Mardi 1 mai 1973Pâques, semaine de la Passion. A peine troublées par une légère irritation contre l’agitation qui règne dans le sanctuaire (quatre prêtres, cinq diacres !), mais, au fond, lumineuses, telles qu’on peut les attendre. Et comblant toute attente. Je suis persuadé que si l’on entendait pour de bon la semaine de la Passion, Pâques, la Résurrection, la Pentecôte, la Dormition, la théologie deviendrait inutile. Toute la théologie est