Les éditions L’Harmattan viennent de publier un nouvel ouvrage de Marina Copsidas « À la rencontre de la Vie éternelle » (préface de Bertrand Vergely).
Quatrième de couverture :
La mort n’est-elle qu’une fatalité aussi tragique qu’absurde, qui hante l’humanité depuis la nuit des temps ? Saint Augustin affirmait résolument : « La mort est la maladie mortelle qu’on contracte en naissant ! » Le christianisme a révélé une intelligibilité de la vie et de la mort prodigieuse : « la Bonne Nouvelle », traduction littérale du mot grec Évangile. Face à la fatalité de la mort, c’est l’assurance de l’immortalité promise par Jésus Christ, le Fils de Dieu ressuscité.
Les évangélistes Matthieu, Marc, Luc et Jean et l’apôtre Paul proclament : le règne ou le Royaume de Dieu, la résurrection des morts, la vie éternelle, l’immortalité ou encore l’incorruptibilité, la divinisation… Les Pères de l’Église, Irénée de Lyon et Pierre Chrysologue attestent leur foi dans l’immortalité de l’humanité : « Le Christ est mort, de telle sorte que par sa mort Il ressusciterait les morts de tous les temps. » Les mystiques, Séraphin de Sarov et Syméon le Nouveau Théologien témoignent de façon irrécusable de leurs rencontres avec la Lumière, Jésus Christ Fils de Dieu, prémisses de la Vie éternelle : « Au sortir de cette vie, j’en commence une autre. »