Dans une déclaration datée du 17 mars, l’association Amnesty international fait le point sur le Kosovo, un an après la série de violences qui ont endeuillé cette région. Elle exprime son inquiétude concernant : « l’absence de responsabilisation de la Mission d’administration intérimaire des Nations Unies au Kosovo (MINUK) et de la Force internationale de paix au Kosovo (KFOR) » ainsi que du « du refus continu de ces deux