Le vocabulaire grossier doit être interdit non seulement dans les médias, le cinéma et le théâtre, mais aussi dans les lieux publics, considère-t-on au Patriarcat de Moscou. « Il est important que l’on ne puisse entendre des obscénités, non seulement à la radio, sur la scène ou sur l’écran de la télévision, mais simplement dans les lieux publics. Ce serait juste aussi de verbaliser ceux qui utilisent de tels mots dans