22 juillet

Sainte Marie-Magdeleine, myrrhophore, égale aux apôtres (Ier s.) ; saint Panchaire, évêque de Besançon (vers 346) ; saint Wandrille, abbé de Fontenelle (668) ; saint Baudry, fondateur de l’abbaye de Montfaucon (VIIème s.) ; saint Ménélé, abbé en Auvergne (vers 720) ; saint Corneille de Péréyaslav (1693) ; nouveaux martyrs de Russie : Michel Nakariakov, prêtre (1918) ; Alexis Ilyinsky, prêtre (1931).

SAINTE MARIE MAGDELEINE, ÉGALE-AUX-APÔTRES

22 juillet

Magdala (ou Magada ou Dalmanoutha), petit village de pêcheurs situé sur la rive occidentale du lac de Génésareth, à cinq kilomètres de la ville de Tibériade, était la patrie de sainte Marie Madeleine. Vierge fortunée, elle vécut dans la crainte de Dieu et l’observation de ses commandements, jusqu’au jour où elle se trouva possédée de sept démons (cf. Mc 16, 9 ; Lc 8, 2). Affligée et ne pouvant trouver aucun répit, elle apprit que Jésus-Christ était parvenu dans la contrée, après avoir traversé la Samarie, et qu’Il attirait de grandes foules à sa suite, par ses miracles et son enseignement céleste. Pleine d’espoir, elle courut vers Lui et, ayant assisté au miracle de la multiplication des pains et des poissons, en nombre suffisant pour nourrir plus de quatre mille hommes (Mt 15, 30-39), elle alla se jeter aux pieds du Sauveur et lui demanda de la guider sur la voie de la vie éternelle. Ayant été délivrée de cette épreuve, elle renonça à ses biens et à tout attachement au monde pour suivre Jésus dans tous ses périples, avec les Apôtres, la Mère de Dieu et d’autres pieuses femmes qui s’étaient mises à son service après avoir été guéries par lui de diverses maladies : Marie, mère de Jacques le petit et de Joset ; Marie de Clopas ; Jeanne, femme de Chouza ; Suzanne, et Salomé, mère des fils de Zébédée. Lorsqu’Il eut rempli son ministère en Galilée, le Seigneur se dirigea vers Jérusalem, malgré les avertissements de ses proches. Marie Madeleine le suivit sans hésitation, et se lia d’amitié avec Marthe et Marie de Béthanie. Alors que le Seigneur venait de délivrer un possédé qui était muet, et affirmait qu’Il chassait les démons par l’Esprit de Dieu, une voix s’éleva de la foule et s’écria : Heureuses les entrailles qui t’ont porté, et les seins qui t’ont allaité ! (Lc 11, 27). Cette voix, suppose-t-on, était celle de Marie Madeleine. Elle était présente également lors de la résurrection de Lazare, et fut alors confirmée dans sa foi au Fils de Dieu. Tandis que les autres disciples avaient abandonné le Maître au moment de son arrestation, elle le suivit jusque dans la cour du grand prêtre puis au tribunal de Pilate, elle assista à son procès inique, à sa Passion et se tint auprès de la Croix, en compagnie de la Mère de Dieu et de saint Jean le Théologien (Jn 19, 25). Tout étant accompli et le sang du Sauveur ayant coulé de son côté pour purifier la terre, Marie, surmontant la douleur, prit l’initiative de son ensevelissement. Sachant que le noble conseiller, Joseph d’Arimathie [31 juil.], avait fait creuser près de là un tombeau neuf dans le roc, elle alla le trouver et le convainquit de céder ce sépulcre pour ensevelir le Crucifié. Encouragé par la foi résolue de cette femme, Joseph obtint l’autorisation de Pilate et, prenant avec lui Nicodème, le membre du Sanhédrin qui était disciple secret de Jésus, il descendit le corps de la Croix et le déposa dans un linceul pour le mettre au tombeau. Marie Madeleine ainsi que la Mère de Dieu assistaient à la scène, et elles élevèrent alors une hymne funèbre, accompagnée de larmes, dans lesquelles brillait cependant l’espoir de la résurrection . Une fois le tombeau fermé par une grosse pierre qu’on avait roulée à l’entrée, Joseph et Nicodème se retirèrent ; mais les deux saintes femmes restèrent assises, en pleurs en face du tombeau, jusque tard dans la nuit. En quittant l’endroit, elles décidèrent, sitôt le repos du sabbat expiré, de revenir au tombeau avec des aromates, pour embaumer une fois encore le corps du Sauveur (Mc 16, 1). Ayant donc observé le repos légal, au chant du coq, alors que le premier jour de la semaine commençait à peine à poindre, Marie Madeleine et l’« autre Marie »  vinrent au sépulcre. Un ange resplendissant leur apparut, accompagné d’un tremblement de terre, et leur annonça que Jésus ne se trouvait plus à l’intérieur, mais qu’Il était ressuscité (Mt 28, 1). Toutes troublées, elles ne prirent pas même le temps de regarder dans le tombeau et coururent porter la nouvelle aux Apôtres. Le Seigneur ressuscité leur apparut en chemin et les salua en disant : « Réjouissez-vous ! » Il convenait en effet qu’Il annonçât à une femme la délivrance de notre nature, déchue et condamnée à la souffrance à la suite de la faute d’Ève. En entendant leur récit, les Apôtres crurent qu’elles déliraient. Pierre, cependant, courut jusqu’au sépulcre et, se penchant, vit que seules les bandelettes s’y trouvaient, et il se retira tout perplexe. Le jour s’étant levé, Marie Madeleine se rendit pour la seconde fois sur les lieux, afin de vérifier si elle n’avait pas été victime d’une hallucination. Constatant que le tombeau était effectivement vide, elle alla l’annoncer derechef à Pierre et Jean, qui se rendirent en courant sur les lieux. Une fois les deux disciples repartis, elle resta seule près du tombeau, se demandant qui avait bien pu enlever le corps (Jn 20, 11). Deux anges vêtus de blancs apparurent alors à l’emplacement de la tête et des pieds du Seigneur, et lui demandèrent pourquoi elle pleurait. Comme elle leur répondait, les anges se levèrent soudain, avec respect. Marie se retourna et vit Jésus qui lui posa la même question. Le prenant pour le jardinier, elle demanda si c’était lui qui avait enlevé le corps. Mais dès que Jésus l’eut appelée par son nom : « Marie », reconnaissant la voix de son bien-aimé Seigneur, elle s’écria: « Rabbouni (Maître) !  » et voulut se jeter à ses pieds pour les baiser. Désirant l’attirer à une compréhension plus élevée de l’état dans lequel se trouvait son corps après la résurrection, Jésus lui dit : « Ne me touche pas, car Je ne suis pas encore monté vers le Père ! » Et Il l’envoya annoncer à ses frères ce qu’elle avait vu. Devenue pour la troisième fois « apôtre des Apôtres », Marie Madeleine resta avec les disciples et la Mère de Dieu, partageant leur joie. Elle était probablement présente au Mont des Oliviers, lors de l’Ascension, tout comme dans la chambre haute, le jour de la Pentecôte, quand le Saint-Esprit descendit sous forme de langues de feu (Act. 2). On raconte que la sainte quitta ensuite Jérusalem, pour se rendre à Rome et y demander justice à l’empereur Tibère de la condamnation inique prononcée par Pilate. Se présentant devant l’empereur avec un œuf en main, elle lui déclara qu’après avoir souffert la Passion, le Christ était ressuscité, apportant à tous les hommes la promesse de la résurrection ; et l’œuf se teignit alors en rouge . Le souverain écouta sa requête et convoqua Pilate, ainsi que les grands prêtres Anne et Caïphe. Caïphe mourut en route, en Crète ; quant à Anne, il fut supplicié en étant enfermé dans une peau de buffle. Pilate, s’étant présenté au tribunal de l’empereur, essaya de se justifier en avançant les pressions exercées par les Juifs et le risque de rébellion contre l’autorité romaine. Mais César resta insensible à son apologie et le fit jeter en prison. On rapporte que, poursuivant un cerf au cours d’une partie de chasse, organisée non loin de la prison par des amis de Pilate, l’empereur décocha une flèche qui alla frapper Pilate en plein cœur. De retour à Jérusalem, Marie Madeleine suivit l’enseignement de saint Pierre. Quatre ans s’étant écoulés depuis la Résurrection, et les Apôtres s’étant dispersés dans diverses régions du monde, elle se joignit à saint Maxime, l’un des Soixante-Dix Disciples, pour aller prêcher la Bonne Nouvelle. Ils furent bientôt arrêtés par les Juifs et abandonnés, avec d’autres chrétiens, en pleine mer, sans nourriture, dans un bateau dépourvu de voile et de rames. L’embarcation fut cependant guidée par le Christ, le Pilote de notre Salut, jusqu’à Marseille, en Gaule. Ayant débarqué sains et saufs, les saints apôtres eurent à subir la faim, la soif et le mépris des habitants de l’endroit, païens forcenés qui ne leur procuraient aucun secours. Un jour que ces derniers s’étaient réunis pour un de leurs sacrifices impies, sainte Marie Madeleine se mêla courageusement à l’assemblée et les exhorta à reconnaître le seul Dieu, Créateur du ciel et de la terre. Émerveillés par son assurance et par l’éclat de son visage, les païens prêtèrent attention à ses paroles. Elle réitéra son discours devant le gouverneur romain de la province, Hypatios, qui était venu en compagnie de son épouse apporter une offrande aux idoles, afin d’obtenir une progéniture. D’abord réticent, Hypatios, à la suite de trois apparitions de la sainte, accueillit Marie et ses compagnons en son palais et demanda à être instruit de leur doctrine. Grâce à l’intercession de Marie, il obtint un enfant, mais sa femme mourut en le mettant au monde. Après un court séjour à Rome, Hypatios entreprit un pèlerinage à Jérusalem ; mais changeant soudain d’avis, il décida de retourner à l’endroit où il avait enseveli son épouse et l’enfant. Quelle ne fut pas sa stupeur de les retrouver vivants et d’apprendre qu’ils avaient survécu grâce aux prières et aux soins de sainte Marie Madeleine ! Rendant grâces à Dieu, le magistrat et toute sa maison se firent alors baptiser et devinrent de fervents proclamateurs de la Vérité. Quittant la Gaule, sainte Marie Madeleine continua ses périples missionnaires en Égypte, Phénicie, Syrie, Pamphylie et autres lieux, répandant partout la bonne odeur du Christ. Elle passa quelque temps à Jérusalem, puis partit pour Éphèse, où elle retrouva saint Jean le Théologien, partageant ses épreuves et jouissant de ses enseignements inspirés. Ayant rempli la mission que le Seigneur lui avait confiée, elle remit là son âme à Dieu, après une brève maladie, et fut ensevelie à l’entrée de la grotte, où s’endormirent ensuite les Sept Enfants [4 août]. De nombreux miracles se produisirent en cet endroit, jusqu’au jour où, presque dix siècles plus tard (899), le pieux empereur Léon VI le Sage ordonna de transférer les reliques de la sainte Égale-aux-Apôtres à Constantinople [4 mai.]. Il les reçut avec une grande dévotion, en présence de tout le peuple, et les portant sur ses épaules, aidé de son frère Alexandre, il alla les déposer dans la partie gauche du sanctuaire du monastère de Saint-Lazare, qu’il avait fondé. Survivant aux péripéties de l’histoire, la main gauche de la sainte Myrophore, qui exhale un suave parfum, est aujourd’hui vénérée au monastère athonite de Simonos Pétra, qui honore sainte Marie Madeleine comme sa seconde fondatrice.

(Tiré du Synaxaire du hiéromoine Macaire de Simonos Petras)

TROPAIRES ET KONDAKIA DU JOUR

Tropaire de saint Marie Magdeleine, ton 1

Le Christ qui de la Vierge est né pour nous, Marie Madeleine, tu l’as suivi, gardant ses préceptes et ses lois; et nous qui célébrons ta mémoire sacrée, avec lui nous t’acclamons et te glorifions avec amour.


Kondakion de saint Marie Magdeleine, ton 4

Le Dieu suprême en ce monde venu, sainte Myrophore, dans la chair, en vraie disciple tu l’as aimé, portant sur lui tous les désirs de ton cœur; c’est pourquoi tu accomplis de nombreuses guérisons et, passée de terre vers les cieux, tu intercèdes pour le monde en tout temps.

ÉPÎTRE DU JOUR

1 Cor. VI, 20 – VII, 12

Glorifiez donc Dieu dans votre corps et dans votre esprit, puisqu’ils appartiennent à Dieu. Pour ce qui concerne les choses dont vous m’avez écrit, je pense qu’il est bon pour l’homme de ne point toucher de femme. Toutefois, pour éviter l’impudicité, que chacun ait sa femme, et que chaque femme ait son mari. Que le mari rende à sa femme ce qu’il lui doit, et que la femme agisse de même envers son mari. La femme n’a pas autorité sur son propre corps, mais c’est le mari ; et pareillement, le mari n’a pas autorité sur son propre corps, mais c’est la femme. Ne vous privez point l’un de l’autre, si ce n’est d’un commun accord pour un temps, afin de vaquer à la prière ; puis retournez ensemble, de peur que Satan ne vous tente par votre incontinence. Je dis cela par condescendance, je n’en fais pas un ordre. Je voudrais que tous les hommes fussent comme moi ; mais chacun tient de Dieu un don particulier, l’un d’une manière, l’autre d’une autre. À ceux qui ne sont pas mariés et aux veuves, je dis qu’il leur est bon de rester comme moi. Mais s’ils manquent de continence, qu’ils se marient ; car il vaut mieux se marier que de brûler. À ceux qui sont mariés, j’ordonne, non pas moi, mais le Seigneur, que la femme ne se sépare point de son mari (si elle est séparée, qu’elle demeure sans se marier ou qu’elle se réconcilie avec son mari), et que le mari ne répudie point sa femme. Aux autres, ce n’est pas le Seigneur, c’est moi qui dis : Si un frère a une femme non-croyante, et qu’elle consente à habiter avec lui, qu’il ne la répudie point.

1Co IX,2-12 (Ste Marie Magdeleine)

 Si pour d’autres je ne suis pas apôtre, je le suis au moins pour vous ; car vous êtes le sceau de mon apostolat dans le Seigneur. C’est là ma défense contre ceux qui m’accusent. N’avons-nous pas le droit de manger et de boire ? N’avons-nous pas le droit de mener avec nous une sœur qui soit notre femme, comme font les autres apôtres, et les frères du Seigneur, et Céphas ? Ou bien, est-ce que moi seul et Barnabas nous n’avons pas le droit de ne point travailler ? Qui jamais fait le service militaire à ses propres frais ? Qui est-ce qui plante une vigne, et n’en mange pas le fruit ? Qui est-ce qui fait paître un troupeau, et ne se nourrit pas du lait du troupeau ? Ces choses que je dis, n’existent-elles que dans les usages des hommes ? La loi ne les dit-elle pas aussi ? Car il est écrit dans la loi de Moïse : Tu n’emmuselleras point le bœuf quand il foule le grain. Dieu se met-il en peine des bœufs, ou parle-t-il uniquement à cause de nous ? Oui, c’est à cause de nous qu’il a été écrit que celui qui laboure doit labourer avec espérance, et celui qui foule le grain fouler avec l’espérance d’y avoir part. Si nous avons semé parmi vous les biens spirituels, est-ce une grosse affaire si nous moissonnons vos biens temporels. Si d’autres jouissent de ce droit sur vous, n’est-ce pas plutôt à nous d’en jouir ? Mais nous n’avons point usé de ce droit ; au contraire, nous souffrons tout, afin de ne pas créer d’obstacle à l’Évangile de Christ.

ÉVANGILE DU JOUR

Matth. XIV, 1-13

En ce temps-là, Hérode le tétrarque, ayant entendu parler de Jésus, dit à ses serviteurs: C’est Jean Baptiste! Il est ressuscité des morts, et c’est pour cela qu’il se fait par lui des miracles. Car Hérode, qui avait fait arrêter Jean, l’avait lié et mis en prison, à cause d’Hérodias, femme de Philippe, son frère, parce que Jean lui disait: Il ne t’est pas permis de l’avoir pour femme. Il voulait le faire mourir, mais il craignait la foule, parce qu’elle regardait Jean comme un prophète. Or, lorsqu’on célébra l’anniversaire de la naissance d’Hérode, la fille d’Hérodias dansa au milieu des convives, et plut à Hérode, de sorte qu’il promit avec serment de lui donner ce qu’elle demanderait. A l’instigation de sa mère, elle dit: Donne-moi ici, sur un plat, la tête de Jean Baptiste. Le roi fut attristé; mais, à cause de ses serments et des convives, il commanda qu’on la lui donne, et il envoya décapiter Jean dans la prison. Sa tête fut apportée sur un plat, et donnée à la jeune fille, qui la porta à sa mère. Les disciples de Jean vinrent prendre son corps, et l’ensevelirent. Et ils allèrent l’annoncer à Jésus. A cette nouvelle, Jésus partit de là dans une barque, pour se retirer à l’écart dans un lieu désert; et la foule, l’ayant su, sortit des villes et le suivit à pied.

Jn XX, 11-18 (Ste Marie Magdeleine)

Marie se tenait dehors près du tombeau, et pleurait. Comme elle pleurait, elle se baissa pour regarder dans le tombeau ; et elle vit deux anges vêtus de blanc, assis à la place où avait été couché le corps de Jésus, l’un à la tête, l’autre aux pieds. Ils lui dirent : « Femme, pourquoi pleures-tu ? » Elle leur répondit : « Parce qu’ils ont enlevé mon Seigneur, et je ne sais où ils l’ont mis. » En disant cela, elle se retourna, et elle vit Jésus debout ; mais elle ne savait pas que c’était Jésus. Jésus lui dit : « Femme, pourquoi pleures-tu ? Qui cherches-tu ? » Elle, pensant que c’était le jardinier, lui dit : « Seigneur, si c’est toi qui l’as emporté, dis-moi où tu l’as mis, et je le prendrai. » Jésus lui dit : « Marie ! » Elle se retourna, et lui dit en hébreu : « Rabbouni ! » c’est-à-dire, Maître ! Jésus lui dit : « Ne me retiens pas ; car je ne suis pas encore monté vers mon Père. Mais va trouver mes frères, et dis-leur que je monte vers mon Père et votre Père, vers mon Dieu et votre Dieu. » Marie de Magdala alla annoncer aux disciples qu’elle avait vu le Seigneur, et qu’il lui avait dit ces choses.

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Jivko Panev

Jivko Panev, cofondateur et journaliste sur Orthodoxie.com. Producteur de l'émission 'Orthodoxie' sur France 2 et journaliste.
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