19 octobre

19ème dimanche après la Pentecôte

Saint Joël, prophète ; saint Varus, martyr en Égypte avec six ascètes (vers 307) ; sainte Cléopatre, qui recueillit le corps de saint Varus, (319) et son fils saint Jean ; saint Sadok, évêque de Séleucie en Perse, martyrisé avec 128 compagnons (342) ; saint Véran, évêque de Cavaillon (590) ; saint Aquilin, évêque d’Evreux (vers 690) ; saint Ursin, évêque de Cavaillon (VIème s.) ; saint Loup, évêque de Soissons (vers 540) ; saint Jean de Ryla, fondateur du monastère de Ryla en Bulgarie (946) ; saint Jean de Cronstadt (1908) ; saints néo-martyrs de Russie : Serge (Pokrovsky) (1937).

LE SAINT PROPHÈTE JOËL

Saint Joël, prophète

Le saint prophète Joël était originaire de la tribu de Roubim et fils de Petuel. Il prophétisa dans le royaume de Juda, et surtout à Jérusalem, à une date difficile à déterminer. Au début de sa prophétie, Dieu annonce à son peuple les terribles châtiments, symbolisés par l’invasion des sauterelles et la sécheresse, qui vont précéder le « Jour du Seigneur », c’est-à-dire le Jour où le Seigneur reviendra pour juger la terre. Dieu lance de telles menaces pour exhorter le peuple au vrai repentir : « Revenez à moi de tout votre cœur, avec des jeûnes, avec des larmes et des lamentations. Déchirez vos cœurs et non vos vêtements et revenez vers le Seigneur votre Dieu, car il est miséricordieux et compatissant, lent à la colère et riche en pitié. Il se repent des maux qu’il inflige » (Jl 2, l2-13). Au-delà de ces menaces, le prophète nous fait entrevoir la perspective de la restauration future, le retour de la faveur divine qui répandra le Saint-Esprit sur toute chose : « Et il arrivera après cela que je répandrai mon Esprit sur toute chair. Et vos fils et vos filles prophétiseront, vos vieillards verront des songes et vos jeunes gens auront des visions » (Jl 3, 1). C’est cette époque bénie qui s’est ouverte lors de la Pentecôte et qui connaîtra sa plénitude au jour de la seconde Venue du Christ.

SAINT JEAN DE CRONSTADT

Saint Jean de Cronstadt (1908)

Notre père saint Jean de Cronstadt le Thaumaturge naquit le 19 octobre 1829 dans un village du grand nord de la Russie. Dès sa plus tendre enfance, son père l’amenait constamment à l’église, développant en lui l’amour de l’office divin. Ses parents vivant dans de difficiles conditions matérielles, l’enfant fit tôt connaissance avec la pauvreté, le chagrin, les larmes et les souffrances. Cette situation le rendit concentré en lui-même, pensif, et en même temps lui communiqua une compassion profonde envers les pauvres. A l’âge de six ans, Jean commença à apprendre à lire et à écrire. Mais, au début, il éprouvait beaucoup de peine dans l’apprentissage, ce qui le poussait à recourir à la prière ardente, afin que le Seigneur l’aidât. C’est ainsi qu’après l’une de ces prières, la nuit, l’enfant fut ébranlé de tout son être : « Un rideau tomba de devant mes yeux, comme si mon esprit s’était ouvert », dira-t-il plus tard. Depuis ce moment, il commença à étudier brillamment et il termina parmi les premiers le séminaire ecclésiastique d’Arkhangelsk. Alors qu’il étudiait à l’Académie, il pensa de prime abord à se consacrer au travail missionnaire en Sibérie ou en Chine. Toutefois, il se vit une fois en rêve en train de servir comme prêtre à la cathédrale Saint-André à Cronstadt, qu’il n’avait jamais vue. En 1855, il acheva ses études à l’Académie, et il lui fut proposé de se marier à la fille de l’archiprêtre de la cathédrale de Cronstadt, Élisabeth, ainsi que d’être ordonné prêtre pour servir dans cette église. Se souvenant de son songe, il accepta la proposition. Le 12 décembre 1855, il fut ordonné prêtre. Lorsqu’il entra dans la cathédrale, il fut saisi de crainte : c’était exactement l’édifice qu’il avait vu en songe. Le premier jour de son mariage, il dit à sa femme : « Il y a beaucoup de familles heureuses… Allons, toi et moi, consacrons notre vie à Dieu », et ils vécurent dans la chasteté jusqu’à la fin de leur vie. Dissimulant cela aux yeux des hommes, il vécut dans l’ascèse, la prière incessante et le jeûne, célébrant quotidiennement la Divine Liturgie. Dès qu’il fit connaissance de son troupeau, le père Jean comprit qu’il avait une œuvre pastorale à accomplir, qui ne serait en rien inférieure à celle qu’il aurait menée dans les contrées païennes. L’absence de foi, les sectes, l’indifférence se manifestaient fortement dans cette ville où étaient envoyés en exil les mauvais sujets de la capitale. Il y avait en outre un grand nombre de manœuvres qui travaillaient au port, vivant dans des masures et sombrant dans l’ivrognerie. C’est envers ces gens méprisés de tous que le saint, empli de l’amour du Christ, tourna son regard. Chaque jour, il commença à leur rendre visite dans leurs tristes conditions de vie, leur parlant, les consolant, s’occupant des malades, leur distribuant tout ce qu’il possédait, revenant même souvent chez lui avec une partie seulement de ses vêtements, voire sans bottes. C’est à ces gens méprisés que le saint rendait l’image du Christ qu’ils avaient perdue et c’est à eux que se révéla en premier la sainteté du père Jean, pour être ensuite connue de toute la Russie. C’est en ces termes qu’a décrit un artisan la visite que lui fit le père Jean : « J’avais alors 22-23 ans… Alors que je revins une fois, éméché, à la maison, je vis un jeune prêtre qui était assis, qui tenait dans ses bras mon jeune fils, lui disant quelque chose tendrement. L’enfant écoutait sérieusement. Il me sembla alors que le père était semblable au Christ dans le tableau « la bénédiction des enfants »… Je voulais crier, mais les yeux du père Jean, pleins de tendresse et de sérieux, m’arrêtèrent. Je me sentis honteux… Il regardait directement dans l’âme… Il commença à parler. Il dit que le paradis se trouvait dans cette chambrette, car là où sont les enfants, tout est toujours chaleureux, merveilleux, et qu’il ne fallait pas transformer ce paradis en cabaret. Il ne m’accusait pas, non, il justifiait tout, mais je n’avais rien pour me justifier… Il partit et je me tus… Ma femme me regarda… Et depuis ce jour, je suis devenu un homme ». Ce labeur pastoral inhabituel attira sur le jeune prêtre la moquerie et même des attaques de tous côtés, voire même de la part de l’administration diocésaine… Rapidement, la renommée de ses miracles s’étendit à toute la Russie. Les malades les plus graves, alors que la médecine était impuissante, recevaient la guérison par la prière et l’imposition des mains du saint. Les aveugles recouvraient la vue, la pluie tombait lors de la sécheresse. La journée du saint était organisée ainsi : le matin, il se levait à trois heures et se préparait à la célébration de la Sainte Liturgie. A quatre heures, il se rendait à la cathédrale pour les matines, durant lesquelles il lisait toujours le canon. Avant la Liturgie, il confessait les fidèles. La cathédrale qui pouvait contenir 5000 personnes était toujours pleine. La Liturgie s’achevait à midi. Durant la Liturgie, des larmes coulaient de ses yeux, et il était clair que le saint vivait toute l’histoire de notre salut. Durant l’office, on lui donnait les lettres et les télégrammes avec des noms à commémorer. Après l’office, il partait à Saint-Pétersbourg où d’innombrables malades lui demandaient de les visiter. Il ne revenait chez lui jamais avant minuit. Le saint recevait des sommes énormes pour la bienfaisance, qu’il distribuait immédiatement, nourrissant quotidiennement des milliers d’indigents. A Cronstadt, il créa une gigantesque « maison du labeur », avec une école, une église, des ateliers, un foyer d’accueil. Il fonda également un monastère dans son village natal, et un couvent féminin à Saint-Pétersbourg où il fut enterré. Durant la seconde période de sa vie, alors qu’il devint connu de toute la Russie, il dut cesser d’enseigner le catéchisme au lycée classique de la ville, où il enseigna durant vingt-cinq ans, donnant une grande importance à la vie des Saints. « Tu n’as pas enseigné » lui dira-t-on, « une scolastique sèche aux enfants… Tu as implanté dans leurs âmes la semence de la Parole éternelle et vivifiante de Dieu ». La renommée du saint parvint jusqu’à la Famille Impériale. Il assista aux derniers moments du Tsar Alexandre III et au baptême du Tsarévitch-martyr Alexis. Malgré toutes ses occupations, le saint tenait encore un journal, dans lequel il exposait ses pensées spirituelles, qui constituèrent le célèbre livre « Ma vie en Christ ». Les homélies du saint ont été également éditées et constituent également une source d’enseignements. A la veille des événements révolutionnaires, le saint mit en garde le peuple russe contre ce qui allait inévitablement se passer. Dans les dernières années de sa vie, le saint fit face à la maladie, en disant : « Je rends grâces à mon Seigneur de m’avoir envoyé des souffrances pour purifier mon âme pécheresse ». Le 10 décembre 1908, rassemblant toutes ses forces, le père Jean célébra sa dernière Liturgie à la cathédrale de Cronstadt. Le 20 décembre, il se reposa dans le Seigneur, continuant après son trépas d’accomplir de nombreux miracles.

(Tiré du Synaxaire du hiéromoine Macaire de Simonos Petras)

TROPAIRES ET KONDAKIA DU JOUR

Tropaire du dimanche, 2ème ton

Lorsque Tu descendis dans la mort, Toi, la Vie immortelle, Tu anéantis l’enfer par l’éclat de la Divinité. Lorsque Tu ressuscitas les morts des demeures souterraines, toutes les Puissances

Tropaire du saint martyr Varus, ton 4

Ton Martyr, Seigneur, pour le combat qu’il a mené * a reçu de toi, notre Dieu, la couronne d’immortalité; * animé de ta force, il a terrassé les tyrans * et réduit à l’impuissance l’audace des démons; * par ses prières sauve nos âmes, ô Christ notre Dieu.

Tropaire de saint Jean de Cronstadt, ton 4

Toi qui vis en Christ dans les siècles, ô thaumaturge, compatissant dans l’amour avec les hommes malheureux, écoute tes enfants qui t’invoquent avec foi, et qui attendent de toi une aide abondante, Jean de Kronstadt, notre bien-aimé pasteur.

Kondakion du du saint martyr Varus, ton 4

Ayant marché à la suite du Christ, * tu en bus le calice, Varus; * tu as reçu la couronne des martyrs * et tu exultes avec les Anges désormais; * pour nos âmes ne cesse pas de prier le Seigneur.

Kondakion de saint Jean de Cronstadt, ton 4

Toi qui vis en Christ dans les siècles, ô thaumaturge, compatissant dans l’amour avec les hommes malheureux, écoute tes enfants qui t’invoquent avec foi, et qui attendent de toi une aide abondante, Jean de Cronstadt, notre bien-aimé pasteur.

Kondakion du dimanche, ton 2

Sauveur Tout-Puissant, Tu es ressuscité du Tombeau : l’enfer, voyant ce prodige, est saisi de stupeur et les morts ressuscitent. À cette vue, la création se réjouit avec Toi; Adam partage l’allégresse, et le monde, ô mon Sauveur, ne cesse de Te louer !

Tropaire du saint prophète Joël, ton 1

Célébrant, Seigneur, la mémoire de ton prophète Joël, * par ses prières, * nous t’en supplions, sauve nos âmes.

ÉPITRE DU JOUR

2 Cor. XI, 31 – XII, 9

Dieu, qui est le Père du Seigneur Jésus, et qui est béni éternellement, sait que je ne mens point !…

À Damas, le gouverneur du roi Arétas faisait garder la ville des Damascéniens, pour se saisir de moi ; mais on me descendit par une fenêtre, dans une corbeille, le long de la muraille, et j’échappai de leurs mains. Il faut se glorifier… Cela n’est pas bon. J’en viendrai néanmoins à des visions et à des révélations du Seigneur. Je connais un homme en Christ, qui fut, il y a quatorze ans, ravi jusqu’au troisième ciel (si ce fut dans son corps je ne sais, si ce fut hors de son corps je ne sais, Dieu le sait). Et je sais que cet homme (si ce fut dans son corps ou sans son corps je ne sais, Dieu le sait) fut enlevé dans le paradis, et qu’il entendit des paroles ineffables qu’il n’est pas permis à un homme d’exprimer. Je me glorifierai d’un tel homme, mais de moi-même je ne me glorifierai pas, sinon de mes infirmités. Si je voulais me glorifier, je ne serais pas un insensé, car je dirais la vérité ; mais je m’en abstiens, afin que personne n’ait à mon sujet une opinion supérieure à ce qu’il voit en moi ou à ce qu’il entend de moi. Et pour que je ne sois pas enflé d’orgueil, à cause de l’excellence de ces révélations, il m’a été mis une écharde dans la chair, un ange de Satan pour me souffleter et m’empêcher de m’enorgueillir. Trois fois j’ai prié le Seigneur de l’éloigner de moi, et il m’a dit : « Ma grâce te suffit, car ma puissance s’accomplit dans la faiblesse ». Je me glorifierai donc bien plus volontiers de mes faiblesses, afin que la puissance de Christ repose sur moi.

I Jn IV, 7-11 (S. Jean de Cronstadt)

Bien-aimés, aimons nous les uns les autres; car l’amour est de Dieu, et quiconque aime est né de Dieu et connaît Dieu. Celui qui n’aime pas n’a pas connu Dieu, car Dieu est amour. L’amour de Dieu a été manifesté envers nous en ce que Dieu a envoyé son Fils unique dans le monde, afin que nous vivions par lui. Et cet amour consiste, non point en ce que nous avons aimé Dieu, mais en ce qu’il nous a aimés et a envoyé son Fils comme victime expiatoire pour nos péchés. Bien-aimés, si Dieu nous a ainsi aimés, nous devons aussi nous aimer les uns les autres.

Lc VI, 31-36

En ce temps-là, Jésus déclara : « Ce que vous voulez que les hommes fassent pour vous, faites-le de même pour eux. Si vous aimez ceux qui vous aiment, quel gré vous en saura-t-on ? Les pécheurs aussi aiment ceux qui les aiment. Si vous faites du bien à ceux qui vous font du bien, quel gré vous en saura-t-on ? Les pécheurs aussi agissent de même. Et si vous prêtez à ceux de qui vous espérez recevoir, quel gré vous en saura-t-on ? Les pécheurs aussi prêtent aux pécheurs, afin de recevoir la pareille. Mais aimez vos ennemis, faites du bien, et prêtez sans rien espérer. Et votre récompense sera grande, et vous serez fils du Très Haut, car il est bon pour les ingrats et pour les méchants. Soyez donc miséricordieux, comme votre Père est miséricordieux. »

À propos de l'auteur

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Jivko Panev

Jivko Panev, cofondateur et journaliste sur Orthodoxie.com. Producteur de l'émission 'Orthodoxie' sur France 2 et journaliste.
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