7 juin

Commémoration des défunts

Saint Théodote d’Ancyre, martyr (303) ; saint hiéromartyr Marcellin, pape de Rome et martyrs Claude, Cyrin et Antonin (304) ; saintes martyres Valérie, Cyriaque et Marie à Césarée de Palestine (284-305) ; saint hiéromartyr Marcellin, pape de Rome et martyrs Sisinius, Cyriaque, Large, Apronien, Saturne, Pappias et Maure, Crescentien, Priscille, Lucine et la princesse Artémie (304-310) ; saint Marcellin, évêque de Monistrol (VIème s.) ; saint Vulphy, martyr en Mésie (vers 643) ; saint Aventin, apôtre des Pyrénées, reclus, martyr (732) ;  saint Mériadec, évêque de Vannes (886); saint Panaghis (ou Païssios) Bassia, prêtre en Céphalonie (1888) ; saints nouveaux martyrs de Russie : hiéromartyr Andronique, archevêque de Perm, Alexandre (Osetrov), Valentin (Belov), Benjamin (Loukanine), Victor (Nikiforov), Alexandre (Makhetov), Paul (Anochkine), Vladimir (Belozerov), Ignace (Yakimov), Michel (Denisov), Nicolas (Onianov), Paul (Sokolov), Alexandre (Preobrajensky), Nicolas (Rojdestvensky), Nicolas (Konioukhov), prêtres, Grégoire (Smirnov), diacre, et martyrs Athanase (Joulanov) et Alexandre (Zouïev) (1918) ; hiéromartyr Pierre (Kouznetsov), prêtre (1919).

SAINT THÉODOTE D’ANCYRE 

Chrétien d’Ancyre en Galatie, saint Théodote avait été élevé dans la piété par la sainte vierge et martyre Técuse [18 mai]. S’étant marié, il exerçait avec probité la profession de cabaretier et profitait de toutes les occasions pour pratiquer la charité, indistinctement envers tous, chrétiens et infidèles, à tel point que Dieu lui accorda d’accomplir plusieurs guérisons miraculeuses.

Lorsque, sous la direction du gouverneur Théotècne, la persécution faisait rage à Ancyre (303 ou 311), Théodote, s’étant pourvu d’une ample provision de blé et de vin, avait transformé son auberge en asile où les chrétiens pouvaient trouver des denrées qui n’avaient pas été offertes aux idoles. Au péril de sa vie, il rendait visite aux confesseurs dans leur prison pour les encourager à ne pas faiblir, et allait enterrer les corps des martyrs. C’est ainsi qu’il exhorta au martyre son ami Victor, dont les persécuteurs essayaient de vaincre la résolution par des promesses trompeuses. Animé d’un nouveau courage, Victor souffrit patiemment les supplices, mais fléchissant au dernier moment, alors qu’il parvenait à l’issue du combat, il demanda à réfléchir sur les propositions qu’on lui avait faites. Ramené en prison, il mourut de ses blessures, privé de la couronne de la victoire.

Un autre chrétien, nommé Valens, ayant quant à lui résisté jusqu’à la mort, Théodote recueillit ses reliques, qui avaient été jetées dans l’Halys, et alla les ensevelir au bourg de Malos . Il y rencontra un groupe de chrétiens qu’il avait précédemment délivrés de prison. Dans la joie des retrouvailles, ils décidèrent de partager un repas fraternel et convoquèrent le prêtre de Malos, Fronton, pour y prendre part. Après le repas, Théodote recommanda à Fronton de bâtir en ce lieu paisible une chapelle pour y déposer des reliques de martyrs et, lui donnant son anneau en gage, il promit de lui procurer ces saintes reliques.

De retour à Ancyre, Théodote trouva la ville dans une grande confusion, par suite de l’arrestation de sa tante Técuse et de ses six compagnes. Il resta caché avec d’autres chrétiens, en priant pour la confirmation des saintes dans leurs épreuves, et dès qu’il apprit qu’elles avaient péri noyées sans avoir renié le Seigneur, il rendit grâce à Dieu et changea ses lamentations en larmes de joie. S’étant informé des détails de leur passion, il réfléchit sur le moyen de tromper la surveillance des gardes, pour s’emparer des corps des saintes et leur donner une sépulture chrétienne. Sainte Técuse lui apparut pendant sa prière et, lui rappelant le soin qu’elle avait pris pour l’instruire dans la vie évangélique, elle lui recommanda de ne pas hésiter davantage et de partir en hâte pour accomplir sans crainte cette mission agréable à Dieu. S’enfonçant dans les ténèbres de la nuit, alors qu’une terrible tempête s’était levée, Théodote et ses compagnons parvinrent jusqu’au bord du lac. Les gardes placés là, effrayés par l’apparition du saint martyr Sosandre, armé et entouré de flammes, prirent la fuite avec terreur, et les eaux, soulevées par la tempête, laissèrent apparaître les corps des saintes. Ils purent ainsi les recueillir et allèrent les ensevelir pieusement dans une église connue d’eux seuls.

Dès le lendemain matin, toute la ville fut en émoi en apprenant l’enlèvement des corps des saintes martyres. Sur l’ordre du gouverneur, les soldats arrêtaient tous les chrétiens qu’ils rencontraient pour les soumettre à la question. On arrêta Polychronion, un des compagnons de Théodote, qui perdant courage sous la torture, révéla l’endroit où les corps avaient été enterrés et dénonça Théodote comme responsable de cette entreprise. Théotècne fit aussitôt déterrer les corps, les livra aux flammes, puis il envoya ses hommes à la recherche de Théodote. Restant sourd aux supplications de ses amis, qui le conjuraient de prendre la fuite, Théodote alla se livrer de lui-même au gouverneur, en se confiant en la puissance de la vivifiante Croix.

Lorsqu’il entra dans la salle des interrogatoires, il regarda en souriant le feu et les instruments de torture et, rejetant avec mépris les propositions flatteuses de Théotècne, il tourna en dérision la faiblesse d’une religion qui a besoin de tant d’hommes armés contre un seul soldat de Jésus-Christ. Son discours jeta le gouverneur dans une grande fureur et les prêtresses païennes, qui s’arrachaient les cheveux et déchiraient leurs vêtements, ainsi que la foule, criaient qu’on châtiât l’ennemi des dieux.

Après l’avoir fait flageller, le tyran fit étendre le martyr sur le chevalet et donna licence aux bourreaux de lui déchirer le corps avec des ongles de fer, puis ils versèrent sur ses plaies du vinaigre et y appliquèrent des torches enflammées. Armé d’une endurance surnaturelle par l’invocation du Nom du Christ, le saint répliquait à ses tortionnaires que ces supplices, loin de le vaincre, allaient démontrer avec éclat la puissance que Dieu accorde à ceux qui l’aiment. On lui brisa les dents et les mâchoires à coups de pierres, puis, les bourreaux étant épuisés, on le jeta en prison. Cinq jours après, il fut de nouveau présenté au tribunal et soumis aux mêmes tortures, à l’issue desquelles on l’étendit sur des briques rougies au feu. Comme les supplices restaient sans effet et tournaient plutôt le magistrat en ridicule, Théotècne ordonna de le décapiter et de jeter son corps au feu.

Arrivé au lieu de l’exécution Théodote rendit grâce à Dieu, pria pour qu’Il mît fin à la persécution et accordât la paix à Son Église, puis, se tournant vers les chrétiens présents, il les exhorta à sécher leurs larmes pour remercier le Seigneur de lui avoir accordé d’achever heureusement son combat, et il reçut avec joie le coup de glaive qui lui procura la couronne éternelle. Le bûcher sur lequel on plaça son corps fut soudain entouré d’une lumière si éclatante que les bourreaux ne purent approcher pour entretenir le feu et le corps resta intact.

Ce jour-même, Fronton, le prêtre de Malos, parvenait en ville avec un âne chargé de vin. L’animal s’arrêta épuisé de fatigue près de l’endroit où le corps de saint Théodote était gardé par des soldats. Invité par ces derniers à passer la nuit avec eux, Fronton apprit ce qui s’était passé, il leur proposa de goûter à son vin et, les ayant enivrés, il s’empara du corps du saint martyr, lui passa au doigt l’anneau qu’il lui avait autrefois remis et, le chargea sur son âne. Guidé par un ange, la bête alla tout droit jusqu’au lieu que Théodote avait désigné à Fronton pour y construire une église, et c’est ainsi qu’il accomplit sa promesse de lui fournir des reliques.

(Tiré du Synaxaire du hiéromoine Macaire de Simonos Petras)

TROPAIRES ET KONDAKIA DU JOUR

Tropaire du samedi des défunts, ton 8

Ô Toi qui, dans Ta profonde sagesse disposes toutes choses avec amour des hommes et distribues à chacun ce qui lui convient, ô seul Auteur de la création, donne le repos, Seigneur, aux âmes de Tes serviteurs. Car en Toi ils ont placé leur espérance, Toi le Créateur, l’Artisan de la création et notre Dieu.

Kondakion des défunts, ton 8

Avec les saints, ô Christ, accorde le repos aux âmes de Tes serviteurs, là où il n’y a ni douleur, ni tristesse, ni soupirs, mais la vie sans fin.

Théotokion, ton 8

 Tu es notre rempart et notre Havre de salut, la plus sûre Médiatrice auprès de Dieu que tu conçus, Vierge Mère de Dieu, tu es le Salut des Chrétiens.

ÉPITRE DU JOUR

Actes XXVIII, 1-31

En ces jours-là, après nous être sauvés, nous reconnûmes que l’île s’appelait Malte. Les indigènes nous témoignèrent une bienveillance peu commune ; ils nous recueillirent tous auprès d’un grand feu, qu’ils avaient allumé parce que la pluie tombait et qu’il faisait grand froid. Paul ayant ramassé un tas de broussailles et l’ayant mis au feu, une vipère en sortit par l’effet de la chaleur et s’attacha à sa main. Quand les indigènes virent l’animal suspendu à sa main, ils se dirent les uns aux autres : Assurément cet homme est un meurtrier, puisque la Justice n’a pas voulu le laisser vivre, après qu’il a été sauvé de la mer. Paul secoua l’animal dans le feu, et ne ressentit aucun mal. Ces gens s’attendaient à le voir enfler ou tomber mort subitement ; mais, après avoir longtemps attendu, voyant qu’il ne lui arrivait aucun mal, ils changèrent d’avis et dirent que c’était un dieu. Il y avait, dans les environs, des terres appartenant au principal personnage de l’île, nommé Publius, qui nous reçut et nous logea pendant trois jours de la manière la plus amicale. Le père de Publius était alors au lit, malade de la fièvre et de la dysenterie ; Paul, s’étant rendu vers lui, pria, lui imposa les mains, et le guérit. Là-dessus, vinrent les autres malades de l’île, et ils furent guéris. On nous rendit de grands honneurs, et, à notre départ, on nous fournit les choses dont nous avions besoin. Après un séjour de trois mois, nous nous embarquâmes sur un navire d’Alexandrie, qui avait passé l’hiver dans l’île, et qui portait pour enseigne les Dioscures. Ayant abordé à Syracuse, nous y restâmes trois jours. De là, en suivant la côte, nous atteignîmes Reggio ; et, le vent du midi s’étant levé le lendemain, nous fîmes en deux jours le trajet jusqu’à Pouzzoles, où nous trouvâmes des frères qui nous prièrent de passer sept jours avec eux. Et c’est ainsi que nous allâmes à Rome. De Rome vinrent à notre rencontre, jusqu’au Forum d’Appius et aux Trois Tavernes, les frères qui avaient entendu parler de nous. Paul, en les voyant, rendit grâces à Dieu, et prit courage. Lorsque nous fûmes arrivés à Rome, on permit à Paul de demeurer en son particulier, avec un soldat qui le gardait. Au bout de trois jours, Paul convoqua les principaux des Juifs ; et, quand ils furent réunis, il leur adressa ces paroles : Hommes frères, sans avoir rien fait contre le peuple ni contre les coutumes de nos pères, j’ai été mis en prison à Jérusalem et livré de là entre les mains des Romains. Après m’avoir interrogé, ils voulaient me relâcher, parce qu’il n’y avait en moi rien qui méritât la mort. Mais les Juifs s’y opposèrent, et j’ai été forcé d’en appeler à César, n’ayant du reste aucun dessein d’accuser ma nation. Voilà pourquoi j’ai demandé à vous voir et à vous parler ; car c’est à cause de l’espérance d’Israël que je porte cette chaîne. Ils lui répondirent : Nous n’avons reçu de Judée aucune lettre à ton sujet, et il n’est venu aucun frère qui ait rapporté ou dit du mal de toi. Mais nous voudrions apprendre de toi ce que tu penses, car nous savons que cette secte rencontre partout de l’opposition. Ils lui fixèrent un jour, et plusieurs vinrent le trouver dans son logis. Paul leur annonça le royaume de Dieu, en rendant témoignage, et en cherchant, par la loi de Moïse et par les prophètes, à les persuader de ce qui concerne Jésus. L’entretien dura depuis le matin jusqu’au soir. Les uns furent persuadés par ce qu’il disait, et les autres ne crurent point. Comme ils se retiraient en désaccord, Paul n’ajouta que ces mots : C’est avec raison que le Saint Esprit, parlant à vos pères par le prophète Ésaïe, a dit : Va vers ce peuple, et dis : Vous entendrez de vos oreilles, et vous ne comprendrez point ; Vous regarderez de vos yeux, et vous ne verrez point. Car le cœur de ce peuple est devenu insensible ; Ils ont endurci leurs oreilles, et ils ont fermé leurs yeux, De peur qu’ils ne voient de leurs yeux, qu’ils n’entendent de leurs oreilles, Qu’ils ne comprennent de leur cœur, Qu’ils ne se convertissent, et que je ne les guérisse. Sachez donc que ce salut de Dieu a été envoyé aux païens, et qu’ils l’écouteront. Lorsqu’il eut dit cela, les Juifs s’en allèrent, discutant vivement entre eux. Paul demeura deux ans entiers dans une maison qu’il avait louée. Il recevait tous ceux qui venaient le voir, prêchant le royaume de Dieu et enseignant ce qui concerne le Seigneur Jésus Christ, en toute liberté et sans obstacle.

1 Thess. IV, 13-17 (défunts)

Nous ne voulons pas, que vous soyez dans l’ignorance au sujet de ceux qui dorment, afin que vous ne vous affligiez pas comme les autres qui n’ont point d’espérance. Car, si nous croyons que Jésus est mort et qu’il est ressuscité, croyons aussi que Dieu ramènera par Jésus et avec lui ceux qui sont morts. Voici, en effet, ce que nous vous déclarons d’après la parole du Seigneur : nous les vivants, restés pour l’avènement du Seigneur, nous ne devancerons pas ceux qui sont morts. Car le Seigneur lui-même, à un signal donné, à la voix d’un archange, et au son de la trompette de Dieu, descendra du ciel, et les morts en Christ ressusciteront premièrement. Ensuite, nous les vivants, qui seront restés, nous serons tous ensemble enlevés avec eux sur des nuées, à la rencontre du Seigneur dans les airs, et ainsi nous serons toujours avec le Seigneur.

ÉVANGILE DU JOUR

Jn XXI, 15-25

Après qu’ils eurent mangé, Jésus dit à Simon Pierre : Simon, fils de Jonas, m’aimes-tu plus que ne m’aiment ceux-ci ? Il lui répondit : Oui, Seigneur, tu sais que je t’aime. Jésus lui dit : Pais mes agneaux. Il lui dit une seconde fois : Simon, fils de Jonas, m’aimes-tu ? Pierre lui répondit : Oui, Seigneur, tu sais que je t’aime. Jésus lui dit : Pais mes brebis. Il lui dit pour la troisième fois : Simon, fils de Jonas, m’aimes-tu ? Pierre fut attristé de ce qu’il lui avait dit pour la troisième fois : M’aimes-tu ? Et il lui répondit : Seigneur, tu sais toutes choses, tu sais que je t’aime. Jésus lui dit : Pais mes brebis. En vérité, en vérité, je te le dis, quand tu étais plus jeune, tu te ceignais toi-même, et tu allais où tu voulais ; mais quand tu seras vieux, tu étendras tes mains, et un autre te ceindra, et te mènera où tu ne voudras pas. Il dit cela pour indiquer par quelle mort Pierre glorifierait Dieu. Et ayant ainsi parlé, il lui dit : Suis-moi. Pierre, s’étant retourné, vit venir après eux le disciple que Jésus aimait, celui qui, pendant le souper, s’était penché sur la poitrine de Jésus, et avait dit : Seigneur, qui est celui qui te livre. En le voyant, Pierre dit à Jésus : Et celui-ci, Seigneur, que lui arrivera-t-il ? Jésus lui dit : Si je veux qu’il demeure jusqu’à ce que je vienne, que t’importe ? Toi, suis-moi. Là-dessus, le bruit courut parmi les frères que ce disciple ne mourrait point. Cependant Jésus n’avait pas dit à Pierre qu’il ne mourrait point ; mais : Si je veux qu’il demeure jusqu’à ce que je vienne, que t’importe ? C’est ce disciple qui rend témoignage de ces choses, et qui les a écrites. Et nous savons que son témoignage est vrai. Jésus a fait encore beaucoup d’autres choses ; si on les écrivait en détail, je ne pense pas que le monde même pût contenir les livres qu’on écrirait.

Jn V, 24-30 (défunts)

En vérité, en vérité, je vous le dis, celui qui écoute ma parole, et qui croit à celui qui m’a envoyé, a la vie éternelle et ne vient point en jugement, mais il est passé de la mort à la vie. En vérité, en vérité, je vous le dis, l’heure vient, et elle est déjà venue, où les morts entendront la voix du Fils de Dieu; et ceux qui l’auront entendue vivront. Car, comme le Père a la vie en lui-même, ainsi il a donné au Fils d’avoir la vie en lui-même. Et il lui a donné le pouvoir de juger, parce qu’il est Fils de l’homme. Ne vous étonnez pas de cela; car l’heure vient où tous ceux qui sont dans les sépulcres entendront sa voix, et en sortiront. Ceux qui auront fait le bien ressusciteront pour la vie, mais ceux qui auront fait le mal ressusciteront pour le jugement. Je ne puis rien faire de moi-même: selon que j’entends, je juge; et mon jugement est juste, parce que je ne cherche pas ma volonté, mais la volonté de celui qui m’a envoyé.

À propos de l'auteur

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Jivko Panev

Jivko Panev, cofondateur et journaliste sur Orthodoxie.com. Producteur de l'émission 'Orthodoxie' sur France 2 et journaliste.
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