Bien que la liberté formelle ait alors été restaurée dans le pays, le début des années 1990 fut une période dramatique pour la communauté des fidèles orthodoxes en Albanie. Il n’y avait aucun évêque survivant, aucun candidat potentiel ne pouvait être élevé à ce rang ; il ne restait plus que 15 clercs retraités ou malades. Il n’y avait plus d’églises (elles étaient soit détruites, soit sécularisées) et il n’y avait