1er mars (ancien calendrier) / 14 mars (nouveau)

Grand Carême

Liturgie des Présanctifiés

Sainte Eudocie, vierge, martyre à Héliopolis (170) ; saints Hermès et Adrien, martyrs à Marseille (vers 290) ; sainte Antonine, martyre à Nicée (vers 306) ; sainte Domnine ascète en Syrie (450-460) ; saint Albin (ou Aubin), évêque d’Angers (550) ; saint Amant de Boixe, ermite (VIème s.) ; saint David, évêque, patron du pays de Galles (vers 600) ; saint Siviard, abbé près du Mans (687) ; saint Martyrius de Zélénets (1603) ; saints néo-martyrs de Russie : hiéromartyrs Basile (Nikitsky), Pierre (Lioubimov), Jean (Streltsov), Benjamin (Famintsev), Michel (Boukinsky), prêtres, Antoine (Korj), moine, Anne (Makandine), Daria (Zaïtsev), Eudocie (Archipov), Nadejda (Abbakoumov), moniales (1938) ; hiéromartyrs Alexandre (Ilienkov), prêtre (1942), Basile (Konstantinov), prêtre (1943).

SAINTE MARTYRE EUDOCIE

Sainte Eudocie
Sainte Eudocie, vierge, martyre à Héliopolis (170)

D’origine samaritaine, la sainte martyre du Christ Eudocie vivait à Héliopolis, en Phénicie du Liban, sous le règne de Trajan (96-116). Comme elle était dépourvue de toute connaissance de Dieu, elle s’était laissée entraîner à la débauche et avait livré à la prostitution son corps que le Créateur avait orné d’une rare beauté. Nombreux étaient ceux qui venaient de loin et offraient de fortes sommes d’argent pour jouir de ses charmes, si bien qu’elle avait acquis, par ce honteux commerce, une immense fortune. Elle avait ainsi vécu dans l’insouciance jusqu’au jour où un moine, nommé Germain, qui était arrivé en ville pour affaire, vint loger dans la maison voisine. Le soir, après avoir chanté l’office dans sa chambre à l’heure prescrite, comme s’il se trouvait dans son monastère, Germain se mit à lire à haute voix un livre qui décrivait le Jugement dernier, les châtiments des pécheurs et les récompenses des justes. En entendant ces terribles paroles, Eudocie fut tout ébranlée, sa conscience s’éveilla de la torpeur dans laquelle l’avaient plongée de si longues années passées dans le péché et elle versa pendant toute la nuit des torrents de larmes.

Au matin, elle se précipita vers Germain et, tombant à ses pieds, elle l’implora avec larmes de lui indiquer la voie du salut. Après l’avoir dûment catéchisée, en père spirituel prudent, celui-ci la renvoya chez elle, pour qu’elle éprouve sa résolution pendant une semaine de retraite et de prière. Comme elle priait de nuit en versant quantité de larmes sur sa vie passée, Eudocie vit soudain une grande lumière et l’Archange Michel descendit pour la conduire au ciel, où l’assemblée des élus l’accueillit avec joie, alors qu’à l’extérieur le diable, sous la forme d’un être gigantesque, noir et répugnant, accusait Dieu d’injustice pour avoir accepté si rapidement le repentir de cette femme débauchée. Une voix très douce se fit alors entendre du haut du ciel, qui disait : « Tel est le bon plaisir (eudokia) de Dieu : recevoir avec compassion les hommes qui se repentent. » Et, sur l’ordre de Dieu, l’Archange ramena Eudocie dans sa demeure, en lui promettant l’assistance de la grâce pour les combats qu’elle aurait dès lors à mener contre le péché.

Pleine de joie et de confiance en la miséricorde du Seigneur, Eudocie fut baptisée par l’évêque de la cité, Théodote, et, suivant scrupuleusement les instructions de son père spirituel, elle remit avec empressement sa fortune acquise dans l’iniquité à un prêtre, afin qu’il la distribue aux nécessiteux. Puis, ainsi délivrée de l’attachement au monde et de tout souci, elle alla rejoindre Germain qui la fit admettre dans un monastère féminin situé non loin du sien.

Dès son entrée dans le stade de la vertu, la bienheureuse montra un zèle ardent pour effacer par l’ascèse et par les larmes du repentir toutes traces de ses anciennes passions. Portant constamment, sans jamais la changer, la tunique dont elle avait été revêtue à son baptême, elle apprit le Psautier par cœur et fit de la prière et de la méditation de la Parole de Dieu sa nourriture, de préférence à tout autre aliment terrestre. Par cette conduite admirable et cette belle transformation, elle reçut du Seigneur le pouvoir d’accomplir des miracles et, à la mort de la supérieure, elle fut élue par la fraternité pour lui succéder.

En ce temps-là, ayant appris que la belle Eudocie avait rejeté les plaisirs de cette vie et le culte des idoles pour tourmenter son corps par amour du Christ, certains de ses anciens amants la dénoncèrent auprès de l’empereur, l’accusant d’utiliser sa fortune pour construire, dans le désert, des refuges pour les chrétiens rebelles à son autorité et à la religion de l’Empire. Lorsque le dignitaire envoyé par l’empereur et les trois cents soldats de son escorte voulurent pénétrer dans le monastère de la sainte, ils en furent empêchés par une force divine et, après avoir tourné autour de l’enceinte pendant trois jours, en cherchant vainement l’entrée, ils furent frappés de mort, à l’exception du magistrat et de trois soldats.

Quand l’empereur apprit ce lamentable échec, il envoya son propre fils pour arrêter la sainte. Mais celui-ci fut frappé par Dieu et mourut après avoir été jeté à bas de son cheval. Sur le conseil d’un ancien amant d’Eudocie, le souverain éploré écrivit alors à la sainte pour lui demander d’intercéder, afin que son fils revienne à la vie. Eudocie lui répondit avec humilité, protestant de son impuissance à accomplir de tels miracles, et elle fit trois signes de croix sur la lettre en la refermant. Dès que le messager apporta la missive au palais devant le cadavre du prince, celui-ci reprit vie, et l’empereur et toute la cour s’écrièrent : « Grand est le Dieu des chrétiens, qui accomplit de telles merveilles ! » On raconte même que le souverain se fit baptiser avec un grand nombre des siens, et que le prince ressuscité devint par la suite archevêque de la cité, tandis que sa sœur, Gélasia, prit le voile dans le monastère de sainte Eudocie.

L’empereur Hadrien (117-138), qui succéda à Trajan, était un farouche adepte de l’idolâtrie. Il envoya à Héliopolis un gouverneur, réputé pour sa cruauté, nommé Diogène, lequel avait été fiancé à Gélasia et que la fuite de sa promise avait mis dans la plus grande irritation à l’égard d’Eudocie. Sitôt installé, il envoya cinquante hommes d’armes pour se saisir de la sainte. Alors que ceux-ci étaient encore en route, le Christ apparut à Eudocie et lui annonça que l’heure était venue pour elle de remporter la couronne du martyre. Elle se rendit alors dans l’église, prit sur elle une parcelle de la sainte Eucharistie et, accueillant les soldats avec calme et dignité, elle les suivit sans offrir de résistance. Sur le chemin, un ange la précédait, tenant un flambeau allumé, sans que les païens s’en rendissent compte.

Après avoir été laissée pendant quatre jours en prison, sans ni nourriture ni boisson, elle fut amenée au tribunal, le visage couvert, et dès qu’on lui retira ce voile une lueur éclatante en resplendit, provoquant un cri de stupeur dans l’assistance. La sainte répondit avec assurance aux questions du gouverneur et l’invita à mettre son dessein à exécution, sans perdre de temps en de vains interrogatoires. Le magistrat la somma de choisir entre trois solutions pour avoir la vie sauve : adorer les idoles, revenir à son ancien mode de vie ou remettre sa fortune au trésor public. Eudocie déclara qu’il était absolument exclu pour elle de retourner à sa vie passée, maintenant qu’elle avait connu la vérité, et qu’elle n’était plus maîtresse de l’argent qu’elle avait distribué. Sur l’ordre de Diogène, quatre hommes se saisirent d’elle et l’accablèrent de coups pendant deux heures entières ; puis, comme ils tentaient de la dénuder afin de l’attacher au poteau de torture, ils trouvèrent sur elle le coffret contenant la Sainte Communion. Lorsque le gouverneur tenta de l’ouvrir, une flamme s’en dégagea, qui consuma tous ceux qui se trouvaient aux alentours et laissa Diogène à demi paralysé. Comme il tombait à genoux en priant le dieu Soleil de le délivrer de ce sortilège, un éclair fendit le ciel et le laissa raide mort sur le sol. Pendant ce temps, un ange rayonnant descendait du ciel et s’entretenait avec la sainte, après l’avoir chastement recouverte d’un voile. Un soldat qui avait été témoin de cette scène, saisi de repentir, alla la détacher et la pria d’intercéder pour ceux qui venaient d’être frappés par la colère de Dieu, afin qu’ils recouvrent la vie et puissent se repentir. Prise de compassion, Eudocie se mit en prière et aussitôt les morts ressuscitèrent, provoquant la conversion d’une grande partie de la population.

La sainte resta en ville quelque temps pour enseigner le peuple, et elle accomplit encore d’autres miracles, jusqu’au jour où, Diogène étant décédé, un nouveau gouverneur, nommé Vincent, s’installa à Héliopolis, avec la ferme décision d’en finir avec la célébrité importune d’Eudocie. Il envoya des soldats dans sa résidence et ceux-ci lui tranchèrent la tête, sans autre forme de procès, lui offrant ainsi la satisfaction de son désir le plus cher : l’union définitive avec son Époux céleste. Par la suite, les reliques de sainte Eudocie accomplirent de nombreux miracles qui témoignèrent pour des générations de chrétiens de la puissance du repentir.
(Tiré du Synaxaire du hiéromoine Macaire de Simonos Petras)

TROPAIRES ET KONDAKIA DU JOUR

Tropaire de la sainte martyre, ton 8

Dans la droiture de ton âme ayant adhéré à l’amour du Christ, / en disciple du Verbe tu rejetas dans l’oubli / les beautés corruptibles qui ne durent qu’un temps: / ayant, par le jeûne, mortifié tout d’abord les passions, / en martyre, tu confondis ensuite l’ennemi. / C’est pourquoi le Seigneur t’accorda la double couronne, illustre Eudocie; / vénérable Martyre, prie le Christ notre Dieu / de sauver nos âmes.

Kondakion de la sainte martyre, ton 4

Ayant mené ta lutte à bonne fin, / après ta mort, illustre Eudocie, / par l’effusion de tes miracles tu nous sanctifies, / nous les fidèles accourant vers ton temple sacré; / en cette fête, vénérable Martyre, nous te prions: / puissent nos âmes être délivrées de leurs maux / et puiser à ta source la grâce des miracles!

Lectures de l’Ancien Testament

Isaïe VII, 1-14

Et dans les jours d’Achaz, fils de Joatham, fils d’Ozias, roi de Juda, il arriva que Rasin, roi d’Aram, et Phacée, fils de Romélie, roi d’Israël, marchèrent contre Jérusalem pour lui faire la guerre; mais ils ne purent la tenir assiégée. Et un message fut apporté en la maison de David, disant : Aram est coalisé avec Éphraïm. Et l’âme du roi fut saisie de stupeur, ainsi que l’âme de son peuple; comme dans une forêt les feuilles sont agitées par le vent. Et le Seigneur dit à Isaïe : Va à la rencontre d’Achaz, toi et ton fils Jasub qui te reste ; prends le chemin d’en haut dans le champ du Foulon près la piscine ; Et dis au roi : Tiens-toi en repos et sois sans crainte; que ton âme ne soit pas abattue par ces deux bouts de tison qui fument; car lorsque le transport de ma colère éclatera je te guérirai encore une fois. Quant au fils d’Aram et au fils de Romélie, parce qu’ils ont conçu un mauvais dessein, disant : montons en Judée et nous liguant contre eux soumettons-les à nous et donnons-leur pour roi le fils de Tabéel ; Voici ce que dit le Seigneur des armées : ce complot ne subsistera pas, il ne s’accomplira point. Mais Damas restera la capitale de Syrie et Rasin roi de Damas. Et soixante-cinq ans encore, le royaume d’Éphraïm cessera d’être un peuple, et Samarie, la capitale d’Éphraïm et le fils de Romélie la capitale de Samarie. Et si vous ne me croyez point, c’est que vous manquerez d’intelligence. Et le Seigneur continua de parler à Achaz, disant : Demande un signe au Seigneur ton Dieu, soit dans le ciel soit dans l’abîme. Et Achaz dit : non, je ne demanderai rien, et je ne tenterai point le Seigneur. Et le Seigneur reprit : écoutez donc, maison de David. Est-ce pour vous si peu de chose que de soutenir une lutte contre des hommes? Et comment soutiendrez-vous une lutte contre Dieu ? C’est pourquoi le Seigneur lui-même vous donnera un signe. Voilà que la Vierge concevra dans son sein, et elle enfantera un fils, et tu lui donneras le nom d’Emmanuel.

Genèse V, 32 – 6,8

Noé avait cinq cents ans, et il engendra trois fils : Sem, Cham et Japhet. Il vécut dans le temps que les hommes commencèrent à être nombreux sur la terre, et que des filles leur étaient nées. Or, les fils de Dieu, ayant vu que les filles des hommes étaient belles, prirent pour femmes, parmi toutes, celles dont ils firent choix. Et le Seigneur Dieu dit : Mon esprit ne restera pas toujours avec ces hommes, parce qu’ils ne sont que chair. Désormais leurs jours formeront cent vingt ans. Or, il y avait des géants sur la terre, en ces jours-là ; car depuis que les fils de Dieu s’étaient unis aux filles des hommes, elles leur avaient enfanté ces géants, ces hommes fameux. Or, le Seigneur Dieu ayant vu que les méchancetés des hommes étaient multipliées sur la terre, et que chacun en son cœur tous les jours s’appliquait à penser au mal, Il s’attrista en lui-même d’avoir créé l’homme sur la terre. Et il réfléchit. Et Dieu dit : J’effacerai de la face de la terre l’homme que j’ai créé ; tout sera détruit depuis l’homme jusqu’aux bestiaux, depuis les reptiles jusqu’aux oiseaux du ciel, parce que J’ai regret de les avoir créés. Noé cependant trouva grâce devant le Seigneur Dieu.

Proverbes VI, 20 – VII, 1

Ô mon fils, garde les lois de ton père, et ne rejette pas les préceptes de ta mère. Tiens-les toujours attachés à ton âme ; mets-les comme un collier autour de ton cou. Partout où tu iras, porte-les, et qu’ils soient avec toi ; et quand tu dormiras, qu’ils te gardent, afin qu’à ton réveil ils s’entretiennent avec toi. Les commandements de la loi sont une lampe, une lumière ; c’est la voie de vie, c’est la correction et la discipline, qui te garderont de la femme mariée et des artifices de la langue étrangère. Que la convoitise de sa beauté ne triomphe pas de toi ; ne te laisse pas prendre par tes yeux, ni ravir par ses paupières. Car la courtisane ne coûte que le prix d’un pain ; la femme mariée prend les âmes des hommes qui ont tant de prix. Qui cachera du feu, dans son sein sans brûler sa tunique ? Qui marchera sur des charbons ardents sans se brûler les pieds ? Tel est celui qui a commerce avec la femme mariée ; il ne sera point disculpé, non plus que celui qui l’aura touchée. Il n’est pas étonnant qu’un voleur se cache dans la grange ; car il vole pour rassasier son âme affamée ; et s’il est pris, il rendra au centuple ; et, dût-il donner tout ce qu’il possède, il se sauvera lui-même mais l’adultère, à cause de l’indigence de son cœur, a causé la perte de son âme; il supportera les hontes et les douleurs, et son opprobre ne sera point effacé dans les siècles des siècles. Car l’âme de l’époux est pleine de jalousie ; il ne l’épargnera pas le jour du jugement. Nul, au prix d’une rançon, n’éteindra sa haine, et il n’est point de dons si nombreux qui puissent l’apaiser. Mon fils, garde mes paroles, et renferme mes préceptes en toi-même.

À propos de l'auteur

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Jivko Panev

Jivko Panev, cofondateur et journaliste sur Orthodoxie.com. Producteur de l'émission 'Orthodoxie' sur France 2 et journaliste.
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