Les promesses sur l’intelligence artificielle (IA) ne cessent d’abonder : capable de nous soigner, de nous juger, de nous conduire sans accident, de prédire nos faits et gestes, d’anticiper nos comportements et nos pensées et bien plus encore. Mais est-ce que la question est-elle toujours judicieusement posée ? La machine est-elle, ou sera-t-elle, semblable à nous, capable comme nous d’apprendre, de sentir, de décider ? Pour raison garder il nous