28 août

Saint Moïse l’Éthiopien, ascète au désert de Scété (vers 395) ; synaxe des saints Pères des grottes « éloignées » de Kiev ; sainte Anne la prophétesse, fille de Phanuel, qui reçut le Christ dans le Temple ;  saint Julien, martyr à Brioude en Auvergne (304) ; saint Augustin, évêque d’Hiponne (430) ; saint Ambroise (vers 450) et saint Vivien (vers 460), évêques de Saintes ; saint Elmer, évêque de Reims (VIIème s.) ; sainte Chouchanik, reine et martyre en Géorgie (475) ; saint Sabas de Pskov (1495) ;  invention des reliques de saint Job de Potchaïev (1659) ; saints nouveaux martyrs de Russie : Alexis Boudrine, prêtre (1918) ; moines martyrs de Kazan : Serge Zaïtsev, Laurent Nikitine, Séraphim Kouzmine, Théodose Alexandrov, Léonce Kariaguine, Étienne, Georges Timofeïev, Hilarion Pravdine, Jean Sretensky et Serge Galine (1918) ; Alexandre Medvedev, diacre (1918) ; Nicolas Gueroguievsky, prêtre (1931) ; Basile Sokolsky, prêtre (1937).

 

SAINT MOÏSE L’ÉTHIOPIEN[1]

Saint Moïse l'Éthiopien
Saint Moïse l’Éthiopien, ascète au désert de Scété (vers 395

Le bienheureux Moïse était Éthiopien de race et avait l’âme aussi noire que la peau. Il était esclave au service d’un magistrat, qui le chassa à cause des vols et des mauvaises actions qu’il avait commises. Il devint alors chef d’une bande de brigands qui ne reculaient devant aucun moyen — fût-ce le meurtre — pour accomplir leurs larcins. Cependant, à l’occasion d’un accident qui lui survint, la conscience de Moïse se réveilla. Touché par l’amour du Christ, il prit en haine le péché ainsi que sa vie passée, et résolut de montrer un ardent repentir. Après avoir été baptisé, il se retira aussitôt au désert de Scété, dans un lieu solitaire et dépourvu de consolation humaine, au point qu’il n’avait même pas un peu d’eau pour réconforter son corps desséché par le soleil et par les labeurs de l’ascèse. Un jour, quatre brigands se jetèrent sur lui alors qu’il était assis dans sa cellule. Moïse, qui était doté d’une force prodigieuse, les ligota et les portant sur son dos comme un sac de paille, il les amena à l’église, en disant : « Il ne m’est pas permis de faire du mal à quiconque. Qu’ordonnez-vous pour ces gens-là ? » Apprenant qu’il était Moïse, le célèbre chef de bande, les quatre hommes se dirent que si un tel scélérat en était venu à servir Dieu, le salut n’était pas loin d’eux aussi, et ils devinrent moines. Malgré son repentir et ses combats ascétiques, Moïse continuait cependant à être assailli par l’habitude des passions, cette seconde nature, qui était si profondément enracinée en lui qu’il dut mener pendant dix ans un combat implacable contre le démon de la fornication. Un jour, alors qu’il était près de céder au désespoir et d’abandonner la lutte, il rendit visite au grand abba Isidore, le prêtre de Scété. Comme il lui racontait ses épreuves, l’Ancien lui dit qu’il ne fallait pas s’étonner d’avoir à affronter de si violents combats, car le pécheur endurci est semblable au chien de boucherie, qui a coutume de ronger les os, et qui ne peut renoncer à cette habitude que lorsqu’on cesse de l’entretenir et qu’on ferme la boucherie. De même, il ne suffira pas au pécheur de cesser de commettre le péché, il lui faudra aussi chasser la mauvaise habitude par la bonne habitude de la vertu, en mortifiant sa chair pendant de longues années. Le démon, désespéré de se voir ainsi sans matière pour allumer les désirs impurs dans le cœur, abandonnera la lutte. De retour dans sa cellule, Moïse se livra à de grandes austérités : il ne mangeait que douze onces de pain sec, épuisait son corps par le travail et faisait cinquante séries de prières par jour. Mais il avait beau macérer ainsi sa chair, il restait tout embrasé, particulièrement dans les rêves. Il alla donc de nouveau prendre conseil d’un autre grand vieillard, qui lui recommanda d’ajouter à la sobriété corporelle celle de l’intelligence, en la purifiant par les veilles. Moïse associa dès lors à ses jeûnes, les veilles quotidiennes la nuit entière : pendant six ans, il se tint debout toutes les nuits au milieu de sa cellule, priant sans fermer l’œil. Comme les pensées continuaient de l’assaillir, il compléta l’édification en lui de l’homme nouveau par un amour ardent pour ses frères. La nuit, il se rendait dans les cellules des vieux anachorètes qui n’avaient plus la force d’aller chercher de l’eau, et il allait remplir leurs jarres au puits qui se trouvait à plusieurs milles de là. Le démon, furieux de se voir ainsi vaincu de toutes parts par le serviteur de Dieu, l’assaillit une nuit, alors qu’il était penché au-dessus du puits, et lui donna un violent coup de massue sur les reins. Le lendemain, un frère, qui était venu puiser de l’eau, le trouva gisant là à demi mort et alla en informer abba Isidore. Transporté à l’église, Moïse ne recouvra ses forces qu’au bout d’une année. Isidore l’engagea à cesser de provoquer les démons au combat, car il y une mesure en tout, mais le vaillant soldat du Christ lui répondit : « Il m’est impossible de cesser, tant que les imaginations suggérées par les démons me troubleront. » L’Ancien lui annonça qu’il serait désormais délivré des rêves, et que cette épreuve avait été permise par Dieu pour qu’il ne se vante pas d’avoir surmonté la passion par ses propres forces. Moïse retourna donc dans sa cellule, et au bout de deux mois, il revint voir Isidore auquel il déclara ne plus éprouver aucun trouble. En plus de la grâce de l’impassibilité, Dieu lui accorda le pouvoir contre les démons, et transforma son caractère violent en une charité et une douceur sans pareille. Un jour, un frère ayant commis une faute à Scété, les Pères se rassemblèrent pour le juger et invitèrent abba Moïse à se joindre à eux ; mais celui-ci refusa de se rendre à cette assemblée. Comme tout le monde l’attendait, et qu’on avait l’habitude de ne point commencer une synaxe avant que tous les ascètes fussent réunis, le prêtre l’envoya chercher. Moïse se leva, prit une corbeille percée, la remplit de sable et se rendit au conseil. Les moines sortis à sa rencontre lui demandèrent : « Qu’est-ce que ceci, Père ? » L’Ancien leur répondit : « Mes péchés s’écoulent derrière moi et je ne les vois pas, et je viens aujourd’hui pour juger la faute d’un autre ! » Entendant cela, les Pères se repentirent, ne dirent rien au frère fautif et lui pardonnèrent. Un frère s’était rendu à Scété pour visiter les Anciens, et il voulut d’abord voir l’illustre abba Arsène, mais celui-ci n’accepta pas de le recevoir. Il alla ensuite chez abba Moïse qui l’accueillit avec joie et prévenance. Troublé par cette différence d’attitude, il pria Dieu et lui demanda comment il se faisait que l’un des Anciens fuyait les hommes à cause de son Nom et que l’autre les recevait à bras ouverts pour la même raison. Il lui fut alors montré deux grandes barques sur un fleuve, et il vit abba Arsène et l’Esprit de Dieu naviguant sur l’une en toute paix, et sur l’autre abba Moïse et les anges de Dieu qui le nourrissaient de gâteaux de miel . Ayant acquis une grande faveur auprès de Dieu et devenu prêtre, abba Moïse convertit par l’exemple de ses vertus soixante-dix de ses anciens compagnons de brigandage, qui devinrent ses disciples. Il leur enseignait à se débarrasser des passions par les combats de l’ascèse et à demeurer dans leur cellule, comme s’ils étaient au tombeau, morts à tout homme. Il disait : « Reste assis dans ta cellule, et ta cellule t’enseignera toutes choses (Jn 14,26) ». Quand on lui demandait ce que signifie mourir à tout homme, il répondait : « Mourir à son prochain, c’est porter tes fautes et ne te soucier de personne pour savoir s’il est bon ou mauvais. Si nous sommes attentifs à voir nos fautes, nous ne verrons pas celles de notre prochain. Car c’est folie pour l’homme qui a un mort chez lui, de le laisser là et de partir pleurer celui du voisin ». Quand on lui demandait à quoi servent toutes les mortifications auxquelles s’astreignent les moines, ces jeûnes et ces veilles pendant toute une vie, il répondait : « Ils rendent l’âme humble. Car, si l’âme se donne tout ce mal, Dieu la prendra en pitié ». Abba Moïse était âgé de soixante-quinze ans quand on annonça que les barbares Maziques allaient assaillir Scété (407). Tous les moines s’apprêtaient à prendre la fuite, sauf abba Moïse. Les frères lui ayant demandé pourquoi il restait ainsi, paisible, il leur répliqua : « J’attends ce jour depuis tellement d’années, afin que s’accomplisse la parole du Seigneur Jésus-Christ qui a dit : « Tous ceux qui prennent l’épée périront par l’épée (Mt 26, 52) ». Édifiés par cette réponse, les frères déclarèrent : « Nous non plus nous ne fuirons pas, mais nous resterons pour mourir avec toi. » L’Ancien leur dit : « Cela n’est pas mon affaire. Que chacun juge ses propres actes et fasse selon ce que le Seigneur l’éclairera. » Les barbares saccagèrent le fameux centre monastique de Scété, tuant sans merci tous ceux qu’ils trouvaient. Quand ils arrivèrent à la cellule d’abba Moïse et de ses sept disciples, un des moines put se cacher derrière un tas de cordes et, quand ils massacrèrent les saints Pères, il vit sept couronnes descendre du ciel pour reposer au-dessus de leurs corps.

[1] Tiré du Synaxaire du hiéromoine Macaire de Simonos Petras.

TROPAIRES ET KONDAKIA DU JOUR

Tropaire de saint Moïse l’Éthiopien, ton 5


Père ayant quitté l’Egypte des passions, tu gravis la montagne des vertus, Moïse, dans l’ardeur de ta foi, prenant sur tes épaules la croix du Christ ; et, glorifié divinement, tu devins le modèle des moines, le sommet des Pères saints ; avec eux sans cesse intercède auprès de Dieu pour qu’il prenne nos âmes en pitié.

Tropaire de saint Job de Potchaïev, ton 4

Avec la patience de l’antique Job qui eut tant à souffrir et rivalisant de tempérance avec Jean le Précurseur, de l’un et l’autre tu t’approprias le zèle pour Dieu et fus digne d’en porter les noms successivement; tu prêchas sans crainte la vraie foi, en laquelle tu as affermi les croyants et tu menas une multitude de moines vers le Christ; vénérable Père Job, intercède pour le salut de nos âmes.

Kondakion de saint Moïse l’Éthiopien, ton 3

Ayant trouvé la divine illumination, tu dissipas les ténèbres des passions et par tes prières de toute la nuit tu mis fin au soulèvement de la chair; alors tu montas vers la suprême cité; vénérable Père, prie le Christ notre Dieu de nous accorder la grâce du salut.

Kondakion de saint Job de Potchaïev, ton 4

Tu fus un pilier de la vraie foi, toi qui suivis les préceptes angéliques fidèlement; tu repris les superbes sévèrement, mais des humbles, tu fus le secours et l’instructeur; pour ceux qui te disent bienheureux demande la rémission de leurs péchés et garde ton héritage de tout mal, vénérable Père Job, imitateur de celui qui eut tant à souffrir.

ÉPITRE DU JOUR

II Cor. VII, 1-10

Purifions-nous de toute souillure de la chair et de l’esprit, en achevant notre sanctification dans la crainte de Dieu. Donnez-nous une place dans vos coeurs ! Nous n’avons fait tort à personne, nous n’avons ruiné personne, nous n’avons tiré du profit de personne. Ce n’est pas pour vous condamner que je parle de la sorte ; car j’ai déjà dit que vous êtes dans nos coeurs à la vie et à la mort. J’ai une grande confiance en vous, j’ai tout sujet de me glorifier de vous ; je suis rempli de consolation, je suis comblé de joie au milieu de toutes nos tribulations. Car, depuis notre arrivée en Macédoine, notre chair n’eut aucun repos ; nous étions affligés de toute manière : luttes au dehors, craintes au dedans. Mais Dieu, qui console ceux qui sont abattus, nous a consolés par l’arrivée de Tite, et non seulement par son arrivée, mais encore par la consolation que Tite lui-même ressentait à votre sujet : il nous a raconté votre ardent désir, vos larmes, votre zèle pour moi, en sorte que ma joie a été d’autant plus grande. Quoique je vous aie attristés par ma lettre, je ne m’en repens pas. Et, si je m’en suis repenti, -car je vois que cette lettre vous a attristés, bien que momentanément, – je me réjouis à cette heure, non pas de ce que vous avez été attristés, mais de ce que votre tristesse vous a portés à la repentance ; car vous avez été attristés selon Dieu, afin de ne recevoir de notre part aucun dommage. En effet, la tristesse selon Dieu produit une repentance à salut dont on ne se repent jamais, tandis que la tristesse du monde produit la mort.

2 Cor. VII, 10-16 (anticipé)

La tristesse selon Dieu produit une repentance à salut dont on ne se repent jamais, tandis que la tristesse du monde produit la mort. Et voici, cette même tristesse selon Dieu, quel empressement n’a-t-elle pas produit en vous ! Quelle justification, quelle indignation, quelle crainte, quel désir ardent, quel zèle, quelle punition ! Vous avez montré à tous égards que vous étiez purs dans cette affaire. Si donc je vous ai écrit, ce n’était ni à cause de celui qui a fait l’injure, ni à cause de celui qui l’a reçue ; c’était afin que votre empressement pour nous fût manifesté parmi vous devant Dieu. C’est pourquoi nous avons été consolés. Mais, outre notre consolation, nous avons été réjouis beaucoup plus encore par la joie de Tite, dont l’esprit a été tranquillisé par vous tous. Et si devant lui je me suis un peu glorifié à votre sujet, je n’en ai point eu de confusion ; mais, comme nous vous avons toujours parlé selon la vérité, ce dont nous nous sommes glorifiés auprès de Tite s’est trouvé être aussi la vérité. Il éprouve pour vous un redoublement d’affection, au souvenir de votre obéissance à tous, et de l’accueil que vous lui avez fait avec crainte et tremblement. Je me réjouis de pouvoir en toutes choses me confier en vous.

ÉVANGILE DU JOUR

Mc I, 29-35

En sortant de la synagogue, ils se rendirent avec Jacques et Jean à la maison de Simon et d’André. La belle-mère de Simon était couchée, ayant la fièvre ; et aussitôt on parla d’elle à Jésus. S’étant approché, il la fit lever en lui prenant la main, et à l’instant la fièvre la quitta. Puis elle les servit. Le soir, après le coucher du soleil, on lui amena tous les malades et les démoniaques. Et toute la ville était rassemblée devant sa porte. Il guérit beaucoup de gens qui avaient diverses maladies ; il chassa aussi beaucoup de démons, et il ne permettait pas aux démons de parler, parce qu’ils le connaissaient. Vers le matin, pendant qu’il faisait encore très sombre, il se leva, et sortit pour aller dans un lieu désert, où il pria.

Mc II, 18-22 (anticipé)

Les disciples de Jean et les pharisiens jeûnaient. Ils vinrent dire à Jésus : Pourquoi les disciples de Jean et ceux des pharisiens jeûnent-ils, tandis que tes disciples ne jeûnent point ? Jésus leur répondit: Les amis de l’époux peuvent-ils jeûner pendant que l’époux est avec eux ? Aussi longtemps qu’ils ont avec eux l’époux, ils ne peuvent jeûner. Les jours viendront où l’époux leur sera enlevé, et alors ils jeûneront en ce jour-là. Personne ne coud une pièce de drap neuf à un vieil habit ; autrement, la pièce de drap neuf emporterait une partie du vieux, et la déchirure serait pire. Et personne ne met du vin nouveau dans de vieilles outres ; autrement, le vin fait rompre les outres, et le vin et les outres sont perdus ; mais il faut mettre le vin nouveau dans des outres neuves.

À propos de l'auteur

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Jivko Panev

Jivko Panev, cofondateur et journaliste sur Orthodoxie.com. Producteur de l'émission 'Orthodoxie' sur France 2 et journaliste.
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