Carthage par les Vandales ariens (477) ; Saint Gerbold, évêque de Bayeux (v. 690) ; saint Paul l’Obéissant, ermite à Chypre ; saint Nil du Lac Stolben (1554) ; saint Antoine de Siya (1556) ; saint Jean le jeûneur des Grottes de Kiev (XIIème s.) ; saint Athénodore, martyr en Mésopotamie (vers 304) ; transfert de la relique de la sainte martyre Philothée la Nouvelle, de Tirnovo à Curtea de Arges (XVème s.) ; saints néo-martyrs de Russie : Serge (Galkovsky), Andronique (Barsoukov), (1917), moines ; Antoine (Popov), prêtre (1918) ; Serge (Golochtchanov), Michel (Ouspensky), Serge (Ouspensky), prêtres, Nicéphore (Litvinov), diacre, Galaction (Ourbanovitch-Novikov) et Gourias (Samoïlov), moines, Jean (Demidov) (1937) ; Pierre (Krestov) et Basile (Mirojine), prêtres (1941).

SAINT AMBROISE, ÉVÊQUE DE MILAN

7 décembre

Flambeau rayonnant de la lumière incréée, cet illustre Père, dont le nom évoque l’immortalité divine, était issu d’une noble et puissante famille romaine convertie au christianisme. Il naquit à Trèves, en 339, où son père exerçait l’importante charge de préfet du prétoire pour la province des Gaules. À la mort de ce dernier, sa mère retourna à Rome avec ses trois enfants, encore en bas âge : Ambroise, Marcelline et Satyre, qui allaient être tous trois honorés comme saints. Encore au berceau, des abeilles vinrent voltiger un jour autour du petit Ambroise. Elles pénétrèrent dans sa bouche, puis s’élevèrent vers le ciel, en présage de son éloquence céleste. Confié aux meilleurs maîtres, il montra par la suite de grandes capacités pour les sciences, et faisait en particulier l’admiration de tous par ses dons oratoires. À l’issue de ses études de droit, il fut bientôt désigné par l’empereur Valentinien Ier († 375) comme gouverneur de la province de Ligurie-Émilie, ayant pour capitale Milan (370). Le préfet Probus lui dit alors, sans savoir qu’il prononçait une prophétie : « Va et gouverne plutôt en évêque qu’en juge », voulant par là l’exhorter à la compassion et à la miséricorde. De fait, le jeune homme s’acquit bien vite l’attachement et la reconnaissance du peuple, par sa sagesse et ses vertus.

À cette époque, malgré de longues années de luttes depuis le Concile de Nicée (325), l’hérésie arienne était encore tenace et divisait cruellement l’Église, surtout en Orient où elle avait trouvé le soutien du nouvel empereur Valens (364-378). À la mort de l’évêque arien de Milan (373), Auxence, une assemblée se tint dans la cathédrale pour procéder à l’élection du nouvel évêque, mais le peuple était si divisé entre les deux partis, orthodoxe et arien, qu’il était impossible de parvenir à un accord. On fit alors appel à Ambroise pour intervenir et calmer le tumulte. Les paroles du gouverneur, sa douceur, sa persuasion, son esprit de paix firent une telle impression que tous les fidèles reprirent soudain d’une seule voix l’exclamation d’un enfant qui s’était écrié : « Ambroise évêque ! » Surpris, puis effrayé, Ambroise objecta qu’il n’était encore que catéchumène — car la coutume était alors répandue de retarder le baptême pour ne pas le souiller par des péchés ultérieurs — et il se réfugia dans son palais, suivi par la foule qui répétait sans cesse ce même cri. La nuit venue, il tenta de s’enfuir à cheval, mais il perdit son chemin et, au petit matin, se retrouva à son point de départ. Il essaya ensuite d’échapper à ces honneurs en écrivant à l’empereur, mais celui-ci, d’habitude indifférent aux affaires ecclésiastiques, soutint avec admiration l’élection d’Ambroise. Finalement résigné à se soumettre à la volonté de Dieu, ce rhéteur et administrateur de trente-cinq ans fut ordonné évêque, huit jours après son baptême, à la satisfaction des deux partis (7 décembre 374).

Dès lors Ambroise se consacra complètement à son ministère céleste et renonça à tous biens, richesses et plaisirs. Il distribua son argent aux pauvres et fit don de ses vastes propriétés à l’Église. Ne gardant rien pour lui, il passait presque toute la semaine dans le jeûne le plus strict, consacrait ses nuits à la prière et à la méditation des Écritures et des saints Pères, alors que pendant le jour il s’occupait des affaires de l’Église et de la direction de son troupeau spirituel. Sous la direction du prêtre Simplicien, il acquit une profonde connaissance de la philosophie et des Pères grecs (en particulier Origène) et s’engagea avec fougue dans la défense de l’Orthodoxie, à la grande confusion des ariens qui avaient agréé à l’élection de ce magistrat modéré, espérant en faire leur instrument. Infatigable dans ses écrits aussi bien que dans ses sermons, l’évêque de Milan se montra pendant vingt-cinq ans le champion de l’Orthodoxie en Occident, après saint Hilaire [13 janv.], et fit de son siège, qui était devenu depuis 381 la résidence de l’empereur d’Occident, la métropole où se décidaient toutes les affaires ecclésiastiques des diocèses d’Italie, de Pannonie, de Dacie et de Macédoine. S’opposant fermement à l’impératrice Justine et à l’entourage du jeune héritier, Valentinien II, qui étaient gagnés à l’hérésie, Ambroise parvint à s’assurer la confiance et l’intérêt de l’empereur d’Occident, Gratien (375-383), grâce auquel il put faire réunir le concile de Sirmium (juillet 378) et faire décréter des lois proscrivant l’arianisme. À la mort de Valens (379), l’empire d’Orient passa aux mains du pieux Théodose [17 janv.], qui avait pour le saint évêque une affection pleine de respect. Profondément orthodoxe, le nouvel empereur fit réunir le Second Concile Œcuménique à Constantinople, en juillet 381, tandis que Gratien, conseillé par Ambroise, convoquait le concile d’Aquilée, qui scella la fin de l’arianisme en Occident. Mais cette amitié avec les princes ne faisait pas perdre à saint Ambroise le sens de l’indépendance de l’Église à l’égard du pouvoir civil. Pressé par sa mère, Justine, le jeune Valentinien II intima un jour au prélat l’ordre de livrer son église. « Allez dire à votre maître, répondit Ambroise aux envoyés de l’empereur, qu’un évêque ne livrera jamais le temple de Dieu ! » Il s’enferma alors dans l’église, entouré du peuple décidé à mourir avec lui ; et, du Dimanche des Palmes au Jeudi Saint, ils résistèrent ainsi aux troupes qui avaient investi l’église, en n’ayant pour armes que la prédication enflammée de leur pasteur, et le chant des psaumes et des hymnes.

Quelques années plus tard, Théodose, alors au faîte de sa gloire, fit réprimer avec une cruauté inutile une émeute qui s’était déclenchée à Thessalonique, et plus de sept mille personnes furent alors massacrées (390). La nouvelle parvint jusqu’à Milan et, lorsque l’empereur en visite dans la métropole italienne se présenta à la porte de la cathédrale pour assister à la Divine Liturgie, le saint évêque, interprète du courroux divin, ne craignit pas de lui en interdire l’entrée et de l’excommunier pendant plus de huit mois. Respectueux envers la discipline de l’Église, le souverain, devant lequel tremblait l’univers, se retira alors en pleurant dans son palais et se soumit avec humilité à la pénitence publique. Le jour de la Nativité, il se présenta à l’église, se prosterna jusqu’à terre aux pieds d’Ambroise, baignant le sol de ses larmes et suppliant d’être à nouveau jugé digne de la participation aux saints Mystères. Après avoir obtenu le pardon de l’évêque, au moment de la communion, il pénétra dans le sanctuaire pour communier avec les clercs, comme c’était la coutume à Constantinople. Mais le serviteur de Dieu Ambroise se tourna vers lui et l’humilia publiquement une nouvelle fois en le repoussant et lui disant : « Sors d’ici et demeure à ta place parmi les laïcs, car la pourpre n’institue pas des prêtres, mais des empereurs ! » Sans répliquer, Théodose se retira alors et se rangea parmi les pénitents, tant son respect pour Ambroise était grand. De retour à Constantinople, jamais plus il n’osa entrer dans le sanctuaire pour communier.

Familier des princes et des grands de ce monde, Ambroise portait aussi une attention toute paternelle pour le moindre de ses fidèles. Lorsqu’un pécheur venait vers lui pour se confesser, il le prenait dans ses bras et le baignait de ses larmes. Défenseur ardent de la foi, il détourna aussi un grand nombre de païens des ténèbres et les initia au mystère du christianisme, tant par ses sermons publics que par ses entretiens privés. Le plus célèbre de ses disciples fut saint Augustin [28 août] qui, grâce à l’évêque de Milan, put se détourner du manichéisme et entrer définitivement dans l’Église qu’il allait si brillamment servir. C’est grâce à lui encore que la reine de la tribu germanique des Macromans reçut le saint Baptême et attira son peuple à la sainte et vraie foi.

Malgré ses multiples activités, ce grand pasteur trouva cependant le temps de composer de nombreux ouvrages, principalement exégétiques et moraux, dans lesquels il manifeste une vaste culture, tant sacrée que profane, et qui contribuèrent grandement à la diffusion de la doctrine des Pères grecs dans le monde latin. Outre son œuvre oratoire, Ambroise enrichit aussi l’Église par de magnifiques hymnes liturgiques, destinées à être chantées par le peuple en deux chœurs antiphonés, qui furent un des plus riches éléments de la liturgie latine pendant de longs siècles.

Saint Ambroise s’endormit dans la paix du Christ, à l’aube du Samedi Saint, le 4 avril 397, deux ans après son impérial ami et disciple Théodose, dont il avait prononcé l’éloge funèbre. Son corps repose jusqu’à aujourd’hui dans la basilique de Milan.

(Tiré du Synaxaire du hiéromoine Macaire de Simonos Petras)

TROPAIRES ET KONDAKIA DU JOUR

Tropaire du dimanche du 1er ton

La pierre étant scellée par les Juifs et les soldats gardant Ton Corps immaculé, Tu es ressuscité le troisième jour, ô Sauveur, donnant la Vie  au monde ; aussi, les Puissances des cieux Te crièrent : Source de Vie, ô Christ, gloire à Ta Résurrection, gloire à Ton règne, gloire à Ton dessein bienveillant, unique Ami des hommes!

Tropaire de saint Ambroise, ton 4

La justice de tes œuvres a fait de toi * pour ton troupeau une règle de foi, * un modèle de douceur, * un maître de tempérance; * c’est pourquoi tu as obtenu l’exaltation par ton humilité * et par ta pauvreté la richesse. * Père saint, Pontife Ambroise, * prie le Christ notre Dieu * de sauver nos âmes.

Kondakion de saint Ambroise, ton 4

Possédant les paroles de vie, * tu abreuves la foi des croyants, * sage Père, et dans la grâce * tu leur fais produire constamment du fruit; * tu submerges les hérésies * et fais jaillir la grâce des guérisons; * de tes flots tu purifies * la souillure des passions, * saint pontife Ambroise, initiateur des mystères sacrés.

Kondakion du dimanche du 1er ton

Ô Dieu, Tu es ressuscité du Tombeau dans la gloire, ressuscitant le monde avec Toi ! La nature humaine Te chante comme son Dieu et la mort s’évanouit. Adam jubile, ô Maître, et Ève, désormais libérée de ses liens, Te crie dans sa joie : « C’est Toi, ô Christ, qui accordes à tous la Résurrection ! »

ÉPITRE DU JOUR

Éph. V, 8-19

Autrefois vous étiez ténèbres, et maintenant vous êtes lumière dans le Seigneur. Marchez comme des enfants de lumière ! Car le fruit de la lumière consiste en toute sorte de bonté, de justice et de vérité. Examinez ce qui est agréable au Seigneur ; et ne prenez point part aux œuvres infructueuses des ténèbres, mais plutôt condamnez-les. Car il est honteux de dire ce qu’ils font en secret ; mais tout ce qui est condamné est manifesté par la lumière, car tout ce qui est manifesté est lumière. C’est pour cela qu’il est dit : « Réveille-toi, toi qui dors, Relève-toi d’entre les morts, Et Christ t’éclairera ». Prenez donc garde à votre conduite : ne vivez pas comme des insensés, mais comme des sages ; tirez parti du temps présent, car nous traversons des jours mauvais. Ne soyez pas inconsidérés, mais comprenez quelle est la volonté du Seigneur. Ne vous enivrez pas de vin : cela porte à la débauche. Soyez, au contraire, remplis de l’Esprit. Dîtes entre vous des psaumes, des hymnes, et des cantiques spirituels, chantant et célébrant de tout votre cœur les louanges du Seigneur.

Gal. V, 26 – VI, 2 (S. Ambroise)

Frères, ne cherchons pas une vaine gloire, en nous provoquant les uns les autres, en nous portant envie les uns aux autres. Si un homme vient à être surpris en quelque faute, vous qui êtes spirituels, redressez-le avec un esprit de douceur. Prends garde à toi-même, de peur que tu ne sois aussi tenté. Portez les fardeaux les uns des autres, et vous accomplirez ainsi la loi de Christ.

ÉVANGILE DU JOUR

Lc XII, 16-21

Les terres d’un homme riche avaient beaucoup rapporté. Et il raisonnait en lui-même, disant : “Que ferai-je ? car je n’ai pas de place pour serrer ma récolte. Voici, dit-il, ce que je ferai : j’abattrai mes greniers, j’en bâtirai de plus grands, j’y amasserai toute ma récolte et tous mes biens ; et je dirai à mon âme : Mon âme, tu as beaucoup de biens en réserve pour plusieurs années ; repose-toi, mange, bois, et réjouis-toi.” Mais Dieu lui dit : “Insensé ! cette nuit même ton âme te sera redemandée ; et ce que tu as préparé, pour qui cela sera-t-il ?” Il en est ainsi de celui qui amasse des trésors pour lui-même, et qui n’est pas riche pour Dieu.

Mt XI, 27-30 (S. Ambroise)

Toutes choses m’ont été données par mon Père, et personne ne connaît le Fils, si ce n’est le Père ; personne non plus ne connaît le Père, si ce n’est le Fils et celui à qui le Fils veut le révéler. Venez à moi, vous tous qui êtes fatigués et chargés, et je vous donnerai du repos. Prenez mon joug sur vous et recevez mes instructions, car je suis doux et humble de cœur ; et vous trouverez du repos pour vos âmes. Car mon joug est doux, et mon fardeau léger.

À propos de l'auteur

Photo of author

Jivko Panev

Jivko Panev, cofondateur et journaliste sur Orthodoxie.com. Producteur de l'émission 'Orthodoxie' sur France 2 et journaliste.
Lire tous les articles par Jivko Panev

Articles populaires

Recension: Hiéromoine Grégoire du Mont-Athos, «La foi, la liturgie et la vie de l’Église orthodoxe. Une esquisse de catéchisme orthodoxe»

Ce catéchisme est particulièrement bienvenu pour les parents en attente, pour leurs enfants d’un catéchisme orthodoxe fiable, mais aussi pour ...

Jean-Claude Larchet, « « En suivant les Pères… ». La vie et l’œuvre du père Georges Florovsky »

Vient de paraître: Jean-Claude Larchet, « “En suivant les Pères… ”. La vie et l’œuvre du Père Georges Florovsky », ...

« Orthodoxie » (France-Culture) : « Noël 2025 – Hommage au P. Michel Evdokimov (1930-2025) »

L’émission Orthodoxie sur France Culture, produite et animée par Alexis Chryssostalis, du 25 décembre était consacrée à Noël et au ...

14 décembre (ancien calendrier) / 27 décembre (nouveau)

Carême de la Nativité – Dispense de poisson Saints Thyrse, Leucius et Callinique, martyrs à Césarée de Bithynie (251) ; ...

27 décembre

Samedi après la Nativité Saint Étienne (ou Stéphane), premier diacre et premier martyr (vers 34) ; saint Théodore « le marqué », ...

Le patriarche œcuménique et le patriarche de Bulgarie ont concélébré la divine liturgie – vidéo

Aujourd’hui, vendredi 26 décembre 2025, fête de la synaxe de la Très Sainte Mère de Dieu, le patriarche œcuménique Bartholomée ...

Discours de Sa Sainteté le patriarche œcuménique et de Sa Béatitude le patriarche de Bulgarie lors de la réception officielle au Patriarcat œcuménique

Allocution de Sa Sainteté le patriarche œcuménique Bartholomée à l’occasion de l’accueil de Sa Béatitude le patriarche de Bulgarie Daniel ...

Message de Noël 2025 de Mgr Jean, archevêque de Tirana, de Durrës et de toute l’Albanie

Le Verbe s’est fait chair et il a habité parmi nous (Jn 1, 14) Au clergé et au peuple fidèle,Chers ...

Le patriarche Daniel remet au patriarche Bartholomée une décoration pour avoir surmonté le schisme dans l’Église orthodoxe bulgare

La décoration a été décernée pour l’organisation du concile de 1998, qui a résolu de manière conciliaire la crise provoquée ...

26 décembre

Synaxe de la Très-Sainte Mère de Dieu et toujours vierge Marie Saint Euthyme, évêque de Sardes, martyr (vers 840) ; ...

13 décembre (ancien calendrier)/26 décembre (nouveau)

Carême de la Nativité Saints Auxence, Eustrate, Eugène, Mardaire et Oreste, martyrs en Arménie (302) ; sainte Lucie, martyre à ...

Message de Noël 2025 des patriarches et des responsables des Églises de Jérusalem

C’est pourquoi, puisque nous sommes entourés d’une si grande nuée de témoins [grec : martyrōn], rejetons nous aussi tout fardeau ...

Début de la visite de paix du patriarche de Bulgarie au Patriarcat œcuménique

Le jour de Noël, le 25 décembre 2025, a débuté la visite de paix de Sa Béatitude le patriarche de ...

(Re)voir sur YouTube le documentaire France 2 « Centenaire de l’Institut de théologie orthodoxe Saint-Serge »

Fondé en 1925 par des théologiens russes émigrés, l’Institut de théologie orthodoxe Saint-Serge de Paris célèbre son centenaire. Ce documentaire ...

Encyclique patriarcale pour Noël 2025

† Bartholomée, par la miséricorde de Dieu, archevêque de Constantinople-Nouvelle Rome et patriarche œcuménique À toute la plénitude de l’Église, ...

Message de Noël du Saint-Synode de l’Église orthodoxe autocéphale de Pologne

Message de Noël du Saint-Synode de l’Église orthodoxe autocéphale de Pologne au très vénérable clergé, aux vénérables moines,aux fidèles, à ...

Message du patriarche de Bulgarie Daniel à l’occasion de la Nativité du Christ – 2025

Le Christ est né ! Glorifions-Le ! Chers frères et sœurs dans l’Enfant-Dieu qui est né, Avec révérence et émerveillement, ...

Message de Noël 2025 du patriarche Daniel

La Nativité du Christ annoncée par les prophètes et proclamée par les anges et les bergers Au vénérable ordre monastique, ...