29 février (ancien calendrier) / 13 mars (nouveau)

Jour aliturgique

Abstinence de viande – semaine des laitages

Saint Jean Cassien, abbé fondateur de monastères à Marseille (435) ; saint Germain de Dobrodja, moine (vers 410) ; saint Jean, appelé Barsanuphe, de Nitrie en Égypte (Vème s.) ; saint Théostéricte le confesseur, du monastère de Pélecète (VIIIème s.).

SAINT JEAN CASSIEN

Notre Père Jean Cassien, destiné par Dieu à apporter à l’Occident les lumières du monachisme oriental, naquit par un heureux effet de la Providence, aux confins des deux mondes, en Scythie Mineure, dans la région des bouches du Danube (l’actuelle Dobroudja, en Roumanie), vers 365. Issu d’une famille distinguée, il suivit avec succès le cours des études classiques ; mais, comme il était altéré d’une soif ardente pour la perfection, il renonça encore jeune aux attraits trompeurs de la vie mondaine pour se rendre en Terre Sainte, en compagnie de son ami Germain, son « frère, non par la naissance, mais en esprit », et ils devinrent moines dans un monastère de Bethléem . Après avoir été initiés aux rudiments de la vie cénobitique et s’être informés sur le mode de vie des moines de Palestine, de Mésopotamie et de Cappadoce, ressentant en eux-mêmes le désir d’une plus grande perfection, ils résolurent de partir pour les déserts d’Égypte, auprès des anachorètes, dont ils avaient entendu vanter les exploits par saint Pinuphe [27 nov.], qui s’était réfugié dans leur monastère pour fuir la bonne renommée. Leur supérieur leur accorda avec quelques réticences sa bénédiction, en leur faisant promettre de revenir promptement. Après avoir admiré l’ordre et le mode de vie des communautés cénobitiques du Delta du Nil, Jean et Germain s’enfoncèrent dans le désert. Partout où ils passaient, ils recherchaient avec avidité les saints solitaires, afin de vénérer en eux la splendeur de la grâce et la variété de ses fruits, et pour les interroger longuement sur la science de l’âme.

Réalisant que pour assimiler leur céleste enseignement, il leur faudrait passer un long temps à partager la vie de ces serviteurs de Dieu et embarrassés par leur promesse, les deux voyageurs soumirent leur problème à l’abbé Joseph qui, au terme d’une nuit de veille, leur assura qu’il leur serait plus avantageux de rester en Égypte, sans se soucier d’un engagement absolu pris avec témérité. Rassurés par l’Ancien, ils restèrent donc sept années en Égypte, poursuivant avec zèle leur enquête spirituelle. De lieu en lieu, ils parvinrent jusqu’au fameux désert de Scété, fondé par saint Macaire, « le désert glorieux, digne d’être célébré entre tous » , où luttait dans l’ascèse un grand nombre de moines, parmi lesquels s’illustraient en particulier les saints Abbas Moïse, Sérapion, Théonas, Isaac et le prêtre Paphnuce. Ce dernier les édifia grandement quand il leur dit qu’il ne suffit pas au moine de renoncer corporellement au monde en se dépouillant de ses biens pour s’adonner au soin de son âme dans l’ascèse et le silence, mais qu’il faut accomplir aussi le « second renoncement », qui consiste à se dépouiller de ses habitudes d’autrefois et de ses passions, par une lutte longue et patiente, pleine d’embûches, qui conduit à la pureté du cœur. Tel est le but du moine : s’entretenir sans cesse avec Dieu par la prière continuelle que l’intelligence, non dispersée dans les soucis du monde, élève avec tranquillité et paix dans le sanctuaire purifié du cœur. Et la fin de son œuvre, c’est la vie éternelle, l’union avec Dieu, dont on peut déjà, ici-bas, acquérir les arrhes par la sainte charité. En effet, parvenu au terme du « second renoncement », et l’âme toute tendue vers le seul désirable, le moine doit encore accomplir le « troisième renoncement », qui renferme toute perfection et consiste à bannir tout souvenir de ce monde pour se laisser emporter par Dieu vers les demeures éternelles, dans un sentiment de joie ineffable et un flot de lumière divine.

« Alors, l’amour parfait de Dieu passant en notre cœur par la vertu de la prière pure, sans forme ni parole, Dieu sera tout notre amour et tout notre désir, toute notre recherche et l’âme de tous nos efforts, toute notre pensée, notre vie, notre discours et notre respiration même. L’unité qui existe du Père avec le Fils et du Fils avec le Père s’écoulera dans l’intime de notre âme, et de même que Dieu nous aime d’une charité vraie et pure, et qui ne meurt point, nous Lui serons unis par l’indissoluble lien d’une charité sans défaillance… Ce sera, autant qu’il est possible sur la terre, l’accomplissement de la parole de l’Apôtre : Dieu, tout en tous, et devenus pleinement fils par une communication si parfaite du Père, nous pourrons dire, à l’imitation de Celui qui est Fils et héritier par nature : Tout ce qu’a le Père est à moi (Jn 16, 15). Tel est le terme de toute perfection : que l’âme soit à ce point délestée des pesanteurs charnelles, qu’elle monte chaque jour vers les sublimités des réalités spirituelles, jusqu’à ce que toute sa vie, tout le mouvement du cœur deviennent une prière unique et ininterrompue… Cette prière ne s’occupe à la considération d’aucune image, davantage, elle ne s’exprime point par la parole ni avec des mots ; mais elle jaillit dans un élan tout de feu, un ineffable transport du cœur, une joie impétueuse de l’esprit. Ravie hors des sens et de tout le visible, c’est alors par des gémissements inénarrables et des soupirs que l’âme s’épanche vers Dieu ».

Ainsi instruits des cimes de la vie monastique et contemplant leur vivante réalisation chez ces illustres anachorètes, les deux amis s’adonnèrent avec une grande rigueur à la vie contemplative pendant ces années passées à Scété. Dans le silence de sa cellule, saint Cassien put éprouver lui-même l’âpre combat de l’âme éprise de Dieu contre les pensées passionnées et contre les démons jaloux, en particulier contre la tentation de l’acédie (« ennui ») qui tourmente les ermites en vue de leur faire quitter leur retraite. De cette expérience personnelle et de l’enseignement du grand Évagre , qu’il rencontra à Nitrie, il tira une fine doctrine du combat spirituel et des huit passions fondamentales : la gourmandise, la fornication, l’avarice, la colère, la tristesse, l’acédie, la vaine gloire et l’orgueil .

Sept années ayant passé, Jean et Germain regagnèrent Bethléem, où ils obtinrent de leur supérieur la permission de vivre désormais définitivement dans le désert, et ils retournèrent avec empressement en Égypte. Mais ils ne purent y retrouver la quiétude nécessaire à la contemplation, car l’ardeur véhémente de l’archevêque d’Alexandrie, Théophile, contre les moines taxés d’origénisme, avait partout semé le trouble et l’effroi, si bien qu’un groupe de trois cents moines finit par s’enfuir de Nitrie. Jean et Germain suivirent une cinquantaine d’entre eux qui avaient décidé de chercher refuge à Constantinople, à l’ombre du grand saint Jean Chrysostome (vers 401). Dès qu’il les vit, discernant d’un regard infaillible la qualité de leurs âmes, le saint archevêque réussit à convaincre Germain de recevoir de ses mains la prêtrise et Cassien le diaconat. Conquis par l’éclat de la sainteté de Chrysostome et par sa sublime éloquence, Cassien se plaça avec une tendre ferveur sous sa direction spirituelle, acceptant de sacrifier la quiétude du désert pour tirer profit de la présence d’un tel maître. Mais peu de temps après, saint Jean Chrysostome, victime de la vindicte de Théophile , ayant été envoyé en exil, Cassien et Germain furent envoyés en mission à Rome, en compagnie de l’évêque Pallade , par le clergé et le peuple, pour transmettre au pape Innocent Ier une lettre d’appel en faveur du saint archevêque injustement déposé (405).

Au cours de son séjour d’une dizaine d’années à Rome, saint Cassien se lia d’une étroite et durable amitié avec l’archidiacre et futur pape Léon [18 févr.] qui, par la suite, confiant en ses connaissances théologiques lui demanda de rédiger un exposé du dogme de l’Incarnation contre Nestorius . Ayant été élevé au sacerdoce, il se rendit à Marseille, en Gaule, où il fonda pour les hommes le monastère de Saint-Victor, sur le tombeau d’un martyr du IIIe siècle, et pour les vierges celui du Saint-Sauveur (415). En ascète éprouvé et en père plein de discernement pastoral, il adopta pour les moines qui s’y empressaient l’authentique tradition qu’il avait reçue des Pères d’Orient, en tenant compte des conditions de vie propres à la Gaule, du climat et du caractère de ses habitants. Puis, à la requête de saint Castor, évêque d’Apt, il rédigea ses Institutions Cénobitiques pour les monastères que celui-ci avait fondés en Provence . Il y décrit le mode de vie des moines d’Égypte, en modérant ce qu’il y avait de trop rigoureux pour les moines gaulois à l’aide des institutions en vigueur en Palestine, en Cappadoce et en Mésopotamie. Car, écrit-il : « Si l’on pratique ce qui est raisonnablement possible, l’observance est également parfaite, même avec des moyens inégaux ». Il décrit ensuite les remèdes aux huit passions fondamentales, qui conduisent l’âme à la perfection de la vertu. Par la suite, il compléta cet enseignement spirituel par ses Conférences, dans lesquelles il expose, à l’intention des ermites qui vivaient à Lérins et sur les îles d’Hyères, les étapes supérieures du combat pour la pureté du cœur et la contemplation, en prêtant son enseignement aux grands anachorètes qu’il avait rencontrés en Égypte. Saint Cassien donna ainsi au monachisme gaulois naissant son armature doctrinale, en l’abreuvant aux sources vivifiantes des Pères du Désert.

En disciple fidèle des grands docteurs cappadociens et de saint Jean Chrysostome, saint Jean Cassien s’éleva alors contre la séparation excessive que saint Augustin avait établie entre la nature humaine et la grâce, en vue de lutter contre l’hérésie pélagienne. En effet, bien que tout don excellent et toute grâce viennent Dieu, le Père des Lumières (Jc 1, 17), la liberté humaine, créée à l’image de la liberté absolue de Dieu et renouvelée par le saint baptême, est appelée à répondre et à collaborer (synergie) avec la grâce divine pour produire en l’âme les fruits salutaires des saintes vertus, à tel point qu’on peut dire avec saint Jean Chrysostome que : « L’œuvre de Dieu est de donner la grâce, celle de l’homme de présenter la foi » . Les partisans extrémistes de saint Augustin réagirent violemment contre cette doctrine des moines provençaux — qui n’était que l’expression de l’enseignement traditionnel des Pères grecs — et accusèrent saint Cassien de la prétendue hérésie « semi-pélagienne » . Ennemi du bruit et de la dispute, le saint ascète, « ayant appris, dans l’intimité de la contemplation divine, le secret d’une paix constante et douce, et d’une sérénité tranquille », se tint en silence, sans chercher à se justifier. Il remit en paix son âme à Dieu, vers 435. Considéré comme un saint par ses contemporains, il est vénéré depuis par tous les moines d’Occident comme leur Père et l’un de leurs plus grands docteurs. Ses précieuses reliques sont gardées jusqu’à nos jours à l’abbaye Saint-Victor de Marseille.

TROPAIRES ET KONDAKIA DU JOUR

Tropaire de saint Cassien, ton 8

En toi, vénérable Père, la divine Image se reflète exactement: * afin de lui ressembler, tu as pris ta croix et tu as suivi le Christ; * et par ta vie tu nous apprends à mépriser la chair, qui passe et disparaît, * pour s’occuper plutôt de l’âme qui vit jusqu’en la mort et par-delà; * c’est ainsi que ton esprit se réjouit, * bienheureux Cassien, avec les Anges dans le ciel.

Kondakion de saint Cassien, ton 2

Désireux des biens suprêmes, Père saint, * tu t’es uni aux êtres d’en-haut; * par la divine élévation de tes vertus, * tu as fait de ton âme un char de feu; * Cassien, toi qui sur terre as vécu comme un Ange, * tu fus agréable au Créateur de l’univers.

Lectures de l’Ancien Testament

Joël II, 12-26

Et maintenant le Seigneur Dieu vous dit : Convertissez-vous à Moi de toute votre ; âme ; jeûnez, pleurez, frappez-vous la poitrine. Déchirez vos cœurs, et non vos vêtements. Et convertissez-vous au Seigneur votre Dieu, parce qu’Il est plein de clémence et de compassion, patient, abondant en miséricorde, et repentant des maux qu’Il fait en punissant. Qui sait s’Il ne Se repentira pas, s’Il ne laissera pas après Lui des bénédictions, des offrandes et des libations pour le Seigneur votre Dieu. Sonnez de la trompette en Sion ; sanctifiez le jeûne ; publiez le service de Dieu ; réunissez le peuple ; sanctifiez l’Église ; rassemblez les anciens ; rassemblez les enfants à la mamelle ; que l’époux quitte sa couche, et la femme son lit nuptial. Que les prêtres qui servent le Seigneur pleurent au pied de l’autel ; qu’ils disent : Seigneur, épargne Ton peuple ; ne livre pas Ton héritage à l’opprobre ; ne laisse pas les gentils dominer sur lui, de peur que l’on ne dise parmi les nations : Où est leur Dieu ? Mais le Seigneur a été jaloux de Sa terre, et Il a épargné Son peuple. Et le Seigneur a parlé, et Il a dit à Son peuple : Voilà que Je vous enverrai du blé, du vin et de l’huile, et vous vous en rassasierez, et Je ne vous livrerai pas plus longtemps aux opprobres des gentils. Et Je chasserai loin de vous celui qui est venu de l’aquilon; Je le repousserai dans une contrée aride, et Je ferai disparaître sa tête dans la première mer, et sa queue dans la dernière; et sa pourriture montera, et son infection s’élèvera; car il s’est glorifié de ses œuvres. Rassure-toi, terre; réjouis-toi et tressaille d’allégresse, parce que je Seigneur Se glorifie d’agir. Rassurez-vous, bêtes des champs, les plaines du désert ont bourgeonné ; les arbres ont porté leurs fruits; le figuier et a vigne ont donné toute leur force. Et vous, enfants de Sion, réjouissez-vous, tressaillez d’allégresse dans le Seigneur votre Dieu; Il vous a donné abondance de vivres; Il fera pleuvoir pour vous, comme autrefois, les pluies du printemps et de l’automne. Et vos granges seront remplies de blé; et vos pressoirs regorgeront de vin et d’huile Et Je vous dédommagerai des ravages que pendant des années ont faits la sauterelle et la grande sauterelle, la nielle et la chenille, Ma grande armée que J’ai envoyée contre vous. Et vous mangerez, et vous serez rassasiés, et vous louerez le Nom du Seigneur votre Dieu, à cause des prodiges qu’en votre faveur Il aura faits. Et Mon peuple ne sera plus humilié.

Joël III, 12-21

Que les nations se réveillent, et qu’elles montent Vers la vallée de Josaphat! Car là je siégerai pour juger toutes les nations d’alentour. Saisissez la faucille, Car la moisson est mûre! Venez, foulez, Car le pressoir est plein, Les cuves regorgent! Car grande est leur méchanceté, c’est une multitude, une multitude, Dans la vallée du jugement; Car le jour de l’Éternel est proche, Dans la vallée du jugement. Le soleil et la lune s’obscurcissent, Et les étoiles retirent leur éclat. De Sion l’Éternel rugit, De Jérusalem il fait entendre sa voix; Les cieux et la terre sont ébranlés. Mais l’Éternel est un refuge pour son peuple, Un abri pour les enfants d’Israël. Et vous saurez que je suis l’Éternel, votre Dieu, Résidant à Sion, ma sainte montagne. Jérusalem sera sainte, Et les étrangers n’y passeront plus. En ce temps-là, le moût ruissellera des montagnes, Le lait coulera des collines, Et il y aura de l’eau dans tous les torrents de Juda; Une source sortira aussi de la maison de l’Éternel, Et arrosera la vallée de Sittim. L’Égypte sera dévastée, Édom sera réduit en désert, à cause des violences contre les enfants de Juda, Dont ils ont répandu le sang innocent dans leur pays. Mais Juda sera toujours habité, Et Jérusalem, de génération en génération. Je vengerai leur sang que je n’ai point encore vengé, Et L’Éternel résidera dans Sion.

À propos de l'auteur

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Jivko Panev

Jivko Panev, cofondateur et journaliste sur Orthodoxie.com. Producteur de l'émission 'Orthodoxie' sur France 2 et journaliste.
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