Un jour, saint Païsius l’Athonite se rappelait comment il naviguait sur un ferry vers la Sainte Montagne de l’Athos, retournant à sa patrie monastique. Comme un vrai moine, il passa presque tout le temps en prière, et le soir commença à chanter doucement pour lui-même les vêpres. Dans le chant byzantin existe la notion d’isson. Ce mot grec se traduit par « immobile, identique, égal, semblable ». C’est un son
Qu’est-ce que l’Octoèque et pourquoi en a-t-on besoin dans l’Église ?
