« Ils [les gouvernants ukrainiens] n’aiment pas les Ukrainiens ni ne leur montrent de la commisération. Si c’était le cas, ils ne les auraient pas envoyés à Maïdan – une balle dans la tête, tant pis ! -, ils ne les pousseraient pas (c’est déjà la troisième mobilisation !) à la guerre fratricide au Donbass, ils ne les voueraient pas à la faim, au froid, et à la misère, qu’ils connaîtront tous cet