Nicolas Cabasilas, théologien laïc de Constantinople au XIVe siècle, canonisé par l’Église orthodoxe en 1982, n’a cessé d’approfondir sa réflexion sur ces questions fondamentales. Il confronte sa tradition orthodoxe avec les débats des théologiens occidentaux, traduits en grec à son époque. Les homélies qu’il rédige à la fin de sa vie, après ses grands traités sur la liturgie et la vie en Christ, sont l’aboutissement de cette rencontre féconde entre la pensée latine et la pensée grecque, dans un empire sur le point de disparaître. Sur le thème crucial de l’économie du salut, ces homélies témoignent d’une pensée théologique vivante qui allie l’audace à la fidélité.
Ces homélies sont introduites par Marie-Hélène Congourdeau et traduites par Marie-Hélène Congourdeau et Marie Ricard, osb.
Nous avons demandé à Marie-Hélène Congourdeau, qui a déjà présenté un autre livre de saint Nicolas Cabasilas, « Ézéchiel, prophète de l’Incarnation », de nous parler des raisons qui l’ont poussée à entreprendre la traduction de ces homélies et des découvertes qu’elle y a faites.
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