Lors d’une récente prise de position synodale (1) (a), l’Église de Russie semble une fois de plus (2) avoir choisi l’isolement dans le dialogue théologique avec l’Église catholique, et avec la Communion des Églises orthodoxes. D’entrée de jeu, notons deux points révélateurs des intentions de l’Église du saint-synode de l’Église russe.Premièrement, son désir de saper le texte de Ravenne (3) (b), en invoquant des motifs apparemment théologiques pour justifier l’absence de sa délégation lors de la réunion